GAZODUCS : EN QUÊTE D’ENQUÊTE !
D’après François Asselineau du 10 octobre.
Ce qu’on a fini par savoir : DU CÔTÉ DE LA SUÈDE
— L’activité d’un gros câble électrique sous-marin près du gazoduc aurait cessé la veille de l’attentat, puis aurait repris son activité dès le lendemain.
Le gouvernement suédois
— A caché depuis 2015 la découverte d’une bombe sous-marine «perdue par l’OTAN» à côté du gazoduc.
— A refusé à la Russie de participer à l’enquête internationale alors que c’est le pays propriétaire des gazoducs.
— A par contre autorisé les États-Unis à y participer
— Et refuse même de donner accès aux résultats de l’enquête à la Russie.
À ce stade de veulerie vassale, il y a une volonté délibérée de l’État suédois de falsifier l’enquête, pour ne pas dire de faire une enquête bidon (ou Biden plus exactement) ou de ne pas en faire, afin de disculper les coupables très probablement anglo-saxons et peut-être d’autres aussi (polonais ? ).
Il va falloir attendre les réactions des deux premiers pays concernés : la Russie et l’Allemagne.
J’espère que les dirigeants Russes riront au nez de l’Occident. Quant aux Allemands, avec des lavettes « de gauche » et « écolos » comme ils ont au gouvernement, je pense qu’ils s’écraseront.
Seuls les éléments les plus décidés des peuples pourront changer la situation. On ne pourra pas échapper à une véritable révolution européenne. À défaut de ça, d’en crever.
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