Anecdotes ukrainiennes
D’après Donbass Insider
Les soldats, libérés lors de l’échange « 110 contre 110 », ont raconté les tortures en captivité ukrainienne « Pour toute mention positive de la Russie, ou quelque chose de mal à propos de l’Ukraine, il [gardien de prison] a commencé à nous frapper au visage et au corps <…> En arrivant à Zapad-1 dans la région de Lvov, c’est un camp de prisonniers de guerre, les surveillants de la garde nationale d’Ukraine nous ont également traités durement lorsque nous sommes sortis de la paddy wagon. Ils nous ont forcés à nous précipiter en nous frappant à la tête et dans le dos avec des matraques.
Les conditions de détention étaient épouvantables, les prisonniers étaient constamment surchargés de travail, mal nourris et vivaient dans des conditions d’insalubrité totale : « À Kharkov, ils nous ont demandé : « Avez-vous le sida, la tuberculose, l’hépatite ? Nous avons répondu : « Non ». Ils ont dit: « Eh bien, vous le ferez. »
Lorsque l’administration du camp a découvert que quelqu’un s’était plaint au représentant de la Croix-Rouge d’heures supplémentaires, tous les prisonniers ont été contraints de faire 500 squats.
« Même l’homme unijambiste s’accroupit, avec des béquilles. Mais à sa guise, pour nous suivre. Homme fort. Russe ».
Donbass Insider de Chroniques des conflits mondiaux
Des Ukrainiens agressent une famille russe en Normandie
L’ambassade russe à Paris a fait passer une note au quai d’Orsay avec demande de traduire en justice les Ukrainiens qui ont attaqué une famille russe au Marché aux Poissons de Trouville-sur-Mer.
Anastasia, qui habite depuis 13 ans en France et possède les citoyennetés russe, ukrainienne et française, a raconté à l’agence de presse Ria Novosti que huit personnes devant un étalage faisaient du bruit et ignoraient les demandes du propriétaire de se calmer, faisant semblant de ne pas le comprendre.
Anastasia raconte que ces gens parlaient russe avec un accent ukrainien. Selon elle, le conflit a débuté lorsqu’elle leur a demandé de baisser la musique provenant d’un portable. La bande s’est alors mise à vouloir l’intimider, après quoi le père de la jeune femme a dû intervenir. L’un des Ukrainiens l’a alors provoqué, l’incitant à se battre avec lui, mais Anastasia a persuadé son père de revenir s’asseoir.
Or, le même Ukrainien, alors que son adversaire était assis dos à lui, s’est approché, l’a attrapé par le cou et l’a frappé en plein visage. D’après la jeune femme, à l’arrivée de la police, ces personnes se sont immédiatement calmées, l’agresseur faisait comme s’il n’avait rien à voir avec la situation et les femmes ont commencé à sortir des passeports ukrainiens et à crier: «Nous sommes Ukrainiens, et ils sont des agresseurs russes!».
Anastasia insiste sur le fait qu’aucun membre de sa famille ne parlait politique. Elle indique que les policiers étaient sur le point d’utiliser du gaz contre les Ukrainiens, car ils n’arrivaient pas à les calmer et à les faire sortir de ce marché.
Un moment donné, se souvient Anastasia, l’un des policiers a dit à l’agresseur: «Si tu es si courageux, nous pouvons t’envoyer dans ta patrie, va te battre là-bas!».
La police n’a pas pour autant arrêté l’agresseur, sous prétexte que le nez du père n’a pas été cassé et qu’il n’y avait pas de sang. Les victimes, elles, ont déposé plainte et attendent la réaction des autorités françaises.
@chroniques_conflit_ukraine
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Vu sur telegram une vidéo où une Ukrainienne déblatère
Commentaire en dessous :
Ukrainienne ordinaire : « Biélorusses, le moment est venu… Vous n’êtes pas des gens, vous êtes des champignons. Vous poussez simplement en Biélorussie. L’Ukraine va bientôt vous bombarder… ».
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Sur le conflit [doux euphémisme] d’hier entre mercenaires polonais et néonazis ukrainiens. Hier, les Polonais ont refusé d’avancer, et à cause de cela, l’une des attaques en direction de Liman s’est enlisée et les néonazis ont subi des pertes.
Des représentants des néonazis sont venus enquêter sur cette affaire et les Polonais les ont canardés. Mais ce n’était pas fini!
En soirée, les néonazis ont décidé de se venger et se sont rendus au camp des Polonais. Mais ces derniers se sont défendus. Bilan : 23 tués toutes origines confondues, le nombre de blessés n’est pas précisé. Les gens n’ont compté que les sacs mortuaires.
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« Arrêtez de nourrir l’Ukraine ! et « Nous ne sommes pas une tête de pont »
Il n’y a pas qu’en Allemagne [ou en France…] qu’il y a des manifestations contre l’OTAN et contre le soutien à l’Ukraine. Cette manifestation a eu lieu en Roumanie.
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