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DES CHIFFRES ET DES PITRES

29 août 2021

Dans une publicité propagandiste gouvernementale toute récente, payée par nos impôts, il est affirmé : « On peut débattre de tout sauf des chiffres ».

Comme dirait l’autre : Ça rappelle quelque chose… Effectivement, il est des chiffres mythiques incontestables. Lorsque j’écris « incontestables » je ne pense pas : « d’une totale évidence », mais « d’une totale interdiction de contestation ». Rangé dans la même catégorie que toutes les fausses évidences historiques nées parfois de siècles de rabâchages fantasmatiques et imbéciles. Avec à la base cette grande vérité qui est éternellement au goût du jour : l’Histoire est écrite et dire toujours par les vainqueurs, jamais par les vaincus. Ou toujours en adéquation avec quelque fausse vérité dominante propre à telle ou telle époque.

Pire même ici, dans le domaine de certains chiffres, car en contester certains est un délit, y compris en premier chez les historiens dont c’est pourtant le métier, ou la vocation, de toujours réviser l’Histoire. Je parle des vrais historiens. Et par contre, il n’est pas encore interdit d’affirmer que la Terre est plate. Ou d’essayer de le prouver comme l’a fait il y a quelques mois ce milliardaire étatsunien qui a construit, bricolé plus précisément, une fusée pour aller voir là-haut le caractère plat de la Terre et qui a explosé avec son engin à peine lancé.

Quitte à passer pour un affreux révisionniste, j’affirme quant à moi que tout peut être discuté et encore plus les chiffres officiels de ceci ou de cela, y compris les chiffres avancés par les officines qui sont à la fois juges et parties, donneurs de chiffres, et donneurs d’ordre. Et ceci d’autant plus qu’ils sont généralement invérifiables par le commun des mortels.

Déjà l’année dernière on ne pouvait guère débattre du bien fondé de ne pas soigner un virus avec des traitements existants (l’hydroxychloroquine depuis la précédente épidémie de SRAS de 2002-2003) ou de le « soigner » au doliprane dont on apprend maintenant que c’est nocif dans le cas de ce virus ! Ou aux aspirateurs pulmonaires quand des médecins se sont rendus compte que c’était le sang qu’il fallait oxygéner directement et non pas les poumons.

La propagande, le totalitarisme, la dictature ne tolèrent la moindre contestation ; la ridiculise, la travestit, la criminalise, ou l’écrase de son silence.

Il en va de même des guignols qui passent régulièrement à la télévision et qui affirment sans rire comme Sapir (petit économiste à la gomme et spécialiste en propagande vaccinale) que depuis les années 2000, il est confirmé que les chiffres sont très bons pour les « vaccinations » par ARN-messager, qu’il n’y a pas d’effets secondaires, ni de décès dus à cette bouillie « vaccinale ». Ou si peu et pas de quoi fouetter un chat. Pitre !

Ou pour le deuxième « anarchiste » officiel des media (le premier étant Dany-la-braguette), je veux parler du comique Onfray, favorable à une vaccination générale, obligatoire pour tous et le passe sanitaire (mais pourquoi faire alors si tout le monde est vacciné?) qui vient d’expliquer sur l’une des télévisions du mondialisme (y être reçu plutôt chaleureusement et très régulièrement ne semble pas le gêner) que les gens opposés au pseudo-vaccins et opposés au passe dit sanitaire et à l’apartheid, sont des nihilistes, rien de moins. « Ce qui rejoint les antipass, les antivax et les Gilets jaunes, c’est le refus de l’autorité d’où qu’elle vienne, quelle qu’elle soit ; c’est toujours non. »

Propos tenu par un prétendu « anar ». Y aurait où rire si le type n’était tout simplement complice, collabo d’une dictature et d’une folie, d’un non-sens total. Comme note un anonyme : « Les défenses immunitaires morales du gros Onfray semblent avoir été dissoutes elles aussi. »

Un autre anonyme, toujours à propos du clown, note : « Le débit de parole de M. Onfray le trahit, lorsqu’une personne enchaîne des phrases à un rythme élevé comme il le fait, l’interlocuteur n’a pas le temps de réagir et éventuellement « d’en placer une » comme on dit couramment.

Onfray ne permet aucunement à son auditoire en état de sidération de lui répondre sur le fond, il le sait et en profite en chargeant la mule de sa nauséeuse logorrhée.
Ce type est au mieux cinglé, au pire psychopathe mais philosophe, sûrement pas. »

On a connu autrefois des « zanars » qui se firent les chantres (ou plutôt les chancres) de la boucherie de la Guerre de Quatorze. On connaît aujourd’hui au moins un « nanar », un mauvais acteur d’un mauvais film, se faire l’apologiste de la dictature (pas même sanitaire) et du commerce lucratif de Big Pharma.

