« ÉCOLOGIE » ET BARBARIE

La sinistre ministre « écolo » de la guerre allemande semble être, elle aussi, un personnage hystériquement anti-russe et plus généralement belliciste « épanouie » ; et l’on peut même se demander si elle ne veut pas nous rejouer le coup de l’annexion des terres « germaniques » orientales de l’Österreich jusqu’à Moscou.

Comment comprendre que ces gens hystériquement « anti-fascistes », ces gens nourris au sein du shoahisme le plus délirant, puissent en vouloir à un peuple (un ensemble de peuples) qui a connu la mort de 26 millions de personnes pendant la Seconde guerre mondiale pour repousser l’envahisseur allemand ?

Où alors, on peut se demander si cette génération de Germains quelque peu barbares, avec à sa tête La Hyène, la vieille folle corrompue jusqu’à l’os, ou encore le germano-helvète Souabe (la Souabe, grande région de colons allemands vers l’Est au cours des siècles passés), n’ont pas repris le flambeau de certains de leurs ascendants quelque peu compromis (sic), et ce n’est pas peu dire, pendant la Seconde guerre mondiale.

Comment de prétendus « écolos » non seulement « anti-fachos », mais dont les « ancêtres politiques », si l’on peut dire, sont nés, on aurait pu croire, du Peace and Love « bitnit » (comme disait Coluche) des années soixante/soixante-dix et de la contestation de la guerre du Vietnam (ex guerre d’Indo) puissent en être arrivés à ce point de décrépitude faisandée, pour ne pas dire intégralement pourrie, non seulement politique mais morale.

En fait, il en est peut-être de même de l’esprit pacifique, voire pacifiste de certains « écolos teutons » ou franchouillards d’ailleurs, que du pacifisme d’un sioniste comme Einstein (lui raciste haineux à l’encontre des Allemands bien que germanophone, et des « sous-hommes » tant Palestiniens que Chinois par exemple, comme l’ont révélé certains textes de lui retrouvés, ou plus exactement publiés ces dernières années) qui trouva bon de pousser allègrement à la fabrication de la bombe atomique « démocrate ».

Bof !… Ce qui m’a fait écrire ces paragraphes, c’est que ce matin m’est revenu à l’esprit ce qu’il fallait penser de certains «écolos historiques » ou présentés comme, et du plus auréolé tel Jean-Yves Cousteau.

Moi j’ai déchanté du personnage quand j’ai commencé à me renseigner sur l’homme, au-delà de l’image publique idyllique. J’ai compris qu’il avait trouvé un bon filon pour se la couler douce sur les mers du Monde entier. Tout en réalisant parfois (souvent?) des documentaires pouvant être ignobles.

Comme celui que l’on m’a mis devant les yeux où l’équipage de la Calypso était en train de massacrer des animaux marins au simple fait, et sans autre raison, qu’il avaient l’audace de s’approcher du bateau sacré de l’écologie. Et qu’ils pouvaient parfois être l’ennemi de l’homme. À condition d’aller le chercher chez lui !

Présentation de l’extrait suivant :

« Dans son film « le Monde du silence » Cousteau, après que son bateau ait heurté mortellement un cachalot, le fait achever et l’attache à l’étrave. Voyant les requins venir manger le cachalot mort, Cousteau filme ses matelot et plongeurs harponner et tuer à coup de masse les requins. Un massacre aujourd’hui difficilement supportable. Et dire qu’il se prétendait scientifique! On aurait pu espérer de sa part qu’il étudie les requins plutôt que de les considérer comme « les pires ennemis des plongeurs ! »».

https://www.youtube.com/watch?v=4plCxOi_CwUSharkday !

« Scientifique » et « écolo » ! Mais qu’attendre d’autre d’un officier de la marine, d’un ancien militaire de carrière, espion dont certains contestent la croix de guerre, explorateur (« océanographe » fait plus chic et « espion » fait trop moche) et fondateur de la Cousteau Society étatsunienne ?