Vidéo intéressante, ou plus exactement dramatique qui rappelle, montre l’état de décomposition d’une partie au moins de la société ukrainienne.
Une caricature de société mondialiste qui la singe dans le pire de ses travers. Faire des enfants des « jouets », des objets sexuels, de la plus tordue des « sexualités ». Mais peut-on encore parler de sexe même, ici.
À propos de GORSAD KYIV, sic : GORE + SADE = goret sadique.
Ceci n’est évidemment pas un hasard, mais l’expression même de l’inhumanité bandériste qui dépasse, sans même s’en cacher, et avec pignon sur rue, le niveau moyen de la dégénérescence occidentale.
Ce dont il est question ici c’est ce que l’on appelle de l’art contemporain, je suppose. « Le monde de la dégueulasserie encensée après l’assassinat du monde de la beauté, » me dit C. D. Qui ajoute fort justement : « David Hamilton, lui, n’a jamais été reconnu coupable de rien et on l’a sali. Ici, on vénère le sale… »
Et j’ajoute : « on vénère encore plus la mort ». La mort abjecte de préférence. Et la souffrance programmée. Comme tous les jours depuis 2014 au moins, où dans la même logique, le fanatisme destructeur bandériste tue adultes comme enfants au nom d’une folie satanique, sataniste. Fanatisme qui se retrouve jusqu’au sein même de l’armée kiévienne ou plus exactement du gang armé otano-kiévien.
L’Ukraine sadique est un pays ou la chair humaine est en vente libre, en destruction libre, corps et âme, en fait :
Chair d’enfant pour les satanistes dans les salons de « l’art dégénéré » ;
Chair d’enfant dans les rues du Donbass, quand un enfant croit prendre un jouet, diffusé sciemment à cet usage, et se fait déchiqueter (au moins pire) la main en saisissant une mine antipersonnel ;
Nourrissons vendus pour quelques milliers d’euros aux bobos des contrées de l’Ouest européen.
Sans oublier la chair femelle et mâle de la location des corps dans la prostitution ou les mariages bidons avec des Européens plus ou moins friqués de l’Ouest ; ici aussi une sorte d’institution nationale.
Chair d’enfant ou d’adulte dans un immeuble détruit, une école, un hôpital. Sadisme ukrainien qui ne respecte rien, ni personne et qui tire sur ses propres soldats quand ces derniers ne veulent plus avancer et finir en chair à canon. Sadisme institué contre les Russes, les minorités d’Ukraine et les « mauvais » Ukrainiens. Contre le monde entier en fait.
Ces demeurés sans avenir, qui ont pour religion la destruction humaine et la mort, la barbarie, l’inhumanité intrinsèque, se revendiquent du bandérisme et du nazisme. Du bandérisme pas de problème, si je puis dire. Cette folie mortifère ne tolère qu’elle-même. Sécrète la haine. L’inculture. L’inintelligence. Elle est éloignée de toute notion de Vérité, de Science et d’Art. Et suit présentement son modèle mondialiste.
Mais, je crois que ces malades mentaux n’ont retenu du nazisme que ses débordements et dérives extrêmes, car il faut quand même dire que le régime nazi a toujours refusé la dégénérescence de l’art. Et même glorifié l’art le plus classique qui soit. Comme le régime bolchevique d’ailleurs l’a fait. Pour de mauvaises raisons, sans doute, mais c’est un autre sujet.
Il est évoqué Balenciaga dans cette vidéo. Un modèle du cloaque occidental à suivre sans doute, pour le marigot centre-oriental de l’Europe. Je me suis renseigné et j’ai appris que Balenciaga est, ou plutôt a été une marque prestigieuse, d’origine espagnole, puis parisienne depuis l’entre-deux-guerres. Marque du nec plus ultra de la mode branchée et du luxe français. Ou de l’élégance.
Cette marque a été reprise à la mort de son créateur et ses dernières années celle-ci aurait sombré, elle aussi, dans la déliquescence sous la direction d’un « artiste » géorgien. La Géorgie, en voilà d’un autre pays infesté de mondialistes. « Tout ça pour en arriver là », pourrait dire Staline, s’il vivait encore. Balenciaga avec deux récentes campagnes de collections franchouillardes et décaties, dont certaines tenues ont été qualifiées, à très juste raison (j’ai regardé, j’ai vu), d’inspiration sado-masochiste.
Et dire qu’à côté de ça, David Hamilton, innocent de tout mal, a été traîté de tous les noms ! Et mis au plus bas, et traîné dans la boue par une bande de prétendus z-et prétendues féministes ; et en particulier de pétasses qui voulaient, avant tout et pour unique reconnaissance, « leur petit quart d’heure de gloire » (D. Hamilton, dixit).
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