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À PROPOS DES VIKINGS

19 novembre 2022

Je ne m’étendrai pas sur l’histoire de l’Océan Viking sauf à rappeler que plus de la moitié des migrants « mineurs » accueillis à Toulon a déjà disparu dans la Nature.

Je voudrais juste recopier ici ce qu’un anonyme sur Internet a écrit :

«  Il s’appelle l’Ocean Viking, ce bateau ? Oh comme ça lui va bien. Les Vikings étaient de grands esclavagistes, qui appelaient leurs esclaves : Courtaud, Imbécile, Feignasse, Puant… Ils n’étaient pas non plus du tout féministes.

«  Ils faisaient commerce d’esclaves avec les Sarrasins ou les Turcs. Les Vikings capturaient les Européens sédentaires sur les côtes, les maltraitaient, les échangeaient, les envoyaient chez les Sarrasins… Ils « les acheminaient depuis la Scandinavie par la Russie jusqu’à Byzance et Bagdad. »

«  Les hommes devenaient hommes de peine. Les femmes servaient de bonnes et concubines. Etc.

«  cf. https://www.nationalgeographic.fr/histoire/la-societe-viking-reposait-sur-lesclavage »

Et je ne pourrai pas m’empêcher d’ajouter que, dans leurs fantasmes des origines, les bandéristes ukrainiens prétendent descendre des Vikings, de la « blanchitude » viking, et n’auraient rien à voir avec les Slaves. Ce qui serait doublement ou triplement drôle si ce n’était si tragique.

1 – S’ils étaient cohérents, ils abandonneraient l’ukrainien, pour le suédois par exemple ou autre langue nordique, ou plus exactement les divers ukrainiens (l’ukrainien littéraire, unifié, est essentiellement une langue écrite d’intellectuels, il y a plusieurs dialectes ukrainiens et même une langue intermédiaire qui mêle, plus ou ou moins selon les endroits, ukrainien et russe ou russe ukrainisé, j’en parlerai un jour plus longuement ; sans oublier toutes les minorités linguistiques de l’Ukraine).

L’ukrainien est du slave oriental comme le polonais, le biélorusse et bien sûr le russe. Tout sort du même moule vieux-slave oriental. Et pour les Biélorusses, les Russes et les Ukrainiens, de la Rus’ ( Rousy) de Kiev du haut Moyen-âge. Rus’, nom d’origine nordique, celui des premiers seigneurs, sur des populations d’origine slave ; comme France est un nom d’origine germanique, celui des premiers seigneurs, sur des populations d’origine gallo-romaine.

2 – À tout prendre, en leurs délires, leur volonté d’exterminer les Russes serait donc née finalement d’une rancœur. Leur impossibilité, à notre époque, de faire des Russes (et de tous les autres Slaves, s’ils étaient également cohérents en ce domaine, ainsi que des non-Slaves) des esclaves, comme le faisait autrefois les Vikings.

Mais en fait, ils semblent incapables de s’élever. Pendant la Guerre de Quatorze et la Seconde guerre mondiale, ces ultra-nationalistes (qui ne sont heureusement pas tous les Ukrainiens) se sont rabattus sur la simple extermination délirante des autres, de tous les autres à leur portée géographique : Polonais, Hongrois, Ruthènes, Slovaques, Roumains, Moldaves, soldats soviétiques en général, Allemands, Juifs, Tziganes, « mauvais » Ukrainiens.

Et je suis sans doute incomplet, les Lituaniens semblent avoir été épargnés, pour l’unique raison qu’ils vivaient un peu plus loin, qu’ils n’étaient pas ou très peu présents en Galicie orientale, le sanctuaire de ces humanoïdes dégénérés qui prétendent être l’élite de leur pays. Lituaniens qui eux, du moins les ultra-nationalistes, s’étaient plus particulièrement spécialisés dans l’élimination des Juifs.

3 – Slaves comme les autres, ces « idiots utiles » exaltés du mondialisme transhumaniste sont tellement bornés qu’ils ne se rendent pas même compte qu’ils sont les premiers à accéder aux charrettes de la Mort. Pire certains, par la mort face à l’« ennemi », fantasme d’ennemi, sont convaincus d’atteindre au Walhalla, le paradis des dieux nordiques. Ne se différenciant pas en cela des plus obtus des islamistes s’arrangeant avec Allah.

En adorateurs du culte de la mort. Ou mieux encore en esclaves de la Mort. Autrement dit en Slaves de la Mort — puisque le « Slave » a donné son nom à l’« esclave ».

Mais, je n’en dis pas plus ; moi-même j’ai un nom qui pourrait laisser supposer que j’ai un peu de sang de quelque violeur ancien, roux nordique dans les veines. Toujours est-il qu’en vieil-islandais — paraît-il — fara í víkingu signifie : partir en maraude, rapine, piraterie. Cela correspond assez bien finalement à tous ces bandéristes contemporains, émules déglingués du plus sombre temps moyen-âgeux.

From → divers

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