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REMARQUE PERSONNELLE À UNE « PENSÉE PHILOSOPHIQUE » DE L’IGNOBLE ONFRAY TANT PARTISAN DE L’APARTHEID À L’ENCONTRE DES PALESTINIENS QUE DES NON-« VACCINÉS »

5 août 2022

Avec onfray, arrêtons les frais ! et mettons-le au frais, en rappelant les faits qui effraient sur ses talents de « philosophe ».

Reprenons la phrase toute faite de lieux communs d’onfray, le petit prof de philo qui n’a rien d’un philosophe — pas plus que bêêê-hache-ailes (le frère de la nonne) ou que fine-quelle-crotte d’ailleurs — l’ex petit prof d’un lycée de province privé de jeunes filles (le lycée n’est pas privé de jeunes filles, mais « non public »), l’idéologue du mondialisme sioniste :

Cet antisionisme procède d’un islamo-gauchisme dont ses partisans nient qu’il existe, c’est d’ailleurs leur signature, car le négationnisme est la meilleure façon de refuser le débat : « on ne discute pas de ce qui n’existe pas !” »

et rappelons, sans développer plus sur le reste de son propos, qu’il fait un contresens sur le mot « négationnisme ». Ou plus exactement qu’il fait une inversion accusatoire.
Déjà le terme (dépréciatif) de « négationnisme » n’est jamais employé par les révisionnistes, c’est-à-dire par les vrais historiens conséquents. L’Histoire est par essence révisable, mérite toujours approfondissements et interrogations. Faits de révisions, le temps passant, et non pas de flots continus et toujours renouvelés de versets et mantras de propagande mythique. Histoire ne veut pas dire Légendes. J’ajouterais même qu’Histoire ne veut pas dire Poésie.

Et le révisionnisme ne se définit justement pas comme refus du débat et absence de discussions ; c’est exa ctement l’inverse. Ceux qui refusent le débat depuis plusieurs décennies et la discussion, et sont de fait les vrais négationnistes (ou pour le dire autrement néga-sionistes ; ceci n’est pas qu’un simple jeu de mots, mais définit un élément essentiel au sionisme) sont justement les anti-révisionnistes.

C’est feu pierre vidal-naquet et sa cohorte de pseudo-historiens, très peu sérieux, qui est à l’origine du négationnisme officiel et convenu « anti-fasciste » quand il fut à l’origine d’une déclaration célèbre, vrai déni d’Histoire, publiée par Le Monde (déjà fort douteux !) du 21 février 1979, où trente-quatre « historiens » français, signaient pour affirmer doctement, patenté ès-université, comme aux plus belles heures du stalinisme jobard et dominateur, qu’il ne saurait y avoir de débat sur l’existence ou non de chambres à gaz homicides dans certains camps de concentration allemands pendant la Seconde guerre mondiale, puisque … elles avaient existé. Seul et unique argument tangible et matériel ne tenant sur rien de vérifié et de vérifiable.

Le tout, de fait, ne reposant que sur desdits témoignages, on-dit et autres rumeurs de guerre qui ont donné lieu à tant et plus de souvenirs romancés et autre littérature de guerre … de gare. Et doit-on le rappeler instillé, développé bien avant la fin de la guerre par des media nord-américains, puis porté au climax de la propagande par l’armada des idéologues staliniens au moment de la chute allemande de 1945. Mais chambres toutes magiquement disparues depuis, pour ne laisser aucune trace crédible dans les ruines de ces camps. Précisons que tous les camps n’ont pas été bombardés et rasés par l’aviation anglo-saxonne. Et qu’on en possède des restes conséquents, du moins quand ils n’ont pas été restaurés et extrapolés à outrance, à la manière, dans un autre genre du « palais de Minos » à Cnossos.

Certains ont été même jusqu’à suggérer que ces chambres auraient été détruites en toute fin de guerre pour masquer le crime et son horreur. Dans une Allemagne en pleine perdition et victime d’un blocus (cause en partie de l’état physique lamentable dans lequel ont été retrouvés les déportés) qui y aurait perdu son temps, son énergie ?! Sauf que la notion religieuse d’holocauste, de péché de tout un peuple et de damnation de la part d’un dieu foncièrement mauvais (donc à l’image de ceux qui l’on inventé), est une constante de la religion judaïque (cf. la Bible et en particulier l’histoire ou le roman, ou la légende de Moïse). Et alors que le sionisme se faisait de plus en plus pressant en Palestine.

