Quelques nouvelles des jours récents, en vrac, parmi tant d’autres possibles du même acabit
J’ai pioché à plusieurs râteliers et plus ou moins remodelé. Certaines réflexions sont de moi et j’ai ajouté deux textes signés.
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La succursale de Gazprom en Allemagne a arrêté ses activités. Qui seront les plus gênés ?
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Élue par personne, sans doute corrompue, prenant des décisions en violation des traités européens (interdiction de RT, de Sputnik, achat d’armes pour l’Ukraine : L’UNION EUROPÉENNE, C’EST LA PAIX !), von der leyen lance des sanctions contre la Hongrie pour punir le récent triomphe électoral d’Orban qui soutient l’indépendance hongroise et la Russie.
L’indécence de cette décision de la Commission européenne, annoncée au lendemain même du tsunami électoral anti-UE de 55% des Hongrois, montre que les européistes sont fous de rage et ivres de vengeance. Leurs SANCTIONS BRAVACHES contre la Hongrie ne peuvent qu’accélérer le HONGREXIT !
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La Russie virée du Conseil des droits de l’homme de l’ONU à la demande du crypto-bandériste sioniste zelensy. Dans ce Conseil se trouve le Qatar, élu dans ce conseil en 2020, pays qui a fait mourir 6500 esclaves (pardon : ouvriers) sur les chantiers de la coupe du monde de football.
Finalement, cela pourrait être un honneur d’en être exclu.
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Macron vient de dire : « Je n’ai jamais menti aux Français » Il a osé !
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À propos de Boutcha :
Quelqu’un peut-il m’expliquer ces points : Pourquoi cette forme de « torture » et de « génocide » ne s’est pas passée dans d’autres sinon toutes les villes occupées par les russes (sauf à croire que cela ait été perpétré par les ukrainiens) ?
Pourquoi les Russes laisseraient des cadavres dans les rues pendant des jours laissant ainsi des preuves d’atrocités derrière eux ? Et pourquoi le maire de la cité n’en a pas parlé juste après le départ des Russes ?
Pourquoi aucune image de corps n’est apparue auparavant alors que les infrastructures Internet fonctionnaient toujours ?
Pourquoi les russes tueraient sans aucune raison ces personnes ? Comment savent-ils que les Russes sont responsables de ces morts?
Pourquoi alors que les Russes (soit dit en passant : pluriethniques) font en sorte de ménager au maximum les civils quels qu’ils soient, sans aucune distinction ni discrimination, et développe une aide humanitaire ?
Pourquoi etc. etc. ? Comme on dit : plus c’est gros et plus ça passe. Surtout auprès d’une humanité en régression, dominée par des croyances malsaines mondialistes, psychologiquement maltraitée et contrainte à réagir dans l’instant et sans discernement ; « propagandisée » ; dans l’émotion et sans recul. Et après ça, autre chose…
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De Gaulle : «LE VRAI SUJET DE L’ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE, C’EST L’INDÉPENDANCE DE LA FRANCE !»
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zelensky exige que des entreprises françaises se sabordent en Russie, mais il laisse ouvert le transit du gaz russe vers l’Union Européenne, via l’Ukraine, pour empocher des milliards de droits. Le plus fort c’est quand on sait que le gazoduc a été très largement financé par la Russie. Comme une bonne partie de l’économie ukrainienne d’ailleurs.
En attendant, pas de blocus par lui ! Pardon pas de sanction, blocus est un mot prohibé et du domaine de la déclaration de guerre.
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Le gâteux Biden est l’image même de la ruine « En Marche » financière, militaire, morale et tout ce que l’on voudra de l’empire américain. Autour de lui ses mignons de la dernière heure : trudeau, zelinsky, macron…
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Où va l’argent du ministère de la santé ?
À l’heure où la question des déserts médicaux revient dans les débats de l’élection présidentielle, où la suppression des lits d’hôpitaux et la baisse des effectifs de soignants nous confirment que le gouvernement n’a pas su tirer les leçons de la crise sanitaire…
… Il est légitime de poser cette question : à quoi est utilisé le budget du ministère de la santé ?
Argent qui pourrait, qui devrait, contribuer à résoudre (entre autres) les problèmes que j’ai cités plus haut.
Une partie de la réponse est que cet argent est utilisé pour l’achat de centaines de milliers de médicaments qui ne sont pas utilisés.
