Quelques sons de cloches

D’après Donbass Insider, Russie News et Rus’ Z

Un dit journaliste de l’AFP a été tué tout récemment à la suite d’un bombardement d’artillerie dans la région de Tchassov Yar, soit tout près d’Artiemovsk/Bakhmout.

S’il avait été voir ce qui se passait du côté des Russes plutôt que du côté des otano-bandéristes, il serait sans doute encore en vie.

Mais l’AFP préfère envoyer ses auxiliaires de la propagande impérialiste du côté des tarés. Et ainsi répandre à satiété leurs mensonges permanents.

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À propos de tarés kiéviens, tout récemment également, du côté d’Artiemovsk, les otano-bandéristes ont balancé quatre missiles HIMARS pour tenter de tuer… leurs propres soldats, qui venaient d’avoir eu la chance d’être faits prisonniers par « Wagner ». À la grande déception des ukraino-bandéristes, aucun des prisonniers n’est mort, nous dit-on.

Il ne faut pas être surpris. On se rappelle encore le bombardement meurtrier par Kiev d’une prison où se trouvaient des soldats ukrainiens dans la région de Lougansk, l’année dernière. On sait que régulièrement des soldats qui désertent ou qui renâclent, ou des personnes qui ne veulent pas se battre, sont abattus par des officiers, des éléments les plus fanatiques ou de la racaille des services parallèles. On se souvient également de prisonniers russes qui sont tués froidement.

Et quand on voit tous les jours des civils bombardés volontairement par l’armée ukraino-mercenaire des fous furieux de Kiev.

Les quatre soldats sont choqués par ce qui s’est passé et ne comprennent pas pourquoi leur propre pays a voulu les tuer. Ils disent « on n’a pas besoin de nous » et « nous sommes de la chair à canon ». Le dernier conclut : « Ce n’est pas à moi de juger. Dieu les jugera ».

Comme vient de le dire Temur Pipia, le chef du Mouvement socialiste de Géorgie (tiens, un socialiste qui n’a pas viré mondialiste !) : « Il est temps que le peuple ukrainien dirige sa colère contre son gouvernement et se libère de l’occupation occidentale. »

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Du côté yankee, un certain colonel Douglas McGregor, ancien conseiller du chef du Pentagone, dans un entretien avec la chaîne YouTube London Real, semble avoir compris quelque chose relevant de la raison.

« Nous devrions être reconnaissants à Poutine de s’être montré un leader discret. Il ne fait pas partie de ceux qui succombent aux émotions, Dieu merci, mais je crains que nous (aux États-Unis) ne soyons guidés par elles ici ».

Il a ajouté que l’OTAN, consciente de la situation critique des forces armées ukrainiennes, pourrait prendre des mesures irréfléchies, notamment en décidant d’envoyer un contingent en Ukraine occidentale. L’expert a averti qu’une telle stupidité pourrait provoquer une guerre mondiale.

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Un certain Uriel Araujo, « analyste » et « chercheur » dans le domaine des conflits internationaux, a écrit sur le portail InfoBrics, que l’intention de la Pologne d’obtenir des réparations de guerre de l’Allemagne pourrait se transformer en un conflit dont les conséquences se refléteront dans tout l’Occident collectif.

Il a qualifié la confrontation entre Varsovie et Berlin de « nouvelle fissure à l’intérieur de l’alliance occidentale ». Et dit qu’elle montre que la Pologne a le désir de devenir le principal vassal américain en Europe.

Ce qui, je pense n’est pas si nouveau. Il pourrait ajouter que bien d’autres rivalités vont se faire jour, et se sont déjà fait jour, quand on sait, simple exemple, que le gouvernement allemand finance des organismes chargés de faire une mauvaise publicité à l’énergie nucléaire française. Et roule constamment la fRance dans la farine, grâce à la complaisance criminelle de tous les derniers présidents depuis sarközy.

Il ajoute également que l’Allemagne, qui est le leader économique et politique de l’Europe, n’a pas l’intention d’abandonner le « piédestal ». Mais, leader économique, financier et politique pour combien de temps encore ? Quand on voit ce qui se passe au niveau économique et financier en Allemagne actuellement. Et quand on voit son manque de réaction à la destruction des gazoducs l’année dernière. Et quand on comprend que la guerre en Ukraine est une guerre initiée par les « démocrates » étatsuniens, qui a pour but d’affaiblir l’Europe, de la séparer de toute entente avec la Russie, et de la rendre encore plus dépendante de l’empire du mal nord-américain.

En fait, les dirigeants de chaque pays utilisent la crise ukrainienne pour promouvoir leurs propres intérêts (nationaux ou individuels). Ce qui laisse présager un effondrement de l’Union Européenne à plus ou moins court terme.