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CHERCHEZ L’ERREUR

28 janvier 2023

Le 27 janvier 1945, c’est l’Armée Rouge de la Russie soviétique qui a libéré le camp de concentration d’Auschwitz-Birkenau. Comme elle a libéré tous les autres, ou la plupart des autres camps de concentration allemands, d’ailleurs.

Il était temps pour ses derniers survivants qui y mouraient « tout simplement » de faim, d’abandon, suite au blocus intégral de l’Allemagne (!) par les représentants du Bien absolu, ou suite à des bombardements de ces mêmes camps (!) par ces mêmes représentants du Bien absolu.

Je parle de ceux qui avaient survécu jusque là au travail forcé, à la sous-alimentation endémique, au manque d’hygiène et de soins, à l’entassement et la promiscuité, aux mauvais traitements et donc finalement aux épidémies hyper-dévastatrices.

Des souffrances finalement « banales » (logiques) des uns et des autres où les garde-chiourmes et autres kapos de ces contrées orientales, marquées par des intolérances séculaires et ataviques, ont joué également leur rôle cruel.

Comme je l’ai déjà écrit ici, ce sont ces mêmes soviétiques qui ont lancé en grand, propagé l’histoire des chambres à gaz homicides.

Il faut rappeler le poids énorme de la propagande, pour ne pas dire du mensonge organisé et en tous genres et tous domaines de l’ère stalinienne.

Le camp du Bien absolu y a participé aussi en partie, mais c’est une autre histoire à défaut de faire partie réellement de l’Histoire avec un grand H.

Tout se comprend et se tient à l’aune des tenants et aboutissants, et conséquences idéologiques et politiques, du Procès militaire de Nuremberg.

Hier, c’était donc le 78e anniversaire de la libération de ce camp. Mais en l’absence du représentant habituel et quand même attendu de la Russie qui a repris la suite, mais non l’idéologie, de l’URSS soviétique.

Les z-autorités du musée des lieux concentrationnaires ont jugé bon et sans rire – ce qui a même ému Arno Klarsfeld, le fils unique des traqueurs post bellum de nazis, bien connus – de ne pas inviter les Russes suite à l’«agression» russe «contre une Ukraine libre et indépendante». Sic !

Choisissant ouvertement le camp de ceux qui depuis 2014 avaient déjà à leur actif la mort de plusieurs milliers de gens du Donbass.

Sans parler de ce qui se passe et de ce que subissent tant les ukrainophones que les russophones (et autres -phones) par la pègre bandériste qui mène les peuples d’Ukraine à leur mort (au sens propre), depuis l’intervention russe justifiée et obligée de Kherson à Kharkov en passant par Donetsk, pour simplifier.

On croit rêver (être dans un mauvais rêve) lorsque l’on lit les propos de l’imbécile porte-parole polonais du musée d’Auschwitz-Birkenau, un certain Piotr Sawicki, affirmer que …

« La Russie aura besoin d’un temps extrêmement long et d’une très profonde introspection [et repentance ?] après ce conflit pour revenir dans les salons du monde civilisé ».

Traitant également les Russes de barbares ! Quant aux salons, ils n’ont jamais représenté le monde réel, pas plus que les plateaux de télévision.

Étant entendu que la Pologne grand pays des anciens pogroms anti-juifs et autres, au même titre que les trois pays baltes, et que bien sûr la Galicie-Volhynie ukrainienne, n’ont rien à se reprocher et font partie intégrante du monde civilisé !

Et comme on peut le constater alors même que plusieurs milliers de mercenaires, hystériquement anti-russes, font partie de l’armée otano-kiévienne et tiennent des propos de haine gratinée à l’encontre de tout ce qui leur rappelle le russe ou la Russie, ou même simplement l’orthodoxie. De beaux cathos que voici ! que voilà ! Des cathos mondialistes.

Ce qui ne les trouble donc nullement, bien au contraire, de tirer sur les civils comme sur les militaires et autres mauvais sujets du Donbass et plus généralement du Sud et de l’Est de l’ex-Ukraine.

Ils en sont encore à l’anti-soviétisme, comme si d’ailleurs les soviétiques étaient uniquement Russes autrefois. Les plus connus d’entre eux étant l’ancien séminariste géorgien et terroriste Djougachvili dit Staline (Acier) et le Juif Bronstein dit Trotsky dont l’armée, du temps où il en était le chef, tira plus d’une fois sur les ouvriers et les paysans rebelles et insoumis.

Je laisse la conclusion au même Arno Klarsfeld qui sur twitter écrit :

« La Russie a libéré Auschwitz et n’est pas invité aux commémorations de sa libération. L’Ukraine [qui] glorifie depuis 2014 officiellement des nationalistes ukrainiens qui ont collaboré avec les nazis et massacré des dizaines de milliers de familles juives le sera sans aucun doute. »

Si je cite cette personne c’est que jusqu’à maintenant il n’était pas parmi les plus éveillés. Là, il a fini par comprendre, du moins sur sa question, la question juive.

Je rappelle que ses parents se sont indignés déjà de ce qu’un Juif ou prétendu tel, en l’occurrence zelensky, puisse soutenir le bandérisme autrefois foncièrement anti-juif et marcher dans cette voie de garage et de mort, où (c’est moi qui ajoute) le Russe a pris la place du Juif.

From → divers

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