Rapport du ministère russe de la Défense sur les progrès de l’opération militaire spéciale en Ukraine (30 octobre 2022)

extraits

Malgré la présence de représentants de l’AIEA à la centrale nucléaire de Zaporozhye, le régime de Kiev continue ses provocations visant à constituer une menace pour créer une catastrophe technologique.

Il y a eu trois rapports de bombardements par des unités d’artillerie de l’AFU d’Energodar et du territoire adjacent à la station. Au total, 10 obus ont été tirés. Des bombardements d’artillerie ukrainiens ont été effectués depuis Novokiyevka (région de Dnepropetrovsk).

Au cours du combat de contrebatterie, les unités AFU ont été supprimées par les tirs de retour de l’artillerie russe. Lors d’une tentative d’abordage par un groupe de sabotage et de reconnaissance de l’AFU pour entrer dans Energodar (région de Zaporozhye), un hors-bord de l’AFU a été éliminé.

L’environnement radiologique de la centrale nucléaire de Zaporozhye reste normal.

⚡️ Après le rejet d’une attaque terroriste contre les navires de la Flotte de la mer Noire et des navires civils impliqués dans la sécurité du « corridor céréalier » le 29 octobre dernier, l’épave des drones marins utilisés par le régime de Kiev sous la direction des représentants de la Grande-Bretagne ont été retrouvés et remontés à la surface.

Le ministère de la Défense de la Fédération de Russie, en collaboration avec des représentants d’autres agences gouvernementales, a procédé à un examen des modules de navigation canadiens installés sur les véhicules aériens sans pilote.

Selon les résultats de la reconstruction des informations lues dans la mémoire du récepteur de navigation, il a été établi que les drones marins avaient été lancés depuis la côte près d’Odessa.

Les drones marins se sont déplacés le long de la zone de sécurité du « corridor céréalier », après quoi ils ont changé leur itinéraire en direction du point de base des navires russes à Sébastopol.

Dans le même temps, les coordonnées de déplacement de l’un des drones marins indiquent le point de départ dans la zone maritime de sécurité du « corridor céréalier » en mer Noire.

Selon les experts, cela pourrait indiquer un lancement préliminaire de cet engin depuis l’un des navires civils affrétés par Kiev ou ses patrons occidentaux pour exporter des produits agricoles depuis les ports maritimes ukrainiens.