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Voyage au bout de la pandémie sans fin

28 novembre 2021

Publié le 28 novembre 2021 par defensededavidhamilton

J’imagine que, bientôt, des journalistes ou des auteurs de bouquins vont commencer à poser la question: et si le « coronavirus » ne devait jamais cesser? Dès qu’il est trop tard pour poser une question, dès que la poser ne sert plus qu’à ne pas y répondre, on peut être certain qu’elle va être posée.

Un problème étant que ce très-modeste et très-humble blog vous le disait déjà il y a deux ans, au tout début des premières représentations de cette comédie du spectacle: non, vous qui me lisez, vous ne verrez jamais la fin du « coronavirus ».

Ne voyez-vous donc pas que nous voici dans le troisième hiver de « pandémie »? Pourquoi donc voulez-vous que tout ceci ait une fin?

Pourquoi voulez-vous que finisse une histoire qui permet aux gouvernements de ne plus parler de quoi que ce soit, mais de se présenter en sauveurs de la patrie (ou de l’humanité)? Pourquoi voulez-vous que finisse une histoire qui permet aux gouvernements de prolonger indéfiniment leurs « états d’urgence »? Pourquoi voulez-vous que finisse une histoire qui permet aux gouvernements et aux laboratoires de signer des contrats dont, fondamentalement, personne ne sait rien? Pourquoi voulez-vous que finisse une histoire qui permet aux laboratoires de réaliser des profits colossaux? Pourquoi voulez-vous que finisse une histoire qui permet à des centaines de « spécialistes » de gagner leur vie en venant parader à la téloche et en y jouant aux devins et aux prophètes? Pourquoi voulez-vous que finisse une histoire qui permet aux pédants des plateaux télévisés de jouir de l’ivresse de tenir entre leurs mains le destin de milliards d’individus? Pourquoi voulez-vous que finisse une histoire qui permet aux gouvernements d’imposer une vaccination d’abord implicite, puis explicite (vaccination obligatoire en Autriche au début de 2022: et à mon avis, les autres vont suivre)? Pourquoi voulez-vous que finisse une histoire qui permet aux gouvernements, à travers les « green pass », de ficher tous les individus comme aucune des abominées dictatures du passé n’avait songé à le faire? Pourquoi voulez-vous que finisse une histoire qui permet de mettre en place le changement de société programmé, annoncé, voulu par les idéologues du Grand Reset et des Seigneurs de Davos? Pourquoi voulez-vous que finisse une histoire qui permet aux gouvernements qui, depuis environ cent ans, ont conduit la planète à un désastre notamment (mais pas exclusivement) écologique, de promouvoir le travail à la maison (qui permet ici encore de contrôler à distance tout ce que fait l’employé sur son ordinateur)? Pourquoi voulez-vous que finisse une histoire qui permet aux gouvernements de faire réaliser des profits colossaux à la grande distribution? Pourquoi voulez-vous que finisse une histoire qui permet aux gouvernements de diviser encore les populations d’Europe, et de distancier (distanciation sociale) les Européens les uns des autres? Pourquoi voulez-vous que finisse une histoire qui permet aux gouvernements de tester la servilité des masses et de convaincre ainsi – avec la plus grande facilité – des milliards d’individus de se balader avec une couche culotte sur le pif?

Pourquoi voulez-vous que les « variants » et les prochains « virus » ne continuent pas leur danse? Je vous le redis: à mon avis, tout ceci n’aura jamais de fin. Aucune date de fin n’est prévue.

Oui, il est temps, il serait largement temps d’adopter des systèmes de pensée qui contemplent l’hypothèse d’une urgence sanitaire pérenne. Cette hypothèse, pour ma part, je l’ai prise en considération dès le mois de mars 2020. Hypothèse, naturellement, qui est bien davantage qu’une hypothèse. Il y a quelques personnes qui, dès lors, savaient que ceci n’aurait pas de fin. Seulement, à l’époque, il ne fallait pas le dire. Il fallait faire semblant que les vaccins allaient arriver. Super efficaces. Un vaccin, et puis un autre. Une autorisation de vaccin, puis une autre autorisation. Et puis ils ont annoncé qu’il fallait deux doses. Et puis trois. Pour lutter contre les deuxième, troisième. quatrième, cinquième vagues.