Distributeur automatique d’argent public
Ainsi, hier mercredi 6 avril, Le Monde publiait un article observant qu’en début d’année, l’État a commandé un demi-million de Paxlovid, une pilule censée lutter contre l’infection au Covid-19.
L’État français a effectué cette commande record dans la foulée de la publication des premiers résultats de l’étude clinique évaluant l’efficacité du Paxlovid – donc, sans souci d’un quelconque recul scientifique.
Ne figure nulle part dans l’article le montant de la facture, qui doit être très, très élevée.
Figure en revanche un autre chiffre, lequel donne une idée de la proportion de cet argent jeté par les fenêtres : 4416. C’est le nombre de doses prescrites du Paxlovid !
500 000 doses achetées rubis sur l’ongle… et 495 584 doses inutilisées !
Si vous trouvez cela scandaleux, vous avez raison. Mais ce scandale en cache deux autres.
Deux autres informations dérangeantes s’ajoutent à celle du gâchis éhonté de l’argent du contribuable.
Devinez à qui l’État a acheté ce demi-million de doses ?
Le concepteur du Paxlovid, et donc le destinataire de la facture indécente d’un demi-million de doses, ce n’est nul autre que Pfizer.
Pfizer, le géant pharmaceutique dont l’État a déjà grassement participé aux bénéfices records en 2021, en rendant la vaccination anti-Covid obligatoire [en partie, pour certains corps de métier].
Pfizer, entreprise par ailleurs cliente du cabinet de conseil McKinsey, comme l’a révélé le mois dernier le rapport de la commission d’enquête du Sénat (vous pouvez télécharger le rapport dans le lien en source[2] ; l’information se trouve p.262).
Pfizer, dont le vaccin anti-Covid a été le centre de toute la politique vaccinale française, telle que le même cabinet McKinsey l’a « conseillé » au ministère de la santé.
Ce conflit d’intérêt n’a, heureusement, pas totalement échappé à la justice, et on peut espérer qu’une action au pénal va être lancée, à l’image de l’enquête annoncée hier (6 avril) par le Parquet national financier pour «blanchiment aggravé de fraude fiscale » du même cabinet McKinsey, dont l’influence sur les décisions du gouvernement est qualifiée par le rapport sénatorial de «tentaculaire».
Le pire scandale, c’est celui-ci
Au scandale de la dépense spectaculaire de l’argent public pour rien et au scandale de la corruption présumée au plus haut sommet de l’État sur le dos de la santé des Français s’ajoute donc un troisième scandale, pire encore.
Évidemment, l’article du Monde n’en dit rien tel quel… Mais pour qui sait lire entre les lignes suivantes (issues du même article du Monde), la lumière se fait :
« Lors d’un essai clinique dont les résultats ont été révélés en décembre 2021, cet antiviral a réduit de 88 % le risque d’hospitalisation et de décès chez les personnes à haut risque et non vaccinées, à condition qu’il soit administré dans les cinq jours suivant l’apparition des symptômes. »
Or, un autre médicament a, lors d’essais cliniques, fait preuve de son efficacité anti-Covid en prévention ET en traitement (quel que soit, donc, le moment auquel on l’administre).
Ce médicament, vous en avez probablement entendu parler, c’est l’Ivermectine. En octobre 2021 est sorti le livre Le scandale Ivermectine : Comment et pourquoi ils ont bloqué l’anti-covid-19 dans lequel Jean-Loup Izambert révèle comment les autorités politiques ont manœuvré pour interdire l’antiparasitaire.
Avec le recul de quelques mois – car le livre a été publié deux mois avant la publication des essais cliniques du Paxlovid – il est difficile de ne pas penser que la neutralisation de l’Ivermectine – molécule bien connue, au brevet tombé dans le domaine public et donc peu onéreuse – n’avait in fine pour fonction que de laisser le champ libre à la pilule de Pfizer… neuve et donc beaucoup plus rentable.
Le Paxlovid, outre son efficacité décidément douteuse, présente une très grande liste de contre-indications, qui en font un médicament quasiment « imprescriptible »… si vous êtes sous un quelconque autre traitement (statines, anti-inflammatoires, etc.).