Ce qui est remarquable à constater, c’est qu’une fois le mal fait, ce vidal-naquet seul ou avec d’autres « historiens » s’est ingénié à brouiller les pistes.

Ainsi, après la loi fabius-gayssot (sic) a-t-il pu écrire sans gêne aucune (alors qu’il en fut en partie responsable par son propos précédent) :

« J’ai toujours été absolument contre cette loi, avec d’ailleurs la grande majorité des historiens. Elle risque de nous ramener aux vérités d’État et de transformer des zéros intellectuels en martyrs. »

Ce qui finalement n’est qu’une autre manière de dire : moi seul ai raison, moi seul est raison ; les autres sont des pitres. Avec toute l’autorité d’un ponte universitaire qui condescend à laisser la valetaille non estampillée et non-fonctionnaire à déblatérer sur le sexe des anges.

Le sommet a été atteint quand il n’a finalement fait que reprendre toutes les raisons de laisser totale liberté à la recherche historique et quand il a osé donner ce texte  qui n’est rien d’autre que celui d’un révisionniste, dans Libération du 13 décembre 2005 — il pouvait le dire tout tranquillement, sans conséquences, d’autant qu’il était Juif, puisque lui ne contestait rien et surtout pas la réalité des chambres homicides :
« L’histoire n’est pas une religion. L’historien n’accepte aucun dogme, ne respecte aucun interdit, ne connaît pas de tabous. Il peut être dérangeant.

« L’histoire n’est pas la morale. L’historien n’a pas pour rôle d’exalter ou de condamner, il explique.

« L’histoire n’est pas l’esclave de l’actualité. L’historien ne plaque pas sur le passé des schémas idéologiques contemporains et n’introduit pas dans les événements d’autrefois la sensibilité d’aujourd’hui.

« L’histoire n’est pas la mémoire. L’historien, dans une démarche scientifique, recueille les souvenirs des hommes, les compare entre eux, les confronte aux documents, aux objets, aux traces, et établit les faits. L’histoire tient compte de la mémoire, elle ne s’y réduit pas.

« L’histoire n’est pas un objet juridique. Dans un État libre, il n’appartient ni au Parlement ni à l’autorité judiciaire de définir la vérité historique. La politique de l’État, même animée des meilleures intentions, n’est pas la politique de l’histoire. »

L’attitude de cet individu, et de ses acolytes universitaires, me fait penser exactement aux attitudes d’un einstein, oppenheimer et szilárd dont j’ai dit quelques mots dans un article précédent. Je fais le mal en incitant au désastre ou à la répression, et je le répare en disant non pas que j’ai mal agi mais que les parlementaires (pour vidal) le gouvernement états-unien (pour les trois autres) que j’ai pourtant conseillé en ce sens, ont finalement mal agi.

Ce qui sous-entend finalement, que seuls les dominants ont le pouvoir sinon d’inverser la donne, du moins de se défausser. Et que les victimes restent des victimes. Cela me fait penser aussi à tous ces tourne-vestes qui possédaient l’autorité médiatique pour nous déverser la propagande covidiste et qui maintenant se défaussent ou viennent pleurnicher en victimes, en manipulés, alors que ceux — « complotistes », « populistes », « ignares », —qui dès le départ avaient la raison ou le simple bon sens avec eux, ne sont toujours pas invités à s’exprimer.

C’est toujours le dominant, même en partie déchu, qui doit dire ce que sont les Beau, Bien, Bon et Vrai. Ou celui du camp qui dirige. Je l’ai constaté tant et plus de fois quand on a eu pendant des années le « socialiste » qui disait blanc et le « socialiste » qui disait noir. Tenant à eux deux seuls, toute l’opinion, tous les débats.

Ou lorsque l’on parle sur les idées ou idées prétendues des opposants. Absents des débats. Au niveau du révisionnisme historique, c’est assez manifeste. Et ce le fut bien avant la loi liberticide fabius-gayssot (union du stalinisme au sionisme).

le 5 août ; j’avais oublié de le poster sur mon blogue.

From → divers

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