ET RAHAN DANS TOUT ÇA ?
Extraits remodelés d’un article, je ne sais plus où je l’ai pris. D’un certain Oncle Fernand.

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Comme le ver file sa soie puis trouve sa fin en s’empêtrant dans ses propres fils… (Ibn Khaldoun)
Alors que bon nombre d’entre nous cherchons en vain à faire tomber l’image « satellitaire » que se donne nos prétendues élites, voici comment régler le problème, sous l’angle de la caricature, avec quelques-unes de ces fines fleurs qui, par défaut d’être comiques, se prennent très au sérieux.
Quand Zèle-en-ski joue du piano les bras en l’air pareils (sic) à ceux des danseuses dans le Lac des cygnes qui auraient les culottes en bas, personnellement j’y vois comme la couverture de l’ancien journal satirique (et satyrique) Hara-Kiri.
Quand Mac-Ronds administre ses conseils, c’est kif-kif consulter « les conseils du professeur Choron », dans la revue de l’époque.
Lorsque Castex se dirige vers le pupitre, c’est vraiment Averell Dalton qui monte sur l’estrade. Dès que Schiappa a des vapeurs, ça nous montre bien qu’ « elles ne pensent qu’à ça » de Wolinski.

Quand Véran fait de l’emphase, que voici Monsieur Trissotin. Quand Darmanin se déplace dans les casernes, c’est la revue du Schtroumpf coquet devant tous les bleus. Que Parly parle de l’armée, c’est la dernière édition de Martine fait son service militaire.
Pendant que Le Drian, pas vraiment joyeux drille ni brillant, discute de la Russie, il ne fait rien de plus que du Tintin au pays des soviets. Et quand Rousseau disserte à la télé, ce sont Les aventures de Fifi Brindacier qui passent et repassent sans cesse.
Mention spéciale pour Attali, le Tullius Détritus au village gaulois. Mais que dire du plus poilant, du plus ratapoil de tous, le nommé BHL ou Pépé le putois chez Le Chat du Rabbin.
De même, ailleurs encore, que penser de Johnson, si ce n’est le portrait craché du chapelier toqué dans Alice au pays des merveilles. Et de Van der Leyen qui, au moment où elle va ouvrir grande sa bouche, n’est pas sans me rappeler Olive, femme de Popeye (sans les épinards).
Et quand Schwab la ramène lui aussi, vient à ma mémoire un de ces San-Antonio intitulé De l’antigel dans le calbut. Enfin que dire du G7 quand il se réunit pour la photo d’école, on dirait l’album Les Pieds Nickelés arrivent.
Mais le sérieux, le vigoureux Rahan dans tout ça ? Au milieu de cet univers de branques, je l’ai reconnu en la personne de Vladimir Poutine.

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