Résumons-nous :
1 – un traitement efficace selon plusieurs études (l’Ivermectine) a été écarté pour que le « marché » du Paxlovid à venir soit préservé ;
2 – dès son AMS (Autorisation de mise sur le marché), l’État passe commande à Pfizer d’un demi-million de doses du même Paxlovid, au mépris de toute retenue budgétaire et de tout recul scientifique ;
3 – cet « achat » a vraisemblablement été « conseillé » au ministère de la Santé par le cabinet McKinsey, qui, lui, ne contribue pas au budget de l’État… mais qui a Pfizer pour client.
Vous avez tous les éléments de l’équation en main.
Le résultat est explosif. Et la première victime de cette explosion, c’est notre santé.
Rodolphe Bacquet ; La lettre alternatif — bien être ; le six avril
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Nouvel exemple du « en même temps » macronien.
Dernièrement j’ai évoqué l’existence d’un nouveau scandale ; je ne savais pas trop de quoi il était question. Je ne suis renseigné. C’est l’histoire de je ne sais quel organisme ou de quel ministère qui voulait s’intéresser à la question de la petite enfance.
Une personne, un spécialiste comme on dit, a accepté de faire une étude sur le sujet. Son action était bénévole. Sans doute parce qu’elle était bénévole « on » a trouvé bon de demander à un cabinet conseil d’en faire une sur le même sujet. Il en a alors coûté 175.000 euros, certes une bagatelle, une broutille de rien du tout pour ceux qui brassent les millions des contribuables ou des emprunts.
« Je n’en savais rien » a dit macron qui ignore tout du bénévolat, de la gratuité, du don. Seul l’argent confère du prix au savoir, au talent, à la connaissance pour le petit banquier qui s’est dit un jour dépensier, un autre jour économe et sans grands désirs, et que l’on nous a dit incapable de faire fructifier au mieux son patrimoine (sauf à le faire en lousdé).
Au fait, il se pourrait bien que dans les années à venir l’euro et le dollar ne valant plus rien, si ce n’est le prix du papier nécessaire à la confection de la monnaie (mais est-ce récupérable, même au prix de gros, petites et grosses coupures confondues, encres et filigranes compris ?) les emprunts soient clos de manière radicale.
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Ils le savent et c’est pour ça qu’ils sont terrorisés : quand on tirera le fil du #McKinseyMacronGate on tombera sur :
– la corruption de l’UE
– Pfizer
– la vraie raison du Passe
– la vraie genèse de la création de LREM
De quoi faire sauter la Macronie et l’oligarchie !
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«S’éloigner de l’Occident, se concentrer sur l’Asie»: l’Amérique Latine et la nouvelle économie mondiale.
Interview par Kawsachun News de l’économiste équatorien Juan Fernando Terán * à propos des sanctions occidentales et de la manière dont l’Amérique latine peut protéger son économie.
Kawsachun News – L’industrie bananière équatorienne s’est effondrée quand lui a été fermé le marché russe. Qui paie le prix des sanctions occidentales contre la Russie ?
Juan F. Terán : Les pays qui exportent des denrées alimentaires et des produits agricoles sont aujourd’hui dans une position très difficile. L’Équateur, la Colombie, le Brésil et l’Argentine sont parmi les plus touchés. Ces pays importent presque toutes les fournitures dont ils ont besoin pour la production agricole : engrais, produits agrochimiques et même semences dans certains cas. Les sanctions ont interrompu ces approvisionnements. Nous aurions pu éviter cette situation.
L’Amérique Latine a connu un âge d’or de développement et d’intégration à l’époque de dirigeants tels que Hugo Chavez, Rafael Correa, Evo Morales, Ignacio Lula da Silva et d’autres. Au cours de ces années, de nombreux travaux ont été consacrés à la question de savoir comment la région pouvait commencer à produire ses propres approvisionnements agricoles. Il s’agissait même d’un projet phare de l’UNASUR [Union des nations sud-américaines]. L’objectif était de garantir la sécurité alimentaire face aux fluctuations des marchés internationaux. Il y avait également la proposition d’une banque à l’échelle de l’Amérique latine et d’une monnaie commune. Cela aurait pu aider l’économie de la région à survivre à la crise monétaire actuelle.
