À propos de l’indécent autocrate de l’UPR
Chansonnette revue et corrigée, destinée à l’infatué autocrate de l’UPR qui persiste dans sa volonté malade de se représenter à la présidence de l’UPR, en manipulant les plus dociles de la base ou les plus intéressés du sommet, ou les naïfs, alors qu’il est totalement grillé, quitte à couler les idées qu’il prétend défendre, mais qui ne sont pas que les siennes. Là, il semble l’oublier ou s’en moquer.
L’humilité et reconnaître ses torts ne sont vraiment pas son fort. Maladie des gens formatés à l’ENA. Lui comme les autres. C’est d’ailleurs un homme qui ne répond jamais à la valetaille qui a l’outrecuidance de lui écrire. Il ignore totalement le dialogue et les arguments contradictoires. Et encore moins le partage, la délégation, sa mise en retrait quand nécessaire.
Ça pourrait être pathétique en sa démesure. Mais plus je vois comment il agit actuellement, plus j’en apprend sur certains aspects du personnage, sur la manière lamentable dont il écrase les talents les plus généreux, ou manipule les uns et les autres, ou la manière dont il peut se comporter en privé ou en public en certaines circonstances, et utilise depuis ces dernières années l’UPR avant tout à son unique profit en tous domaines (même les plus incongrus), et plus je n’ai guère envie, plus envie de le regarder et de l’écouter, ou de le lire ; peu importe le sujet.
C’est justement ce que l’on ne veut plus du tout dans la politique… « Le fil doré est cassé », pour résumer la chanson. Sur l’air bien connu :
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