Aller au contenu principal

C’EST PAS D’HIER

12 janvier 2023

Dans quel monde, ILS vivent et dans quel monde on vit, ou plus exactement ILS nous imposent de vivre ?

Quand on dit ou qu’on observe que le monde qui nous « dirige » est un monde totalement inversé, « déconnecté des réalités quotidiennes » pour employer une expression maintenant consacrée, que c’est le monde ouvertement de la corruption par l’argent, du mensonge éclatant organisé, des têtes qui enflent, de la propagande éhontée, délirante, déshumaniste (transhumaniste), grotesque, pitoyable, de la censure sans vergogne aucune, de la mise sous le boisseau, ou sous le tapis, de l’interdit, du dénigrement organisé et de l’invisibilisation de tout ce qui dérange la caste, on se dit et d’une que ça ne date pas d’hier (des millénaires d’Histoire nous précèdent et les exemples patents du XXe siècle sont encore là pour nous le rappeler) et de deux que l’événement sans doute le plus manifeste qui a ouvertement marqué le début de la fin (du moins je l’espère) du mondialisme et de cette prétendue « démocratie » occidentale est cette loi Fabius-Gayssot.

Du nom d’un « socialiste », ou pour mieux le dire « social-démocrate », juif marrane (baptisé catholique pendant la Seconde guerre mondiale) sioniste impliqué dans le scandale du Rainbow Warrior, puis du sang contaminé, qui a appelé à éliminer el-Assad et qui aujourd’hui et depuis 2016 préside un Conseil Constitutionnel vidé de toute substance, de toute légitimité, ignoble, totalement dégénéré.

Et du nom d’un je ne sais pas s’il est « gay » et je ne sais pas s’il est « sot », ou « seau, » ou « sceau », mais d’un indéfectible « communiste », ou pour mieux le dire également « stalinien » ou « néo-stalinien ».

Au début des années 90, la plupart des citoyens ordinaires n’a pas pipé, n’a même pas remarqué ce qui se tramait, englouti dans l’idéologie holocaustique. Pour le dire en peu de mots, ladite Shoah est devenue une religion d’État dont il est devenu interdit, « criminel », de contester les dogmes, la doctrine et sa pratique.

Je ne vais pas développer ici l’histoire du révisionnisme, qui est le nom non infamant de cette école d’historiens qui contestent la réalité de ces dogmes (le terme « révisionnisme » ne saurait être péjoratif ; tout vrai historien en tous domaines de l’Histoire, y compris histoire de l’art ou de la littérature, est révisionniste ou à l’inverse… propagandiste et donc faux historien).

Je voudrais juste rappeler que l’histoire (je pèse mes mots) des chambres à gaz homicides a été semble-t-il lancée par les bolcheviques en Pologne vers la fin de la Seconde guerre mondiale.  Pays catholique qui dans l’entre-deux-guerres (en particulier) fut très portée sur les pogroms ; comme la Lituanie sa voisine et très longtemps alliée avec elle dans la République des Deux Nations.

Contrées qui n’ont jamais été très copines avec la Russie orthodoxe.  On le voit aujourd’hui encore avec la masse de mercenaires et militaires polonais qui sont dans l’armée otano-kiévienne et qui ont en haine les Russes.

Cette histoire holocaustique a été reprise par les étatsuniens qui alors étaient alliés de circonstance avec l’URSS, et ses créditeurs, comme il le furent, dans le même temps, de l’Allemagne.

Il ne faut jamais oublier qu’entre 1918 et 1939, la Pologne fut un État fascisant, puis clairement un régime militaire fasciste. Cette Grande-Pologne avait annexé, ou ré-annexé des contrées, des provinces ukrainiennes (Galice, Lvov, Ivano-Frankivsk, Volhynie), biélorusses et lituaniennes (Vilnius).

Le nom infamant pour « révisionniste » (j’entends « révisionniste historique », car il existe ou il a existé aussi du révisionnisme dans le marxisme ou encore dans le sionisme) étant « négationniste ».

Juste pour dire que tout ce qu’on subit à propos du covidisme et de l’ukrainisme mondialistes est du même acabit. Et est déjà en germe dans cette loi imbécile et d’essence dictatoriale et totalitaire. Comme est devenu notre société en tout.

Il n’y a rien à faire, il faudra que toute la génération de la guerre (pour le moins) disparaisse.  On ne peut rien contre une croyance ancrée dans l’esprit des gens par des êtres totalement conformistes ; on voit ce que ça donne pour tout le reste : covid et Ukraine en particulier. C’est le monde inversé, mensonger, a-scientifique, anhistorique, et tout « a- » ou « an- » que l’on voudra.

