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Pseudo-vaccin Pfizer : 95% d’efficacité sans problème, ou 95% de couillonnés, dont nombre à problèmes ?

6 mai 2022

La Justice étasunienne qui est encore malgré tout un contre-pouvoir nettement plus efficace que la Justice française aux ordres, semble s’intéresser de plus en plus aux agissements de Pfizer.

Il faut savoir que cette entreprise pharmaceutique a déjà été condamnée ces dernières années, et à maintes reprises à quelques milliards de dollars d’amendes et autres.

Ainsi, la FDA (Food and Drug Administration), la direction des affaires sanitaires a été amenée à rendre publiques ses archives sur la question du pseudo-vaccin Pfizer dit « à Arn messager » contre (euphémisme ou antonymie ?) le covid-19.

Remarque en passant, la FDA pourrait faire la même chose avec les « vaccins » Johnson & Johnson, Moderna, etc. ; on arriverait nécessairement aux mêmes conclusions.

La livraison publique des archives a commencé, sauf erreur début mars de cette année. Dans sa dernière livraison du 2 mai, ce sont 11.000 pages de documents qui viennent encore s’ajouter aux pages publiées en mars et en avril, si bien qu’on en est maintenant à pas moins de 80.000 pages de documents rendus publics.

Les plus tenaces, les plus curieux, les chercheurs de quintessence de la raison et autres indécrottables « complotistes » — il faut avoir l’envie, le temps de chercher, et sans doute au moins quelques connaissances médicales pour ne pas laisser passer quelque information importante — ont déjà repéré quelques « perles ».

Si vous voulez faire de même, vous pouvez vous y plonger, dans ces « Pfizer’s Documents », c’est ici par exemple (en anglais bien évidemment), publié par Public Health and Medical Professionals for Transparency. Professionnels de la médecine et de la santé publique pour la transparence

Pfizer’s Documents

This nonprofit, made up of public health professionals, medical professionals, scientists, and journalists exists solely to obtain and disseminate the data relied upon by the FDA to license COVID-19 vaccines. The organization takes no position on the data other than that it should be made publicly available to allow independent experts to conduct their own review and analyses. Any data received will be made public on this website.

Cette organisation à but non-lucratif, composée de professionnels de la santé publique, de professionnels de la médecine, de scientifiques et de journalistes existe uniquement pour obtenir et diffuser les données sur lesquelles la FDA s’appuie pour autoriser les vaccins COVID-19. L’organisation ne prend aucune position sur les données, sauf qu’elles doivent être rendues publiques pour permettre à des experts indépendants de mener leurs propres examens et analyses. Toutes les données reçues seront rendues publiques sur ce site Internet.

Vous y trouverez par exemple, les neuf pages concernant les effets secondaires prévisibles de ce qui n’est évidemment pas un vaccin, mais une forme de thérapie génique, ou para ou péri-génique, qui plus est expérimentale, mondiale (du moins en Occident). Et pour clore le tout : inoculée pendant une épidémie, ce qui est déjà en soi une rupture criminelle avec toute bonne pratique médicale.

Sans développer sur la dangerosité de ce qui a été fait — à partir de la protéine spicule (ou spike) toxique et dangereuse, qui plus est enclenchant un cycle qui apparemment ne s’arrête plus — on peut quand même rappeler que ce « médicament » a intrinsèquement pour base un virus artificiel, « bricolé », très probablement dans un but de gain de fonctions, autrement dit, qu’il est tout simplement du domaine des armes bactériologiques. Du terrorisme guerrier et barbare. Produit d’une coopération entre des Chinois, des Étatsuniens, et il se pourrait, disent certains, de Français du côté de l’Institut Pasteur. *

Reste à savoir si le pseudo-vaccin a pour but de soigner ou pour but d’amplifier les effets pathologiques, délétères voire mortifères quand on voit la présence et l’agitation de certains transhumanistes et eugénistes, en rapport avec le covid dès avant même sa « sortie » publique, tel Bill Gates (mais il n’est pas le seul) déjà connu pour avoir participé à des campagnes de pseudo-vaccinations tellement nocives (expérimentales, ou volontairement mortelles, ou dont le but caché était de stériliser des femmes) que cet individu est devenu persona non grata en Inde par exemple. Tout est possible à notre époque troublée, de folie impérialiste finale ; le pire en particulier, comme on le voit par ailleurs à la manière dont cet empire, croulant et totalement immoral, réagit concernant l’opération spéciale de débandérisation russe en Ukraine.

