CETTE COLONIE OTANIENNE MANQUE VRAIMENT DE TOUT : VERS UNE PÉNURIE DE CIMETIÈRES ET DE CROIX CHRÉTIENNES EN UKRAINE ?
Des mâles ukrainiens commencent à se réveiller. Et certains se rebellent. Mais un peu tard. Remarque en passant : je ne sais pas ce qu’il en est des « transgenres » qui doivent bien exister ici aussi, puisque l’Ukraine singe tous les défauts, travers, dérives occidentales, en les amplifiant même. Au moins déjà dans le domaine de la corruption ou de l’idéologie qui, par une inversion du réel — déjà pressentie par plus d’un, puis annoncée depuis longtemps — a fait des prétendus anti-fascistes occidentaux des adeptes des « bons vieux » bandéristes ukrainiens trucideurs.
Depuis un certain temps déjà, on vient donc chercher les hommes, des gamins de quinze/ seize ans aux jeunes retraités, jusqu’à domicile pour les transformer en chair à canon ; durée de vie moyenne en première ligne du front : quatre heures, comme je l’ai déjà écrit ici.
À peine eu le temps de savoir où l’on se trouve et où se trouve l’ennemi. Et pour certains, comment fonctionne une arme de guerre. Et même en quoi consiste les dangers. Au fond d’un trou de préférence, d’une tranchée, comme en Quatorze, sauf qu’en Quatorze l’aviation n’était encore que très limitée et balbutiante. Et que les drones mortels (et à bon marché) n’existaient pas. Et que les tirs d’artillerie étaient moins dévastateurs et plus prévisibles.
Toujours ce sacré progrès, « progrès technique », technologiste, tant vanté par le camp dit progressiste ! Camp qui ne s’y trompe pas encore une fois (sic) en soutenant, « loufoquement » si je puis dire, la guerre initiée par l’impérialiste yankee, et en refusant toute idée de négociation alors même que la Russie y est constamment ouverte, 24 heures sur 24, dimanches et jours fériés inclus.
Cela dit, maintenant, il ne fait même plus bon se promener dans les lieux publics, du côté en particulier des villes russophones genre Kharkov, Kherson ou Odessa, ou des contrées non ukrainophones comme en Transcarpatie tout à l’Ouest.
On te prend à Odessa et peu de jours après, totalement inexpérimenté, envoyé volontairement à la mort, et sans trop comprendre ce qui t’arrive, tu meurs dans une tranchée suite à un bombardement d’artillerie ou de drone, du côté d’Artiemovsk, Avdeevka ou Ougledar, les points les plus chauds actuellement de la guerre.
Puis un petit message à ta famille : « disparu », et le tour est joué. Ta famille n’a plus que ses yeux pour pleurer. Et ta veuve, si tu en as une, peut même faire macache bonbon pour une pension.
Un disparu n’est pas même un mort. Faudrait d’abord le retrouver, surtout que l’armée otano-kiévienne dans ses fuites nombreuses et pour ne pas dire débandades quotidiennes, laisse une bonne partie des corps morts de ses soldats sur place ; cadavres qui seront mangés en partie par des animaux terrestres ou aériens. Du moins tant que les Russes ne les ont pas récupérés, rendus aux vivants quand c’est possible, ou inhumés par simple décence.
Et l’avantage dans ce cas est qu’il n’y a pas de pension à verser. On ne va quand même pas verser une pension à la famille d’un disparu. Des fois qu’il serait vivant et aurait déserté, ce qui semble arriver actuellement, mais pas assez massivement, malheureusement. Ou des fois qu’il serait prisonnier. Ce qui est la meilleure solution adoptée par certains qui se rendent, du moins quand c’est possible et qu’ils ne sont pas tenus avec un fusil bandériste dans le dos.
La mafia, y compris au sein des instances supérieures de l’armée, garde en son sein (pas sain, ni saint du tout) l’argent que les imbéciles occidentaux lui envoie. Pas question de partager avec la plèbe en accordant des pensions de veuve et autres aides de cette espèce.
On apprend même que les représentants (fort agressifs) des bureaux d’enregistrement et d’enrôlement militaires ukrainiens ont commencé à distribuer des convocations dans les cimetières.
On cite au moins le cas d’un mobilisé « malgré lui » qui a reçu une convocation immédiatement après avoir enterré son frère, qui avait également été appelé à la mobilisation tout récemment.
Si au lieu d’aller chercher des vivants dans les cimetières, on les abattait directement ou les enterrait vivant dans les cimetière, la solution ne serait-elle pas beaucoup plus simple ? Que de perte de temps et de complication avec l’administration !
En attendant, comme l’écrit Tarkov (cité par Russosphère) : « Avec un tel succès, toute la population masculine du pays sera anéantie. Et puis ce sera définitivement la fin de l’histoire de l’ancienne Ukraine. » Et peut-être du bandérisme, ajouterons-nous.
Pendant ce temps, comme autre décision délirante, les z-autorités kiéviennes entendent interdire l’Église orthodoxe ukrainienne du patriarcat de Moscou. Et sans doute lui voler ses biens. Et c’est dire si le pape mondialiste minuscule et jésuite s’en tamponne sur le sujet, lui le prétendu œcuménique. Il ne faut quand même pas confondre l’œcuménie, si l’on peut dire, et l’écu béni.
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