Or que se passe-t-il aujourd’hui ? Prenons le cas de l’Équateur : nous avons deux sources principales de revenus dans les exportations. La première est le pétrole, et logiquement, les conséquences de la guerre en Ukraine auraient dû être, à travers l’augmentation de son prix, une croissance des revenus pour l’Équateur. Cependant, le président conservateur Guillermo Lasso a promis au FMI de le payer au moyen des futures ventes de pétrole. Donc même si le prix du pétrole passe à 300 dollars, cela ne profitera aux citoyens ordinaires.
Et qu’en est-il de l’agriculture ?
Le pays gagne aussi beaucoup en exportant des produits comme les bananes, le café, les crevettes et les fleurs. Le principal marché pour la production de fleurs équatoriennes est la Russie. Aujourd’hui, ces producteurs sont confrontés à une crise dramatique car les sanctions les ont coupés de leurs clients. C’est une industrie énorme pour l’Équateur, dans les provinces de Pichincha et Cotopaxi, il y a des régions entières consacrées presque entièrement à la production de fleurs. Ils ont même des aéroports là-bas car ces fleurs sont exportées dans le monde entier par avion. Une petite partie de leur production va aux États-Unis et en Europe, mais la grande majorité va en Russie. La Russie est l’un des rares pays où les gens achètent des fleurs toute l’année et pas seulement pour certaines dates comme la Saint-Valentin. Hé bien, qu’en est-il de nos exportations de crevettes, de café ou de cacao ? Elles nécessitent des engrais et d’autres fournitures agricoles importés. Il y a maintenant une pénurie mondiale, la Russie était le premier producteur mondial et la voilà sanctionnée.
Quelle a été la réponse du gouvernement ?
Les pays peuvent survivre à cette tempête s’ils ont un parapluie d’État, mais l’Équateur est soumis à un gouvernement néolibéral. Notre économie n’a plus de parapluie maintenant. Quelle a été la réponse néolibérale à cette crise actuelle ? Les producteurs de fleurs ont été les premiers à demander de l’aide. Ils ont demandé des prêts afin de pouvoir subvenir temporairement à leurs besoins. Le président Lasso a répondu en disant que prendre ce genre de mesures suppose d’assumer un risque et que l’État n’a aucune obligation de renflouer qui que ce soit. Cette idée de ne renflouer personne est une excellente idée…. si elle est appliquée uniformément. Nous ne devrions pas avoir à renflouer les banquiers quand ils ont une « crise », mais bien sûr, le banquier Guillermo Lasso n’abandonnera jamais « son » peuple… Il abandonne seulement les petits agriculteurs. L’élection de gouvernements progressistes en Amérique latine n’est pas seulement une question d’idéologie ; il s’agit aussi pour les citoyens de défendre leur économie et leur niveau de vie. Si un banquier gagne une élection, ne soyons pas surpris du résultat.
De nombreux pays considèrent désormais Washington comme un allié peu fiable et cherchent à commercer dans d’autres monnaies. Pensez-vous que le dollar états-unien va perdre son hégémonie internationale ? Et qu’est-ce que cela signifierait pour l’Amérique latine ?
Lorsque les pays du BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) commenceront à commercer entièrement en Yuan, ou dans toute autre monnaie, autre que le dollar, le monde changera vraiment. Je pense que nous pouvons nous attendre à voir cette transformation dans les cinq prochaines années. Cela représentera la défaite définitive de l’empire états-unien. L’histoire nous montre que la puissance militaire d’un pays est liée à la puissance de sa monnaie.
Lorsque la Grande-Bretagne régnait sur le monde, la livre sterling dominait le commerce international. Même la dette extérieure de l’Équateur était calculée en livres sterling. Les réserves de notre banque centrale s’exprimaient en livres sterling. Cette situation a changé après la fin de la Deuxième Guerre mondiale, car les États-Unis sont devenus la nouvelle puissance dominante et ont créé les institutions financières et monétaires du monde à leurs propres fins, puis ont supprimé l’étalon-or du dollar. La guerre actuelle en Ukraine est également une question de monnaie. Les États-Unis participent à ce conflit contre la Russie parce qu’ils ont besoin de défendre à tout prix la puissance du dollar-papier alors que la Russie ou l’Inde amarrent leurs monnaies à la valeur de matières premières.
Que peut faire la région ?
