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30 mars 2023

Que doit-on conclure lorsque l’on se rend compte que, dans un passé pas si lointain, le nazisme a été utilisé par l’impérialisme anglo-saxon pour détruire la Russie et plus globalement l’URSS ;

Que ceux qui ont payé le prix le plus fort de la Seconde guerre mondiale en Europe, et de loin, ont été les Russes et plus généralement les soviétiques ;

Que ceux qui ont récupéré à leur usage exclusif « l’anti-fascisme » (mot fourre-tout ; pour interdire toute velléité d’indépendance à l’encontre de l’impérialisme mondialiste) sont ceux-là mêmes qui, pour la seconde fois en moins d’un siècle, soutiennent activement la même idéologie mortifère ;

Tous les néo-nazis et autres bandéristes de toute cette zone de l’Europe de l’Est particulièrement marquée par des ultra-nationalismes délétères et barbares, avec en tête les micro-États baltes et la Galicie-Volhynie ukrainienne ;

Régions qui furent les foyers des pires exactions nationalistes pendant la Seconde guerre mondiale;

Et que ce même impérialisme anglo-saxon nous rejoue le coup une seconde fois pour détruire la Russie, la briser et lui voler toutes ses ressources naturelles ?

Je ne fais que reprendre ici ce que constate la diplomatie russe, avec le brillant Lavrov à sa tête.

La charogne impériale va mettre encore du temps à péricliter. Mais son déclin est inéluctable. Mon seul regret : je n’aurai pas le plaisir d’en voir la fin. Même si j’en pressentais l’arrivée depuis plusieurs années, dont l’un des éléments décisifs est datable du début de l’intervention russe de soutien à la Syrie. Suivi de la pantalonnade grotesque covidiste.

From → divers

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