Moi, j’ai laissé tomber le milieu écolo du début des années quatre-vingt-dix quand j’ai reçu plusieurs courriers de gens qui visiblement étaient à côté de la plaque et me livraient de la croyance, mais aucune réflexion historique concernant certains faits ou prétendus faits avérés de la Seconde guerre mondiale.

Je n’ai pas répondu à ces intellos pour la plupart, enseignants : tarés diplômés, donc inexcusables.  Quand je vois ce qu’est devenu le mouvement écolo, je ne regrette vraiment rien.  En fait c’était déjà un premier signe, avant-coureur de la débâcle actuelle, des Verts et de la société en général, et un signe très fort de leur connerie très généralement « de gauche ».

Ils ont également cherché des poux à l’époque à l’un des « pontes » des Verts d’alors, Jean Brière, qui a dû partir lui aussi ; et la mise en minorité puis le départ de Waechter de la direction du mouvement ne sont sans doute pas également étrangers à ça. Avec une entrée massive de socialos ou autres gauchistes ou PSU chez les Verts : la Ligue communiste révolutionnaire (sic), à défaut d’agir pour elle-même, manipula les primaires écolo au début des années 80 pour que ce soit son chéri Lalonde qui soit le candidat des Verts, le PSU se dissout en novembre 1989 et entre en force chez les Verts. Entrisme, récup, dont on voit ce que ça donne aujourd’hui, une sorte d’écolo-fascisme pro-covid et pro-bandérisme ukrainien. Mondialiste.

Et cela fait déjà pas mal d’années que tous ces milieux gauche-droite réunies nous bassinent avec leur « vérité », leur « liberté », leur prétendu « progrès » ; leurs dogmes et leur mépris surtout. Et sur tout. J’aurais envie de dire que cette caste, cette maffia a un fort côté, un grand relent diurétique (mais pas éthique pour un sou). Ils nous pissent dessus à diable que veux-tu. Le plus bel exemple est le referendum de 2005 pour lequel ils ont passé outre le peuple.

À ce jeu, peu nombreux sont ceux qui n’y perdent pas la raison, le bon sens, la vérité. Et à ce jeu, peu nombreux sont ceux qui l’ouvrent pour réellement dénoncer l’essentiel. Ô on a un tas de rebelles d’opérette et de plateaux télé, des comiques affligeants de médiocrité, et tout un tas de prétendus contestataires qui ne prennent aucun risque.

Je ne vais pas en rire, mais cela m’amuse toujours quand même un peu de voir un Onfray tirer sur l’ambulance Freud en un livre qui ne lui coûte pas grand-chose, ou auparavant un Ferrand, certes apparemment sympathique, titrer un livre L’Histoire interdite, quand il n’y est question que de « révélations » qui n’en sont même plus, ou plus beaucoup, ou hors des passions essentielles des hommes de notre époque concernant :

– la localisation de la cité antique d’Alésia, moins Alise-Sainte-Reine que Syam-Chaux-des-Crotenay * ;

– l’histoire de Jeanne D’Arc moins l’épopée française d’une bergère lorraine qu’un personnage manipulé par Yolande d’Aragon, de la maison d’Anjou ;

– le personnage de Moliere (sic, c’est ainsi que s’écrivait autrefois ce nom, sans doute — mais il y a d’autres étymologies possibles — de l’ancien-français « moller/mollier/molierer » : légitimer) moins le génial dramaturge classique que le bouffon du Roi et prête-nom de plusieurs auteurs, en premier lieu de Pierre Corneille et de son entourage ;

– la supercherie des restes de Napoléon en « son » tombeau des Invalides, qui serait ceux d’un autre,

– l’Affaire Dreyfus, fruit d’un enchaînement où la trahison (ou double jeu programmé) de l’officier Esterhazy, au profit de l’Allemagne, s’est transformée en accusation contre un officier innocent Dreyfus, pour mieux couvrir le généralissime Saussier, rien de moins que le chef d’état-major de l’armée, qui s’était compromis à faire de la femme autrichienne d’un certain Weil, ami d’Esterhazy, et officier viré de l’armée pour malversations, sa maîtresse.

Pourquoi vous parler d’Onfray et de Ferrand ? Parce que ces deux personnages qui entendent revoir l’Histoire, la réviser ne daignent pas accuser réception de livres dont apparemment l’auteur les dérange. Trop sulfureux à leur goût.

* Comme l’actuel Mont Beuvray ne serait pas l’oppidum antique de Bibracte, mais Mont-Saint-Vincent ; pas plus que Gergovie ne se situerait là où on le dit habituellement, mais au Crest, à l’extrémité de la montagne de la Serre ; du moins sont-ce les thèses d’Émile Mourey.

From → divers

Commentaires fermés