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À PROPOS DU VIRUS DE LA COVID-19

8 décembre 2020

J’avais évoqué l’idée, il y a quelques jours, sur ce blog, d’établir une sorte de mémento des évènements sanitaires liés au célèbre corona-virus. Finalement voici comment j’ai pu résumer les choses.

Je vais essayer de ne pas m’y perdre. C’est une histoire compliquée et peu répercutée, sauf depuis la sortie du documentaire (complotiste diront les benêts ou mal attentionnés des media) Hold-Up, basée 1/ sur l’étude du virus, dès l’hiver et le printemps 2020, de la covid19 par divers scientifiques du monde, au Japon et en Inde en particulier, et 2/ sur l’analyse du contenu de trois dépôts de brevet en Europe et aux États-Unis en 2003 et 2011 (là seulement aux États-Unis), par l’Institut Pasteur.

Il ressortirait de tout ça que le virus ne serait pas un virus naturel, mais un virus artificiel, manipulé (comme peuvent l’être des virus quand on veut fabriquer des vaccins à partir d’eux).  

À l’origine, ce virus serait celui d’échantillons du SARS (en français : SRAS,  syndrome respiratoire aigu sévère) qui a sévi entre 2002 et 2004 en Asie et tout particulièrement en Chine (ces échantillons auraient été récupérés à Hanoï), qui ont été manipulés et ont donné lieu à des vaccins ; une dizaine dit-on, pour ce qui s’appelle aujourd’hui le SARS1 de 2002/2004, et pour diverses maladies similaires sans doute. Vaccins efficaces ? Je n’en sais rien.

Depuis 2011, l’Institut Pasteur se serait lancé dans de nouvelles manipulations du virus du SARS1 avec dépôt (uniquement nord-américain, pourquoi ? chacun pourra avoir sa petite idée) d’un nouveau brevet mais basé sur le même virus que celui du brevet de 2003 ; ces manipulations auraient conduit à introduire  dans le génome du virus, et parmi d’autres choses, quatre séquences d’ARN du SIDA.  Ce travail effectué par une équipe sous la direction d’un médecin biologiste, Pierre Charneau, dont la thèse (de 1995) portait justement sur l’introduction de séquences du SIDA dans un virus afin de créer un vaccin, du moins je le suppose.  Ce qui au final, ne serait rien d’autre que le SARS2, virus de la covid19.

Dès 2015, ce virus artificiel/vaccin aurait donné lieu à la sortie de tests destinés à le repérer dans l’organisme.  De 2015 à 2017 on aurait connu une vente massive de ce test à travers le monde.

En cours d’année 2019, 1/ d’un côté Microsoft a déposé un brevet pour introduire des nanoparticules dans les vaccins qui permettent de dire si une personne a été vaccinée ou non pour tel ou tel vaccin, procédé de scintillements, du moins pour l’instant, 2/ l’Institut anglais Jenner situé à Oxford et marchant de concert avec l’Institut Pasteur depuis des années, et qui possédait depuis des années lui aussi, un virus artificiel (manipulé) parallèle au virus artificiel (manipulé) de Pasteur, mais lui basé sur l’adénovirus des chimpanzés, a commencé à mettre en place un « vaccin » qui aujourd’hui serait en passe de sortir sur le marché.  Son nom ferait référence à la fois à celui du virus artificiel créé à partir de la SARS du chimpanzé et à la covid19. Donc il s’agirait d’un « vaccin » bien antérieur à l’apparition de la covid-19. Ce « vaccin » est « classique » et n’a rien à voir avec les « vaccins » expérimentaux du domaine de la thérapie génique (autre gros problème !).  Ce « vaccin » intégrerait également les nanoparticules billgatienne.

Semble-t-il vers la fin de l’année 2019 (quand arrivent les grippes saisonnières dans l’hémisphère nord) celle que l’on allait dénommer bientôt la covid19 est apparue en Chine, et peut-être ailleurs également (on a même parlé un court  moment des États-Unis et de fuite d’un labo militaire), on a dit pendant des jeux olympiques militaires (oui, ça existe), ou sur un marché de Wuhan… mais plus probablement du ou à proximité du laboratoire P4 (de très haute protection), cadeau de Chirac à la Chine.  Mais pourquoi pas d’Europe aussi (voir l’ampleur que ça a pris dans le nord de l’Italie, et que le tourisme ou les échanges commerciaux ne peuvent peut-être pas entièrement expliquer – à ce propos, certains on fait remarquer que dans cette région lombarde il y a eu, il y a quelques années une vaccination importante contre la méningite, un rapport ?)

