R.I.P. POUR DIEUDONNÉ
R.I.P. pas RIB… Non mais, des fois !
Je pourrais continuer sur la petite histoire du faux acte de contrition de Dieudonné Mbala Mbala, sur cette demande de pardon imbécile, et d’ailleurs réservée aux « z-élus » sionistes (et sinistres) de la « ripoublique franchouillarde »… Merci pour tous ses soutiens qu’il oublie joyeusement ; et merci plus encore pour les Palestiniens à qui il conseille de demander pardon à leurs bourreaux.
De ce type qui finalement lance une ultime quenelle au camp qu’il prétendait défendre, celui des plus humbles et des plus généreux en fait. Aux anti-sionistes. Ou aux autres « comiques » ou « artistes » dont il se moquait pour leur modération ou conformisme…
De ce type qui joue au coupable pour avoir quelques derniers « p’tits billets » (une de ses expressions favorites, à prendre finalement au premier degré) des media mondialistes. Et partir se dorer au soleil (enfin, si je puis dire) du Cameroun. « Au-dessus, c’est le Soleil », comme il disait de certains intouchables, rigolard et finalement totalement faux-jeton, il y a quelques années.
Dieudonné a ripé et va donc retourner (mais il y a tellement d’années qu’il le dit) au pays de ses ancêtres. Enfin ces ancêtres africains, car ses ancêtres européens…
En voilà d’un homme finalement curieux né en France d’une mère bretonne, qui l’a porté quand même neuf mois, et d’un père camerounais qui, si j’ai bien compris, est retourné au pays pour y mourir (il se dit que depuis que son père est mort, il y aurait repris sa place, en une sorte de chef de famille au sens élargi, cousins compris, de quasi tribu) ; un homme curieux dont la langue maternelle est le français, qui se dit à l’occasion patriote, dont la culture est celle des banlieues parisiennes, qui aura passé une bonne partie de sa carrière à se préoccuper (pour ne pas dire profiter, vue ce qu’il est devenu), à se préoccuper de sujets totalement extra-africains et profondément européens — comme le sort réservé aux Juifs ordinaires pendant la Seconde guerre mondiale, ou le sort réservé aux Palestiniens sous domination de Juifs sionistes pour la plupart ex-européens.
Enfin, j’allais oublier, Mbala est tellement africain qu’il s’est marié deux fois à des Françaises « de souche » (je veux dire : blanches, caucasiennes comme on dit). Une sculptrice Marine Lutinier, avec qui il a eu trois enfants, et sa productrice Noémie Montagne avec qui il a eu quatre enfants (sachant que par ailleurs, celle-ci avait eu deux enfants de deux autres personnes auparavant). À l’automne dernier, cette dernière, qui l’a quitté en 2017, a porté plainte contre lui pour « escroquerie » et « harcèlement »…
On dirait qu’il finit sa carrière en étant reconnu ripoux par sa propre ex seconde épouse. Mais justice n’est pas encore rendue à ce sujet. On verra…
Moi, je connais une métis, également de père africain et de mère bretonne. Cette jeune femme a eu deux enfants de deux hommes différents également : un Italien puis un Français.
Et curieusement, à la dernière rentrée scolaire, elle a mis sa petite dernière à la maternelle de l’école Diwan en langue bretonne (école bilingue en fait britto-française).
Comme quoi sur la question des ancêtres, cette femme a fait jouer son coeur de mère. Plus qu’un exotisme improbable. Après tout (mis à part quelques cas tordus qui relèvent du technologisme débridé), on est toujours l’enfant de sa mère ; et le père n’est jamais qu’un hasard, si l’on peut dire.
Enfin, pour finir sur du plus général je voudrais rapporter ici quelques phrases d’une chanson russe qui dit :
Les Russes marchent et toutes les lumières s’allument à nouveau,
Les Russes marchent pour arrêter la dépravation des hommes,
Les Russes marchent, rappelant aux Russes qui ils sont,
Les Russes en marche, pour défendre tous les peuples, proches et lointains.
Pendant ce temps, comme nous le rappelle Katya Kopylova, au concours de Miss Univers, c’est l’Américaine qui a été sacrée. Étonnant, non ? !
Et l’Immonde écrit : » Le plus grand cimetière russe, Saint-Geneviève-des-Bois près de Paris, fondé en 1927 à la suite de la première vague d’immigration russe en France, pourrait cesser d’exister en raison de la suspension par Moscou du financement de son entretien », « oubliant » d’ajouter, « exemple typique de mauvaise foi [que] si les financements ont été suspendus, c’est uniquement parce qu’il est impossible d’effectuer les transferts de fonds depuis la Russie suite aux sanctions dans le secteur bancaire. »
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