IMPRESSION MATINALE
Rue au quartier, à force d’y passer
Tout s’efface au vent froid
D’un début de printemps perdu, précoce :
Âmes de morts et de vivants lassés
De gloser dans l’effroi
Sur un antan dont n’en démord la cosse.
Rue au quartier, à force d’y passer
Tout s’efface au vent froid
D’un début de printemps perdu, précoce :
Âmes de morts et de vivants lassés
De gloser dans l’effroi
Sur un antan dont n’en démord la cosse.
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