DU TOTALITARISME TRANSHUMANISTE SOURNOIS
J’ai appris hier incidemment, par un article de l’Immonde vers lequel on m’a aiguillé — car il a belle urètre, pardon belle heurette que je ne perds plus mon temps comme je le fis autrefois à le lire ou même simplement à le parcourir 1 — et dont je ne connais, bien évidemment, que la partie gratuite que l’on trouve sur Internet, que le gouvernement, quand il ne s’en remet pas tout simplement à des sociétés de « conseils » privées (qui sont également des sociétés privées de conseils éclairés, bénéfiques à tous et non aux mondialistes) fonctionne au gré des sondages. De sondages diligentés, sur l’argent public, auprès d’organismes privés, sondages dont l’existence et les résultats demeurent secrets.
Et l’on comprend pourquoi. Le principe même et les types de questionnement relèvent de l’odieux. C’est leur forme à eux d’en référer au menu peuple, d’en appeler à référendum , à simple consultation. Naviguant à vue sur la dite opinion publique, qui n’est jamais que le reflet de la propagande gouvernementale et médiatique (qui est la même depuis que faire du journalisme consiste à recopier l’AFP et aller au-devant des desiderata de la caste dominante).
Vice diabolique de transhumanistes dont le but est de faire avaler toutes leurs pires mesures au meilleur moment. Rien de plus.
Je vous livre donc le début de cet article consultable ici :
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Les commandes de sondages par le gouvernement ont atteint un niveau inédit pendant la crise du Covid-19
En deux ans, le service d’information du gouvernement a eu recours à plus de 225 études, pour un montant minimal de 2 millions d’euros, selon les informations du « Monde ».
Par Pierre Januel, Laura Motet et Camille Stromboni
Est-ce une nouvelle méthode appelée à être appliquée lors de prochaines crises ? Durant les années 2020 et 2021, confronté à la pandémie de Covid-19, le gouvernement a déployé un dispositif inédit pour suivre l’état de l’opinion, comme le montrent les sondages confidentiels commandés par l’exécutif pendant cette période. Des enquêtes destinées à éclairer l’action du pouvoir, que Le Monde s’est procurées par le biais d’une demande d’accès aux documents administratifs.
En deux ans, le service d’information du gouvernement (SIG) a eu recours à plus de 225 études, pour un montant minimal de 2 millions d’euros. Questionnaires en ligne, sondages par téléphone, études qualitatives, communauté en ligne, la société française a été examinée sous tous les angles, avec des méthodes bien plus poussées que lors de précédentes crises du quinquennat, comme celle des « gilets jaunes » [vous pouvez mettre des majuscules, ça n’est pas interdit et même fortement recommandé par les grammairiens], où le gouvernement avait commandé neuf études pour 140 000 euros entre le 3 et le 19 décembre 2018. « C’est une panoplie étoffée pour suivre au plus près l’opinion, commente Brice Teinturier, directeur général délégué de l’institut Ipsos, qui produit des études pour le SIG, dont certaines sur le Covid-19. Il y a rarement un dispositif aussi complet, mais la crise était inédite par son ampleur. »
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De la connaissance des gestes barrières dans la population, à son état d’inquiétude jour après jour, en passant par son jugement de l’action du gouvernement, l’éventail des questions posées est très large. Les études d’opinion servent aussi à tester les futures annonces, afin d’en mesurer l’acceptabilité. Le 5 février 2021, alors que les cafés et restaurants sont encore fermés, les Français sont sondés par l’IFOP sur l’idée d’une « réouverture le plus tôt possible seulement pour les personnes vaccinées » – soit le principe du passe vaccinal. La majorité des personnes interrogées s’y déclare favorable, mais la perspective ne sera concrétisée qu’en janvier 2022.
Refuser les non-vaccinés en réanimation ?
L’approbation de l’opinion n’entraîne pas forcément de décision. Des formules plébiscitées ne sont pas retenues, comme l’obligation vaccinale pour les personnes de plus de 60 ans (66 % se déclarent pour en juillet 2021) ou les forces de l’ordre (75 % d’opinions favorables en août 2021) ou encore l’extension du passe sanitaire dans l’entreprise ou le métro (plus de 58 % pour en juillet 2021).
