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Poupette se la joue « Clan des Siciliens »

28 juin 2018

Dernières informations exclusives autour de David Hamilton et de Flavie Flament

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Elle en a fait du bruit, la petite Flavie Flament, pour attaquer, diffamer, pousser à la mort David Hamilton, 83 ans. Elle en a fait un tralala pour mettre en branle éditeur et ensemble des médias de France et de Navarre. Pour merdiatiser à mort le suicide (?) d’un homme, pour hurler à la mort, pour cracher autant qu’elle pouvait sur un mort. Pour le salir, le noircir, en faire un coupable, la Poupette qui autrefois tapissait sa chambre d’ado de photos de David Hamilton et concourait à Miss OK! en s’aidant d’une photo de ce dernier, un an après cette année 1987 où celui-ci était censé (Flavie dixit!!!) très mal se comporter envers elle, l’insignifiante.

Elle en a fait un poème sur son papa et son papy ; il n’est que de lire la littérature « flavienne » (Les Chardons, La Consolation) pour s’en rendre compte. Ses chouchous dont elle semble avoir apprécié le côté désinvolte dans le domaine de la cocufication de maman et de mamie maternelle.

Enfin, lors des obsèques de son père, qu’elle avait omis au préalable de visiter lors de ses dernières semaines d’hôpital, elle avait su se faire toute petite à l’écart de sa famille la plus proche. Pour les raisons que l’on sait.

Pourtant, elle a su le médiatiser, le déifier à distance, Papa. Et cela tout en reniant, d’une manière malade, sa mère.

Il n’est que de voir la sorte de culte que Flavie Flament affirme encore vouer à son père sur son compte instagram :

Récemment, Flavie Flament se serait rendue aux obsèques de l’un de ses oncles, mort courant juin dans sa quatre-vingt-quatrième année. L’oncle par alliance en question est (voyez le blog « En défense de David Hamilton ») celui qui, selon elle, avait cru à son histoire de « viol » par David Hamilton. Ce qui veut dire, comme on n’a cessé de le répéter, que tout le monde au sein de son entourage familial était loin de partager cet avis. 

Après avoir passé un samedi avec de vieux amis, l’oncle victime d’un malaise avait été hospitalisé le dimanche 10 juin au CHU de Caen et il y était mort le mardi 12 d’une crise cardiaque. C’est le vendredi 15 qu’il a été inhumé à Saint-Germain-le-Gaillard, petit village dépendant de la paroisse catholique des Pieux.

Le toponyme « Les Pieux », tout près de la centrale nucléaire de Flamanville, n’a rien à voir avec la religion (bien qu’il eût peut-être parfois été utile de brûler un cierge pour se protéger de tout danger nucléaire), comme Flamanvile n’a rien à voir avec Flament, mais avec les hauteurs arrondies ou les falaises des alentours (cf. podium, en latin : plateforme, podium, petite éminence ; puy, pech, pé… en différents dialectes romans).

Flavie Flament était donc aux obsèques de son oncle Gérard Lerouvillois. Qui sait depuis combien de temps Gérard et son épouse Maryvonne (sœur de Jean-Paul Lecanu) n’avaient plus de nouvelles de la charmante Flavie ? Retraités de l’arsenal militaire de Cherbourg, occupés en leurs nombreuses associations, je doute que l’un comme l’autre n’aient pris le temps de passer au bluteau de quelque moulin à eau de la contrée, à Bunehou ou bien ailleurs, les « saintes paroles » de leur nièce, pour en extraire le mauvais son.

Prévenue par on ne sait qui, puisque apparemment l’information n’aurait pas été répercutée dans la presse en un faire-part, notre Flafla tant aimée était là avec son Vlad chéri (Vladimir Pachkévitch) et son fils aîné Antoine, en l’église de ce petit village normand de Saint-Germain-le-Gaillard qui jouxte le cimetière où le défunt repose aujourd’hui.

Contrairement au jour de l’enterrement de son père, où elle s’était mise à l’écart, cette fois-ci elle décida de s’asseoir à côté de sa tante Maryvonne. La bonne tante de « bon lignage » Lecanu. Celle qui la croit, ou celle dont le mari la croyait, paraît-il.

Fallait voir ça ! On se serait cru dans « le clan des siciliens ». Le bien contre le mal. Du moins, dans la tête de Flavinette, bien entendu. Car, les deux belles-sœurs Catherine Lecanu et Maryvonne Lerouvillois ne sont absolument pas fâchées. D’autant qu’en 1987 les Lerouvillois ne pouvaient être « témoins » de rien, vu qu’ils habitaient à Tahiti…

Il est à noter qu’Antoine le fils de Poupette qui n’est pourtant plus un gamin ne serait pas allé saluer sa grand-mère, Catherine Lecanu. Sans doute craint-il les représailles (financières?) de sa maman.

L’entourage, les amis de Jean-Paul Lecanu – et fidèles à sa mémoire – quant à eux, n’auraient pas esquissé le moindre geste en direction de la mythomane. Les proches, les amis de son père ne seraient pas venus la saluer et auraient encore moins accepté de lui adresser la parole.

Tout le monde ne peut pas te croire, Flavie…

J.P.F.

From → divers

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