La réflexion du jour
Il y a belle heurette que je n’ai plus le complexe de la page blanche, mais plutôt l’angoisse de la page noire, ou plus exactement de la page noircie en tous sens (directions) et en tous sens (expressions, significations), en de multiples notules et notulettes, et moultes types d’essences (sensations, sentiments, interprétations), parfois difficiles à conjuguer, ou du moins à tenir entre elles, ensemble.
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