Retour sur mon article d’hier ou d’avant-hier concernant le virus de la covid-19
Je résume à nouveau les propos :
Jean-Bernard Fourtillan qui vient de porter plainte contre l’Institut Pasteur est un pharmacologue apparemment en retraite.
Il a déjà eu des démêlés avec l’Agence nationale de la santé. Un franc-tireur si j’ai bien compris.
Il a fait des recherches sur les brevets déposés par l’Institut Pasteur concernant le SARS, un corona-virus comme celui de la covid-19.
L’un des brevets qui se nomme Sars-2 présente la particularité de mêler au Sars-1 des séquences du SIDA. C’est écrit en toutes lettres dans le brevet. C’est essentiellement pour ça que Fourtillan porte plainte. La personne qui a mis ça en place est l’auteur d’une thèse de micro-biologie sur le sujet.
Par ailleurs des scientifiques étrangers ont analysé le virus de la covid19 et sont arrivés à la conclusion que c’était un corona-virus artificiel contenant des séquences du SIDA.
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Pour l’instant, l’Institut Pasteur a porté plainte contre le réalisateur du documentaire Hold-Up mais pas contre Fourtillan qui figure dans le documentaire. Or, ce qu’il énonce date publiquement (sur Internet) du mois d’août dernier.
L’Institut a cherché à le faire taire, sans succès, par l’intermédiaire d’un avocat qui voulait que l’hébergeur du site qui reproduit ses propos le censure, mais semble incapable d’aller au-delà par une plainte directe et une demande de commission rogatoire judiciaire.
Cela commence à faire beaucoup de docteurs contestataires, pardon : complotistes. Et qui s’opposent aux organismes officiels.
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Je résume maintenant ce qu’il en est du vaccin d’Oxford.
Le vaccin établi par le laboratoire Jenner d’Oxford est le ChAdOx1 n-CoV-19, comme on peut le lire sur les boîtes de conditionnement du vaccin qui existent depuis un an et demi environ.
Car ce vaccin a été fabriqué en Italie par Astra Zeneca, à partir de mai 2019, puis livré par centaines de milliers de boîtes dans les mois qui ont suivi à travers le monde.
Notons que ce vaccin a pour nom terminal celui de n-CoV-19, pour ce qui allait devenir quelques mois plus tard la Covid-19.
C’est en mai 2020 que les autorités sanitaires ont reçu une demande d’agrément du vaccin en vue d’effectuer les études cliniques réglementaires. Donc postérieurement à la commercialisation du produit. Ce qui est proprement illégal. Ou ce qui laisserait entendre qu’il avait été convenu quelque part (à l’OMS ?) que le vaccin était en réserve, en attente d’utilisation partout où il avait été livré.
Il est écrit sur la boîte contenant huit doses de vaccins (il est prévu deux injections par personne) que le ChAdOx1 n-CoV-19 est un « recombinant adenovirus vaccine candidate against SARS-CoV-2 ». Un vaccin (de type) adénovirus recombinant (ou recombiné), candidat contre le SARS-CoV-2.
Rappelons encore que le terme SARS-CoV-2 est lié directement au dépôt de brevet, de 2011 aux États-Unis, par l’Institut Pasteur.
« Recombinant », en anglais comme en français, est un terme du monde de la micro-biologie, désignant en particulier une « molécule d’A.D.N. créée en laboratoire en « soudant » bout à bout deux ou plusieurs séquences d’A.D.N. à l’aide d’une enzyme appelée A.D.N. ligase. » (Dictionnaire Larousse) Ceci désigne donc un virus manipulé, modifié, artificiel.
En clair et en résumé : l’élément de base du vaccin d’Oxford est l’adénovirus des chimpanzés (Ch pour chimpanzés, Ad pour adénovirus, Ox pour Oxford, 1 parce que c’est le premier de ce type), sur lequel on a fait porter le SARS-CoV-2 pour la maladie ici désignée sous le nom de n-CoV-19. Le SARS-CoV-2 étant dans les faits le SARS-CoV-1 (virus modifié du SARS) dans lequel on a inséré, parmi d’autre éléments, des séquences du virus du SIDA. Et aussi des nanoparticules scintillant sous la peau à la commande électronique.
Enfin, curieuse progression apparente qui part d’un virus modifié (début de création officielle en 2011) pour arriver à une maladie virale émergeant en fin d’année 2019, tout en passant, au préalable, par la production de tests (2015-17) puis d’un vaccin contre cette maladie dès le printemps 2019. Rien que ça montre que BigPharma et la « Science » se foutent du monde.