Cela me fait penser au niveau des pantins de Verts qui se font piquouzer sans se poser de question, ne serait-ce qu’un tantinet écologique, sur le bien fondé d’un tel « vaccin ».

On connaît aussi de « vrais rebelles du système » qui se gaussent des Résistants et des gens lucides, « rebelles » qui connaissent des fins édifiantes, édifiantes pour les opposants et les hommes restés debout.

Voici justement une petite histoire édifiante à propos d’une espèce de rappeur d’Australie, pays où, paraît-il, les enfants sont séparés de leurs parents et vaccinés de force, alors que la « vaccination » (par le produit Pfizer) est une catastrophe sanitaire. Où les manifestations sont interdites, mais où se développent les émeutes.

Remarque en passant : ces pays nés du colonialisme anglo-saxon (largement marqué dès ses origines par une symbiose de sectarisme religieux et d’esprit délinquant) semblent avoir une propension importante à goûter les « vertus » et les « valeurs » délétères et antihumanistes du mondialisme ; et partant, de la dictature et du totalitarisme présentement covidistes : États-Unis, Australie, Afrique du Sud, Nouvelle-Zélande … mais aussi Israël où c’est moins l’idéologie d’un capitalisme mondialiste protestant qu’un capitalisme mondialiste talmudique qui est à l’œuvre en des formes similaires au précédent. Et où les crétins qui dirigent s’enferrent, eux aussi, en une idéologie mortifère et eugéniste.

Bien la peine d’avoir beaucoup souffert, comme dit la rengaine bien connue. Voilà où mènent l’anti-fascisme, l’anti-nazisme, l’anti-racisme (mais pas vraiment l’anti-capitalisme). Dans une copie plus ou moins conforme des pratiques du stalino-capitalisme totalitaire chinois. « Quand la Chine s’éveillera … » : eh bien, c’est fait et ce n’est pas vraiment jojo à voir et plus encore à subir !

Donc pour revenir à l’Australie, on a un certain M. Todd Williams, alias Louie Knuxx, un néo-zélandais de quarante-deux ans, ancien délinquant reconverti dans la réinsertion des jeunes comme lui le fut, et accessoirement rappeur tatoué de partout qui trouvait bon sur lesdits réseaux sociaux de se moquer des lavettes qui avaient peur d’une piqûre.

Depuis au moins le mois de mai dernier, nous dit-on, il s’en prenait aux milliers de manifestants à Melbourne, les affectant de « putains de bébés pleurnichards ».  Le 15 juillet, il déclarait avoir reçu sa seconde dose d’ARN-messager expérimental de Pfizer. Et se dit « prêt à faire la fête ».

Le 23 juillet, les manifestants étaient devenus des « putain de stupides » et il les menaçait de violence. Il a dit qu’il voulait « frapper un de ces connards à la mâchoire ». Le même jour, et quatre jours plus tard il s’en prenait encore sur « touiteur » aux non-vaccinés.

Environ deux semaines après la deuxième injection, il a tenté de se rassurer en disant qu’il n’avait toujours pas de réactions indésirables. Le 10 août en réaction à une personne qui avait écrit : « les maladies cardiaques tuent des milliers de personnes par an, est-ce que le gouvernement les obligent à faire de l’exercice ? », le crétin a ironisé en disant : « vous ne pouvez pas attraper une maladie de cœur de votre voisin qui se tape McDonald’s ».

Le 13 août au matin, comme chaque jour, il s’est mis en action sur son tapis d’entraînement, a été victime d’une crise cardiaque alors qu’il courait. Et en est mort. Les caillots frappeurs ont achevé le critiqueur. Joli fin pour un rappeur.*

Mais que les « vaccinés » se rassurent, la firme mafieuse Pfizer (on ne sait plus combien de procès perdus pour diverses malversations) est en train de concocter un nouveau produit pour remédier aux effets délétères du premier. Il en serait en sa phase ultime de réalisation. Une nouvelle aubaine expérimentale et financière en perspective.

Donc, finalement, le roi des rappeurs ce n’est pas Louie Knuxx, ce pauvre hère, mais Rap’tout, encore et toujours :

Salut mec, ça va, tu vas bien ?
On se présente, mais non tu nous connais
On est là pour te pomper
T’imposer sans répit et sans repos
Pour te sucer ton flouze…

* En anglais « to rap » possède entre autres sens ceux de : frapper, taper et … critiquer.

From → divers

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