L’Amérique latine doit lentement se désolidariser du dollar états-unien. Nous devons diversifier nos réserves monétaires internationales. Rafael Correa avait commencé à le faire en Équateur en investissant dans des réserves d’or, ce qui avait été critiqué par la droite. Cependant, cette diversification ne peut se faire que si nous apportons les changements nécessaires à nos relations commerciales. Si nous devons commencer à constituer des réserves en yuan chinois, nous devons approfondir nos relations commerciales avec la Chine pour y parvenir.
Je pense que nous devrions revenir à la proposition de l’UNASUR de créer une monnaie commune latino-américaine avec sa propre banque centrale. Nous avons également besoin d’un système de paiement latino-américain. Regardez comment les États-Unis utilisent SWIFT pour exclure de l’économie mondiale tout pays qui ne leur plaît pas. La Russie et la Chine créent leurs propres systèmes de paiement. Il y a des années que le Venezuela est sorti du SWIFT. Nous devrions également avoir notre propre système.
Il ne sert à rien de se plaindre de l’agression états-unienne. C’est dans leur nature d’envahir et d’attaquer des pays dans le monde entier. Le vrai problème est que l’Amérique latine est exposée et incapable de faire face à ce type de guerre économique. En réponse, nous devons nous tourner vers l’Asie de manière sérieuse. Pourquoi le gouvernement équatorien n’assure-t-il pas de nouveaux marchés, par exemple pour nos crevettes et nos bananes, en Chine ? Il y a une énorme demande là-bas. La Bolivie et l’Équateur possèdent tous deux de vastes richesses minérales. Nous devons contourner l’Occident et nous concentrer sur l’Asie en matière de commerce et d’investissement dans les produits de base.
Les médias états-uniens ont attaqué des pays comme le Mexique, le Brésil ou l’Argentine pour ne pas avoir imposé de sanctions économiques à la Russie. Pensez-vous que cette demande des États-Unis va, à terme, briser leur sphère d’influence ici et dans le monde non-occidental ?
Ces sanctions provoquent une crise d’inflation pour les gens partout dans le monde. Les Européens paient déjà 8-9 euros pour un gallon d’essence. Aux États-Unis, il est à 4,75 dollars, voire 6 dollars dans des endroits comme la Californie et Miami. C’est choquant. Les sanctions ont un effet boomerang sur les États-Unis et leurs citoyens. Bien que tout le monde ne souffre pas : les fabricants d’armes ne souffrent pas. Des gens comme le fils de Biden, qui a des relations douteuses dans le secteur du gaz, ne vont pas souffrir. Des rapports d’analyse financière ont été publiés cette semaine, indiquant que si le prix de l’essence reste à 4,75 dollars en moyenne nationale aux États-Unis, l’économie entrera en récession à la fin de l’année. Rien de ce qu’ils font n’est lié aux intérêts des citoyens ordinaires.
* Économiste, coordinateur de recherches à l’Instituto de la Ciudad del Distrito de Quito (Équateur), Juan Fernando Terán enseigne actuellement les « Politiques économiques appliquées en Amérique latine » et les « Économie et politique des ressources naturelles et de l’énergie » à l’Université Andine Simón Bolívar. Parmi ses publications : « Las quimeras y sus caminos : la gobernanza del agua y sus dispositivos para la producción de pobreza rural en los Andes Ecuatorianos » (Buenos Aires : CLACSO), « La sequedad del ajuste : implicaciones de la gobernanza global del agua para la seguridad humana en Ecuador » (Quito : CEN) et « La ecología del agua : una introducción a sus temas y problemas en Ecuador » (Quito : Camaren).
Source : https://kawsachunnews.com/interview-latin-america-in-the-new-global-economy Traduction de l’anglais : Thierry Deronne
De venezuelainfos.wordpress.com/2022/04/04/
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Bien qu’ils ne totalisent que 14% de la population mondiale, les pays qui sanctionnent la Russie incarnent encore la «communauté internationale» pour la plupart des journaleux occidentaux.
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296 voix « pour » et 378 « contre » : sacré revers pour le gouvernement allemand, qui échoue à faire adopter au Parlement la vaccination obligatoire à partir de 60 ans. Il faut dire qu’au Bundestag, les votes sont secrets.
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On apprend par ailleurs que les citoyens de plus de cinquante ans non « vaccinés » se font verbaliser par la police italienne. Atteinte aux libertés et discrimination par l’âge.
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