D’autres mesures visant à limiter les droits des personnes non vaccinées ont été testées sans être mises en place. En décembre 2021, l’exécutif s’interroge ainsi sur une obligation vaccinale, assortie d’une amende en cas de non-respect. La mesure est rejetée par 55 % des sondés. Le refus des personnes non vaccinées en réanimation sera testé quelques jours plus tard (82 % contre), tout comme le déremboursement de leurs frais d’hospitalisation (71 % contre). [toutes mesures totalement illégales et en contradiction complète avec la Constitution, comme celle de certains hôpitaux ou de certaines cliniques qui refusent actuellement en contradiction totale avec le Serment d’Hippocrate, le simple bon sens, et la simple humanité, d’opérer des non-« vaccinés », indépendamment même de savoir s’ils ont déjà subi le covid ou pas]. L’exécutif se heurte en effet à une situation paradoxale. Si, fin juillet 2021, la majorité de la population dispose d’un schéma vaccinal complet et qu’elle soutient le passe sanitaire, elle ne manifeste pas pour autant de ressentiment envers ceux qui s’y opposent. Les études montrent ainsi qu’environ la moitié des sondés déclarent comprendre, sans forcément soutenir, les manifestants antipasse. [En quoi cette situation est-elle paradoxale dans un pays, ou du moins dans une population qui se réclame encore, et malgré tout, et au moins en partie, de la liberté de manifester, de la liberté vaccinale, de la liberté d’opinion et de la liberté d’expression ? Malgré qu’elles soient si mises à mal]
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Remarques préalables :
On ne sait rien de la teneur de ces sondages. Des contenus des questions posées, de leur formulation, des orientations plus ou moins implicites ou explicites de celles-ci, de leur caractère franc ou ambigu, etc.
On ne sait rien du support de questionnement, des personnes sondées : catégorie sociale, âge, sexe, emploi, personne ayant eu le covid ou pas, « vacciné » (combien de fois) ou pas, etc.
Tout sondage est une manipulation potentielle, en puissance, de l’opinion du moment, qui doit tout à la propagande, et qui va jusqu’à orienter les votes des citoyens par exemple.
Je constate effaré que 45 % des sondés (je n’écris pas les Français, comme on dit assez rapidement dans les sondages) seraient prêts à imposer, amende à l’appui, une « vaccination » obligatoire. En vertu de quoi ? Pas en vertu de la Liberté, de l’Égalité et encore moins de la Fraternité. Où est la Science là-dedans, du moins ce qu’il en reste, la Science posée et indépendante du moins, l’opposé du scientisme mondialiste ? Que connaît le péquin du coin de ce produit qui s’avère être contre-productif et délétère. 2
Que 29 % des sondés seraient pour le déremboursement des frais d’hospitalisation des non « vaccinés ». En vertu de quoi ? Pas en vertu de la Liberté, de l’Égalité et encore moins de la Fraternité. Petit détail en passant : les hospitalisés sont aussi des cotisants à la Sécu. Sécu, acquis du Conseil National de la Résistance, qui repose (encore, mais pour combien de temps?) sur un principe d’entraide mutuelle. L’énorme majorité des gens ne peuvent pas payer de tels frais. 3
Que 18 % de salopards seraient favorables à ce que l’on refuse les personnes non « vaccinées » en réanimation. En vertu de quoi ? Pas en vertu de la Liberté, de l’Égalité et encore moins de la Fraternité. Moi, je dis qu’il faut être bien atteint mentalement pour sonder des gens sur de telles propositions, dont la dernière en particulier. Elle montre le niveau de délabrement de l’intelligence et du caractère proprement sordide et inhumain de la racaille mondialiste.
J ‘allais écrire : « pourrait venir un jour où par un simple clic d’ordinateur, après que l’eût réinstauré la guillotine, on serait invité à décider de la vie ou de la mort de quelqu’un ». Mais, je viens de me rendre compte qu’on y est déjà par ce principe de sondages. Tout dépend au final de l’intention de celui qui lance le sondage et de son but du moment. Comme en parfaite dictature eugéniste, ou pour le dire avec un mot d’aujourd’hui : transhumaniste.