Et cela fonctionne. Cela fonctionne à merveille. Pourquoi voulez-vous, alors, que finisse une histoire qui permet, à des gouvernants qui depuis des décennies causaient du refus des discriminations, de discriminer soudain les individus entre « bons » (les vaccinés) et « mauvais » (les non vaccinés)?

Pourquoi voulez-vous que finisse une histoire qui permet, à des gens qui depuis des décennies causaient « d’égalité », ou encore se scandalisaient face aux expériences médicales attribuées aux uns ou aux autres, de diviser les êtres humains en deux bio-classes (les vaccinés et les pas vaccinés, toujours)?

J’estime que cette « pandémie » de « coronavirus » va se chroniciser, devenir chronique. Or, depuis mars 2020, les fanatiques de « la » Science tiennent des discours qui rappellent ceux de Jack Lang parlant jadis du « passage de l’ombre à la lumière ». La plupart des interprétations, des commentaires et des blablas, la plupart des discours officiels à l’intention des gobes-mouches promettaient que les vaccins allaient sauver l’humanité… Des philosophes minables – chaque époque a ceux qu’elle mérite – dissertent sur les cycles de la naissance et de la mort. Ils engagent leurs auditoires à attendre d’apercevoir « la lumière au bout du tunnel »…

Comme il y a les fanatiques de la science, il y a les fanatiques de la religion. Le dénominateur commun entre un gogo de la science et un gogo de la religion étant d’être un gogo.

Le conseil que je vous donne est d’éteindre la télé. Et de cesser de compter les « vagues ». Que l’on soit à la quatrième, ou qu’Omicron (qui a bon dos) annonce la cinquième, ne change rien. Il y aura la sixième, la septième, la quarante-deuxième. Que vous soyez vacciné ou pas, cela ne changera rien non plus pour vous (il y a des gens qui ont trois doses de vaccin dans le corps, et qui sont positifs au « coronavirus »).

Arrive un long hiver, un hiver sans printemps. Pour tous et pour toujours. Même plus d’illusion de « liberté », l’année prochaine. Même plus de liberté surveillée. Plus d’heure d’air pour les milliards de prisonniers de la planète, cette grande prison à ciel ouvert.

Voilà que commence un voyage. Sa durée est inconnue (sauf sans doute d’une poignée d’initiés). Sa destination est inconnue. Les Italiens, il y a un an, chantaient que « tout irait bien ». Non, mes amis. Tout ne va pas aller bien. Tout va aller mal. Très mal.

Préparez-vous, Messieurs Dames. Direction le pire, de façon progressive et définitive. Voyage aller, sans retour, dans la « pandémie ». Préparez votre green pass, évidemment…

Qu’y a-t-il d’étonnant dans tout ceci, au demeurant? Comment vouliez-vous, après une centaine d’années pendant lesquelles l’humanité a confié son destin aux hommes et aux principes foireux qui l’ont gouvernée, qu’il en aille autrement?

Des milliards de nos contemporains, en niant la mort, ont nié la vie. Ils sont dans une vie qui n’est plus la vie, menacés par un « coronavirus » qui les éloigne encore davantage de toute velléité de penser leur mort.

La « pandémie », qui coïncide avec la mise en scène médiatique de cette « pandémie », est simplement le résultat de décennies de politiques imbéciles et / ou criminelles qui ont débouché dans la globalisation. Belle globalisation, qui aura produit la multiplication, réelle ou pas, de tant et tant de variantes.

J’ai envie de dire que plus l’humanité s’uniformise, et plus les virus se multiplient. C’est la globalisation de la pandémie. Accessoirement, le très peu de démocratie qui survivait ici ou là est en grand danger. D’abord suspendue, elle finira par être supprimée, je le crains.

Quand un monde, quand une société pensent que se balader avec une couche culotte sur le pif résoudra tout, que s’oindre les mains de gel résoudra tout, que la distanciation sociale résoudra tout, que se vacciner cinq ou six fois par an résoudra tout, bref quand un monde et une société pensent devoir trouver, ou feindre de trouver des solutions de type technologico-religieux à une pandémie comme celle-ci, la fin est proche.

Malheureusement, les sociétés humaines écoutent très rarement la voix de ceux qui mériteraient qu’on les écoute. Guy Debord (mort le 30 novembre 1994) en a su quelque chose.

Une société sans esthétique (et qui a rejeté David Hamilton), une société sans spiritualité, une société sans sens critique, une société de gogos ne pouvait avoir d’autre destin que de finir comme ça. Entre Omicron et Omacron.

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From → divers

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