Ici, les avis divergent : 

1 – des personnes françaises qui ont mis en place le labo de Wuhan ont déclaré deux choses dans les media patentés, mais pas trop non plus :  les Chinois auraient été pressés de les voir quitter les lieux ; apparemment les ou des techniciens chinois n’auraient pas été suffisamment formés ou compétents. Donc il s’est peut-être passé un « gros problème » dans ce laboratoire. Mais resterait à expliquer pourquoi les Chinois auraient été en possession du virus de l’Institut Pasteur.

2 – c’est volontairement que le virus de la covid-19, le Sars2, qui n’est autre que le virus artificiel du brevet à Sida de 2015 de l’Institut Pasteur, a été lancé dans la nature à Wuhan, pour faire porter le chapeau aux Chinois ; là aucune preuve mais selon la logique de : à qui profite le crime ? À ceux qui entendent vacciner après avoir diffusé le virus ; du moins vacciner avec présentement le seul « vaccin », celui d’Oxford (lié à Pasteur) ; les autres étant de la foutaise plus ou moins dangereuse (on ne produit pas un vaccin en quelques mois, mais on peut le sortir des frigos s’il est prêt depuis des années comme ça semble le cas à Oxford ou pourrait être le cas à Paris… ou ailleurs *)  et/ou de la simple expérimentation génique, « pour voir », pour « cobayer » non plus sur les rats mais sur les humains,  ou pour euthanasier les p’tits vieux et autres gueux inutiles et qui coûtent chers, du moins pour le premiers.  Puisque ces vaccins semblent être prioritairement destinés aux « gens à risques » (très âgés et/ou à comorbidités, diabétiques, obèses, cardiaques, cancéreux, atteints des poumons… ) Dans tous les cas, il y a de quoi être inquiet.

Dans tout ça, il faut ajouter des imbrications entre le camp mondialiste et européiste occidental, l’OMS et la Chine. Les mondialistes les plus en vue entretiennent de très bonnes relations avec la Chine totalitaire, et en premier lieu commerciales (Biden lui-même et sa famille en sont un exemple, Bill Gates un autre). 

Le point le plus important : s’il se confirme qu’il existe bien des séquences du SIDA dans le virus de la Covid19 et dans son « vaccin », on peut se demander dans quel but.  Affaiblir les défenses immunitaires ? Rendre à terme les humains encore plus dépendants des vaccins ? Faciliter la « thérapie » génique à venir ? Ou tout simplement éliminer les plus faibles ? À « l’exemple » de ce qui s’est passé dans les Ehpad cette année ? 

* Voici un début d’article édifiant paru dans L’Express, le 20 juillet dernier, écrit par une certaine Stéphanie Benz :

Covid-19 : comment le vaccin de l’Institut Pasteur est devenu américain

La licence de ce candidat-vaccin, issu de la recherche hexagonale, a été cédée au géant de la pharmacie Merck-MSD, qui en poursuivra le développement et la production.

Au Centre d’investigation clinique Cochin-Pasteur, dans le sud de Paris, tout est prêt, ou presque. Les volontaires sont en cours de recrutement et les premières doses seront bientôt livrées. C’est ici que, au tout début du mois d’août, les essais cliniques du premier candidat-vaccin contre le Covid-19 issu de la recherche française devraient commencer, en même temps que dans un autre centre, en Belgique. Un moment d’intense émotion, à n’en pas douter, pour Frédéric Tangy, chercheur à l’Institut Pasteur, qui a mis au point ce produit à partir de ses travaux visant à modifier le vaccin contre la rougeole pour immuniser contre d’autres maladies. [vaccins Sars1 et Sars2, cf. article LABO « P 4 » DE WUHAN, INSTITUT PASTEUR, MACRONIE, BILL GATES… ]

Le scientifique se réjouit d’autant plus que, s’il passe avec succès l’épreuve des essais cliniques, son vaccin aura désormais toutes les chances d’arriver sur le marché. L’un des plus grands laboratoires pharmaceutiques mondiaux, l’américain Merck-MSD, leader dans l’industrie de la vaccination, a en effet racheté la licence voilà quelques semaines. « Cela valide scientifiquement mon travail, c’est plutôt satisfaisant. Et avant tout, cela signifie que si ce vaccin doit aboutir, il aboutira », souligne le chercheur. Car Merck dispose des capacités financières pour mener à bien les essais cliniques à grande échelle et la production de millions de doses. L’industriel se dit confiant dans la …

https://www.lexpress.fr/actualite/sciences/covid-19-comment-le-vaccin-developpe-par-l-institut-pasteur-est-devenu-americain_2131119.html

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À voir et écouter :

https://cdn.lbryplayer.xyz/api/v3/streams/free/Plainte_Contre_Pasteur/3996b8a41cb6c136c1d770a0f125994687bc1d4b/25868f

From → divers

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