Et quand je pense que le sociopathe qui fait faire de tels sondages, lui et sa maffia de tarés, a été réélu par 58% des voix exprimées ! Dont combien de voix « de droite » et plus encore sans doute « de gauche », qui se clament haut et fort comme étant « anti-fascistes » (anti-fascisme d’un temps qui n’existe plus) et pire encore soutiennent l’État bandériste ukrainien (une des barbaries de notre temps).
Ce début d’article ne dit rien des sondages effectués entre le 3 et le 19 décembre 2018 (autrefois on avait les RG dévolus à ça), soit aux premières semaines du mouvement des Gilets Jaunes (avec des majuscules, et sans guillemets, petites gens gratte-papier de l’Immonde !).
Mais je peux me demander si les gros trouillards qui nous dirigent (ils haïssent le peuple, mais en ont aussi une peur bleue, viscérale — « classes laborieuses, classes dangereuses » — rien n’a changé avec la passation de pouvoir de la noblesse à la bourgeoisie ; comme ils haïssent tous ceux qui sont grands et qui leur tiennent tête, comme en Russie présentement), si les gros trouillards donc qui nous dirigent n’auraient pas décidé par sondage (sic) de l’usage d’un fusil à éborgner, mis dans les mains des policiers les plus salauds, et semble-il aussi des plus jeunes.
Je vois, j’imagine le genre de question :
Les dits Gilets Jaunes sont la lie de la société, ramassis de gueux, de beaufs populistes, fachos, nazis. Seriez-vous — plutôt pour qu’on utilise à leur encontre des gaz asphyxiants, ce qui demanderait l’utilisation d’une quantité importante de gaz, donc une grosse dépense en ces temps difficiles — ou plutôt, afin de calmer l’ensemble de ces récalcitrants, pour l’éborgnement d’individus pacifiques pris au hasard dans la foule, ce qui serait une économie et un moyen assuré de ramener la paix civile ?
Notes :
1 — J’ai cessé définitivement de l’acheter et de le lire quand j’y ai lu un article qui reprenait à son compte une expression de Kouchner qui traitait les Verts de l’époque, opposés à la Guerre du Golfe, de « Verts de gris »… Pendant la Seconde guerre mondiale, on appelait « Vert de gris » le soldat allemand dont l’uniforme était d’un vert grisâtre foncé. Et d’allemand à boche, puis nazi, le pas est allègrement franchi…
J’avais d’ailleurs retardé de plusieurs années cette décision par je ne sais quel atavisme. Les Verts étaient alors dirigés par Waechter dont la devise était « ni de droite, ni de gauche, mais devant », et qui n’avait pas grand chose à voir avec les pseudo-écolos d’EELV d’aujourd’hui. Waechter a quitté les Verts en 1994 pour fonder le Mouvement Écologiste Indépendant où il a retrouvé Jean Brière, qui fut membre du PCF en sa jeunesse, puis membre fondateur et porte-parole des Verts, qui a été exclu des Verts en novembre 1991 pour crime de lèse-majesté juive, je veux dire (on était alors dans les temps fous de la loi Fabius-Gayssot) pour avoir diffusé, quelques mois auparavant, un texte très juste intitulé : « le rôle belligène d’Israël et du lobby sioniste » ; texte qui n’eut pas l’heur de plaire parmi les Verts « aux juifs de service du sionisme » (voir plus bas). Drôle de constater que ceux qui ont repris le nom (le nom seulement) « Les Verts », par une opération d’entrisme, ont à leur tête un certain Jadot, personnage « de gauche » qui l’autre jour, et sans aucun problème, a qualifié Zemmour de «Juif de service pour les antisémites».
2 — Je suis plutôt d’accord avec le commentaire d’un anonyme d’Internet qui disait en substance : les eugénistes et autres malthusiens mortifères ont diffusé sciemment un virus fabriqué, puis ils ont achevé le travail par un pseudo-vaccin pour le rendre encore plus toxique et mortel à plus ou moins longue échéance.
3 — Cela me fait penser à certaines personnes ou personnalités de pays exotiques, recommandées par des ambassades, qui viennent se faire opérer en France et dont la note d’hospitalisation n’est jamais honorée par l’ambassade qui n’en a d’ailleurs pas les moyens. Vous avez dit : Deux poids, deux mesures. Mais bon, enfin ! tant mieux pour ces étrangers.
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