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Et si les Français sensés boycottaient activement les prochains Jeux Olympiques d’été à Paris-sur-Scène ou Paris-sous-Saine ?

12 février 2023

Il paraît que 35 États ou plus exactement 35 Comités olympiques nationaux veulent exclure les athlètes russes et biélorusses des prochains Jeux. Pour raison politique.

Cela intervient après l’histoire grotesque de la FIFA qui a exclu la Russie au niveau même des qualifications pour la dernière coupe du monde de foute-balle. Également pour raison politique. La FIFA, ce repère de toute la haute maffia fouteballistique mondiale, mondialiste, corrompue jusqu’à la moelle, cette fois-là par l’argent du pétrole du Qatar.

Cela intervient encore après l’exclusion des athlètes russes aux Jeux Olympiques de je ne sais plus quand, là pour une autre raison invoquée. Le dopage. Étant entendu qu’en ce domaine, tous les autres pays que la Russie sont blancs comme neige (mais pas de la neige de Sotchi bien sûr !). Et ce qui montre que cela fait déjà des années que le camp mondialiste « occidental » cherche des noises à la Russie.

Donc 35 comités olympiques se lancent à nouveau dans la politisation agressive et totalitaire du sport international. Je n’ai pas la liste des trente-cinq, mais je suppose qu’elle réunit autour du grand parrain, du suzerain en chef étatsunien et de ses deux lieutenants royaumunien et siono-israélien, toute la fine fleur de la valetaille des petits féaux z-européens, ou au moins une partie des petits féaux « occidentaux ».

« J’ai les noms » comme disait Coluche, ou du moins j’ai quelques noms. Cela vaut son pesant de décrépitude.

L’Allemagne qui, par ailleurs n’a rien à dire sur les dernières révélations journalistiques concernant le sabotage des gazoducs de NordStream par les amerloques ; acte de guerre contre la Russie et contre l’Otan elle-même ; gazoducs propriété russe, allemande (40% je crois) et même un peu française (10 %).

Allemagne curieux pays qui semble avoir oublié que les tsars ou tsarines depuis Catherine Deux étaient d’origine germanique.

D’ailleurs, la fiotte de l’Élysée n’a également rien à en dire. Fiotte, j’utilise ici ce mot dans les sens de : 1- homme lâche, faible, qui n’a pas de courage, pas de virilité ; 2- individu qui coopère avec les autorités, présentement ses supérieurs hiérarchiques du mondialisme apatride, ou balance. Ce qui est normal puisqu’il a été mis là, comme homme à tout faire, homme de main, comme d’autres du même style au Canada, en Ukraine et maintenant au Royaume-Uni, pour finir de détruire nos pays.

Et bien évidemment, la cohorte de tous les pays grands et petits russophobes congénitaux et séculaires et pour certains très marqués par un certain état d’esprit germanique, si je puis dire, remontant aux nationalismes débridés et barbares des deux guerres mondiales et de l’entre-deux-guerres.

L’Ukraine, la Pologne (qui a pourtant, par ailleurs, un fort contentieux avec l’Allemagne et l’Ukraine, suite à la Seconde guerre mondiale).

Les trois micro-pays baltes qui font pitié dans leur veulerie otanesque, mais moins pitié dans leur ultra-nationaliste russophobe et plus généralement raciste à l’encontre de tout ce qui n’est pas eux. Exception faite pour le parrain amerloque. Je veux parler, du Nord au Sud, de l’Estonie, la Lettonie et la Lituanie, pays spécialisés en particulier le dernier, autrefois, dans les pogroms anti-juifs ; entité globale de moins de six millions d’habitants.

Les petits (en nombre d’habitants) pays nordiques comme la Finlande (dans l’UE depuis 1995, demande d’adhésion à l’Otan en 2022), les trois pays scandinaves : Norvège après ce qu’elle vient de nous faire en Mer baltique (dans l’Otan depuis l’origine, 1949), Suède (dans l’UE depuis 1995, demande d’adhésion à l’Otan en 2022), Danemark (dans l’UE depuis 1973 et dans l’Otan depuis l’origine en 1949) et l’Islande (dans l’Otan depuis 1949 avec sa célèbre base aérienne étasunienne de Thulé, ou plus exactement de Nouvelle Thulé, sur un territoire dont les habitants furent déplacés, située au Sud de Qaanaaq, autre nom de Thulé ; réserve souterraine de missiles nucléaires amerloques).

