Retour sur un précédent article concernant l’Entrecul de Flavie Flament
Une lectrice m’a fait remarquer qu’il n’était pas si sûr que ça que Flavie Flament n’agréait pas si peu de gréements que sont les strings. Effectivement, sur cette photo c’est sans doute cet objet que porte la traumatisée, ou guère plus.
On peut noter sur son visage toute la douleur qu’elle pouvait ressentir encore depuis le temps lointain de son « viol ». Et tout son consécutif dégoût à s’exhiber : elle était obligée, elle faisait ça pour arrondir ses fins de mois, son petit salaire de la télé étant insuffisant pour s’acheter son manoir du Touquet. Et c’est bien la Mater Dolorosa qui transpire.
Comme ici, d’ailleurs :
Ou là :
Enfin, le personnage n’a pu, également, s’empêcher d’honorer la mode des pantalons taille ultra-basse avec petite-culotte réduite :
Pauvre femme, elle fait vraiment pitié. Je compatis à sa douleur. Éternelle douleur…
En attendant, elle est responsable (au moins indirecte et impunie, et insouciante) de la mort d’un homme : David Hamilton.
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