Mais pour en revenir à ces neuf pages d’effets secondaires, dont des gratinés, et pour lesquels la FDA a malgré tout accordé production et diffusion, bien appuyée par une campagne délirante, psychopathique ou plutôt sociopathique de peur, de limitation des liberté publiques et d’interdiction des médicaments qui soignent, j’en note simplement deux, d’effets secondaires, que chacun devine : ce médicament (car c’est un médicament, nullement un vaccin, qui plus est médicament maléfique) est déconseillé aux femmes enceintes ou qui allaitent.

Ce qui n’a pas empêché ce gouvernement de corrompus criminels et le « médecin » Véran en particulier, au mépris total du principe de précaution, au mépris total du Serment d’Hippocrate, et au mépris total de la vie humaine, de pousser publiquement les mères allaitantes ou futures mères à se faire piquer, une fois, deux fois, trois fois. Autre hérésie médicale très primaire ! Avec les résultats que l’on connaît de plus en plus par des témoignages, malgré la chape de plomb maintenue au-dessus du peuple par les salauds de la non-information.

Je ne saurais dire à combien on peut évaluer le nombre d’enfants morts-nés, avant terme ou à terme, ou d’enfants morts dans les premiers morts de leur vie. Poupons dont les mères avaient été « vaccinées » et « revaccinées ».

Le plus effrayant, en la demeure, est que c’est une bonne partie du corps médical, médecins, pharmaciens, infirmières, et même vétérinaires appelés à la rescousse de la propagande et de la piquouserie, qui ont participé, en pleine folie, à cette mascarade anti-scientifique et totalitaire.

Qui n’a pas subi de ce milieu, ou qui ne connaît pas quelqu’un qui a subi des pressions scandaleuses à se faire piquer ; sans aucune garantie et contre finalement ce qui ressemble, j’ose l’espérer — mais on le verra sur le long terme — à rien de plus qu’une grippe (ni rien de moins, car elle peut être mortelle pour des personnes très âgées, sans défenses immunitaires, ou possédants des comorbidités).

La dernière livraison des documents Pfizer du 2 courant, révèle l’ensemble de l’escroquerie, puisque l’entreprise sataniste Pfizer a obtenu de la FDA yankee le droit de diffuser un produit, lisez bien : dont l’efficacité reconnue était de 15% sur sept jours ; au-delà, son efficacité (efficacité selon leurs critères) tombant à 1% !

Ce qui n’a pas empêché la FDA étasunienne de donner son accord. Je crois avoir lu quelque part que Pfizer arrose largement tout un tas d’organismes, comme ses concurrents le font également, à travers le monde, ou du moins le petit monde occidental à la dérive. La FDA, l’Union Européenne avec à sa tête l’intégralement corrompue van der leyen dont on a pu voir les liens étroits qu’elle entretient avec le patron de Pfizer. Quasi l’amour, si l’on peut parler d’amour dans ce milieu de timbrés assoiffés de pognon et de pouvoir de destruction.

  • Virus artificiel (ce que l’on sait publiquement, mais pas à partir des media de la propagande, depuis les premiers mois de 2020) du Sras-cov-2 qui est celui du Sras-cov-1 humain (syndrome respiratoire aigu sévère à corona virus, premier de la série) qui a sévi entre 2002 et 2004 en Chine, « bonifié » de (je cite de mémoire) 135 « ajouts », « apports » divers. Sans aucun doute moins destinés à fabriquer un vaccin qu’à le rendre plus virulent. On y trouve ainsi, mais il est nécessaire de se répéter, des séquences de la malaria et « mieux encore » du sida.
    Des gens du milieu scientifique ont déjà remarqué des analogies séquentielles entre le virus artificiel du Sras-cov-2 et divers brevets dont certains de l’Institut Pasteur qui datent déjà de plusieurs années, ou … un de Microsoft beaucoup plus récent, lié aux nanoparticules (cf. d’anciens articles de ce blogue). Beaucoup plus récemment, des chercheurs ont constaté la présence dans ce virus artificiel d’une séquence, contenant un total de 3300 nucléotides, qui a été brevetée par la division de recherche contre le cancer de Moderna, en février 2016.
    Cocktail sanitaire explosif ?

From → divers

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