Et bien entendu, à l’autre bout du monde, l’Australie, la carpette et petit chien anglo-saxon comme on l’a vu avec le covidisme, autre attaque occidentale contre le reste du Monde.

Pour ce qui est de la Franchouillie, le pitre élyséen semble tergiverser dans l’« en même temps ». Virer les Popofs ou pas ? Un peu comme dans l’idée qu’il aurait d’ôter la légion d’honneur offerte par Chirac à Poutine. Effectivement, cela serait aussi bien pour Poutine qu’il ne se retrouvât plus , par médaille « non olympique », réuni à la vermine kiévienne, au clown sordide, morbide, criminel de Kiev qui vient de la recevoir des mains du foutriquet. Comme l’écrivit le Père Duchêne : «  Messieurs les foutriquets aristocrates à culottes serrées, à grosses cravates, à petites cocardes,… n’agacez pas le dogue patriote ».

Enfin, pour ce qui serait d’exclure les Russes, tel serait aussi le désir de la cheftaine des poubelles en grève illimitée, je veux parler de la fille de rien, « la hija de nada », plus que « la hija de algo », la merdeuse et emmerdeuse de Paris.

Donc pour en revenir à l’exclusion demandée à l’encontre des athlètes russes et biélorusses des prochains Jeux, qui nous dit que d’ici 2024, certains grands changements internationaux, ne fassent que ces Jeux Olympiques d’été de 2024 ne se déroulent que pour la dernière fois, dans une déconfiture parisienne d’une ville devenue quasiment une capitale du quart-monde, en point d’orgue aux Jeux Olympiques modernes

Jeux Olympiques modernes eux-mêmes précédés, dans divers pays, par quelques tentatives, depuis la fin du XVIIIe siècle, qui ont repris le flambeau olympique en 1896 à Athènes puis à Paris en 1900 (avec les premières participations de femmes).

Paris et Athènes, quels symboles pour la déconfiture olympique. Deux villes en pleine décadence. Pour un esprit olympique qui n’existe pratiquement plus.

Où est l’universalisme olympique ? Certainement pas dans les appels « olympiques » à l’apartheid à l’encontre de certains pays. Qu’un pays, ou du moins ses représentants officiels et légaux déclarent boycotter des jeux est une chose. Ils s’excluent d’eux-mêmes. Et ne font de tort qu’à leurs athlètes ainsi exclus de la compétition. Mais qu’un pays appelle à interdire la présence d’athlètes de telle ou telle nationalité, tel ou tel pays, est tout autre chose.

Je crois que c’est la baffe de trop à l’encontre de Pierre de Coubertin et des autres initiateurs des jeux Olympiques dits « modernes » entre nations, de la plus petite à la plus grande. Celui du temps de l’industrialisation en grand des pays occidentaux.

« L’essentiel est de participer », à condition de ne pas être exclu. Dans des compétitions fraternelles. Mais quelle fraternité espérer quand certains sont exclus. Dans des compétitions loyales entre gens sains quand la triche est technologiquement organisée dans tous les pays à plus ou moins grande échelle. À l’image de certaines « élites » droguées et sans morale aucune.

Quand la neutralité politique olympique est morte. Quand on ne respecte même pas la simple trêve olympique.

Et que l’amateurisme, la gratuité du geste a disparu depuis des lustres. Remplacé par des sportifs dont c’est le métier, comme au temps des gladiateurs. Époque romaine qui, d’ailleurs, a déjà fait dégénérer les Jeux Olympiques antiques.

Quand les Jeux Olympiques magnifient non seulement l’exclusion, la triche, mais au final le lucre. À l’image en particulier d’un monde occidental totalement décadent, pour ne pas dire dégénéré.

Dans cette mascarade des petits hommes et des petites femmes, qui est encore sain de corps et, qui plus est, d’esprit ?

From → divers

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