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Asselineau poursuivi… par le mauvais destin

30 août 2021

Le destin malchanceux.

Aux plaintes de François Asselineau, le président du parti souverainiste l’Union Populaire Républicaine, d’être le grand, le seul et l’unique oublié des media, ajoutons encore ceci.

Alors qu’un essai de récupération et de division du mouvement « anti-passe » — comme pour les Gilets Jaunes en son temps — semble s’amorcer du côté de la gauche et en particulier d’un certain gauchisme, congénitalement dégénéré, revenu de ses vacances exotiques (d’où l’utilité pour cette « gauche » de s’être fait piquer), récupération et division dont la nuisance devient manifeste (à Nantes dit-on une récente manif, à l’appel jusque là de dits Gilets Jaunes, aurait été « pilotée » par des mélenchoniens ou une engeance de cette sorte ; à Montpellier samedi la CGT est apparue avec comme banderole : « Oui à la vaccination, non au passe sanitaire »), Mélenchon, le revenant, veut organiser des manifestations unitaires mais « sans l’extrême-droite et les antisémites » (ni la présence du Figaro, pourquoi cette feuille de choux plutôt qu’une autre ? aux meetings « méchantloupniens ») ; et cerise sur le gâteau transforme (officiellement, hier) le nom de son parti (La France Insoumise dont l’insoumission faisait rire, rire jaune, de la couleur de la collaboration et de la traîtrise, ou de la couleur de peau des dictateurs chinois)  en : Union Populaire, piquant au passage une bonne part du nom du parti d’Asselineau.  J’espère que ce parti va porter plainte comme il se doit contre ce semeur de la confusion.

Autre déveine. Cet homme (Asselineau) qui ne parle que d’unité de tous les Français, vexé du succès de Philippot, l’accusant d’accepter tout le monde aux manifestations dont des individus d’extrême-droite douteux (c’est lui qui le dit) et obsédé lui aussi par l’antifascisme, tout en déclarant par ailleurs, que le RN n’est pas ou n’est plus d’extrême-droite, a eu (si j’ai bien compris) la bonne idée, je ne sais quand, du moins récemment, de se mêler à une manifestation « anti-passe » où des membres de la CGT l’auraient viré en tant que « facho ».

Moralité : il aurait mieux fait – s’il avait été vraiment intelligent et ardent défenseur de la liberté et de la vérité – de participer unitairement et dès le début, aux manifs des Patriotes. Et tout récemment de laisser la CGT dans son ghetto de collabos et de « rebelles sociaux » subventionnés (donc) très compatibles avec le mondialisme et le macronisme. À mourir de leur pitoyable mort politico-syndicale en dignes (ou indignes, au choix) représentants d’une époque enfin révolue, ou en passe (non sanitaire) de l’être.

From → divers

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