Mais alors, me direz-vous, c’est étonnant ! Pourquoi ce vaccin prêt et livré depuis courant 2019 ne sort-il pas dans le « commerce » (si on peut dire) ? Et ne sort-il pas en premier, avant tous les autres ?
Eh bien parce que la machination a été déjouée par les scientifiques curieux qui ont conclu – ce que peu de gens encore savent ou en ont vraiment pris conscience – que le virus responsable de la covid-19 est un virus artificiel qui contient, en particulier, intégré au virus du SARS, des séquences (au nombre de quatre) de l’ARN du SIDA. Mais comme c’est devenu quand même suffisamment manifeste dans le monde scientifique et politicien, il est devenu impossible de mettre sur le marché médical un vaccin, le vaccin d’Oxford ChAdOx1 n-CoV-19, dont il semble avéré qu’il contienne, comme le virus lui-même de la covid-19, des brins, des séquences du virus du SIDA (au nombre de quatre). Du moins en est-on là pour l’instant avec ce vaccin.
Mais alors, que devons-nous penser des vaccins ou pseudo-vaccins bricolés en quelques mois, dont on ne connaît pas l’efficacité et la non-dangerosité sur le long terme (on se demande comment on a pu les normes légales en cette circonstance) et que l’on commence à administrer à certains en Grande-Bretagne ?
J‘ai cherché mais je n’ai pas encore réussi à trouver où l’on pouvait obtenir la copie des dépôts de brevets les concernant. On aimerait savoir de quoi se compose précisément tous les vaccins miracles qui apparaissent sur le marché et qui auraient la prétention d’être super-efficaces contre une forme de grippe sévère et très mutante dont on connaît maintenant les bonnes manières de la traiter, alors qu’il est bien connu que les vaccinations courantes contre la grippe ne sont efficaces (selon les données officielles) qu’à 60 %.
Nouvelle occasion d’être inquiet s’il s’y glisse des éléments du SIDA. Ce qui serait d’autant plus absurde que la Science est actuellement incapable de fabriquer un vaccin contre le SIDA à cause de son mode de contamination, d’intrusion dans les cellules humaines. On connaît juste une thérapie très lourde et très chère pour contenir ce mal dont on ne guérit pas, mais que certains ont en tant que porteurs sains. (Allez comprendre la Nature).
Et ce qui serait d’autant plus criminel que le SIDA, comme son nom l’indique entraîne une immuno-déficience, un organisme devenu incapable de combattre la moindre infection. Ce qui fait dire à certains que l’on ne meurt pas du SIDA mais des conséquences de sa présence dans un organisme humain. « Car une des caractéristiques de ce rétrovirus VIH1, le virus du SIDA, est de s’intégrer dans l’ADN du génome humain, pour la vie.[…] Le VIH infecte les cellules vitales du système immunitaire humain […] L’infection par le VIH conduit à la mort des lymphocytes T CD4 + ». (tiré d’un document du site « verite-covid19.com).
Ce que l’on peut souhaiter de mieux est que ces vaccins soient des vaccins classiques sans SIDA et à effet placebo. Le pire serait d’y avoir inclus quelque chose ressemblant de près ou de loin à des éléments du virus du SIDA.
Je dis « vaccins classiques » car on nous promet aussi des vaccins « révolutionnaires » expérimentaux (merci aux cobayes) qui ne seraient rien de moins que du domaine, non plus de la vaccination, mais de la thérapie génique, jusqu’à ce jour réservé aux traitements ou essais de traitements de maladies diverses et surtout du cancer. Secteur pour lesquels les résultats sont encore très balbutiants et aléatoires.
Là aussi de qui se moque-t-on ?
En fait, indépendamment d’une volonté commune de vouloir nous museler, les mondialistes qui nous gouvernent en Occident, semblent peut-être inquiets sur les conséquences à venir de ce virus qui, si nos informations sont exactes, contiendrait quatre séquences du SIDA. Les conséquences à long terme.
Mais ils sont peut-être tout simplement pressés d’en finir, dans des buts euthanasistes et/ou de refonte sociale mondialiste dont on ignore encore tout. The Big Reset, la Grande Réinitialisation ! Euthanasie humaine, euthanasie économique et financière, euthanasie culturelle … euthanasie civilisationnelle et esclavage intégral pour ceux qui demeureront. Tout est possible de la part de cinglés eugénistes et sociopathes gouvernants.
Cela fait déjà bien longtemps que l’on évoque une décadence finale.
Rappelons que le sens étymologique de « euthanasie » est « bonne mort », je crains que ce terme ne soit légèrement trop doux, en la circonstance. Ô Thanatos !
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