DOIT-ON DIRE « MADAME LE PREMIER MINISTRE » OU « MADAME LA PREMIÈRE SINISTRE » ?
À voir la tronche de cette Borne (qui a honte de son patronyme puisqu’elle est née Bornstein : pierre de bornage ? pierre à éborgner ?), « socialisse » (comme dirait l’autre) qui a l’aspect même d’une bourge coincée, doublée d’une technocrate bornée, obtuse, peu sympathique, et il se pourrait bien autoritaire avec ses subordonnés et courtisane avec les hautes sphères, je pencherais pour la seconde solution.
Dans un couplet où elle rappelait qu’elle était une femme (cela nous a fait une belle jambe bien galbée), femme apparemment peu féminine, elle a précisé que c’était bien qu’une femme puisse réaliser ses rêves de jeunesse.
Alors, je me dis : quel genre de monstre est-ce pour avoir eu de tels rêves diaboliques ?!
En effet quels autres termes que « monstre » et « diabolitiques », si ce n’est « sataniste », pour définir cette personne, cette femme assez ignoble, la borne qui a su déjà se dépasser elle-même plusieurs fois, comme nous l’explique ici Florian Philippot :
Comme quoi le sexe ne fait rien à l’affaire, que l’on soit salaud ou salaude, salop ou salope.
PS Femme sous surveillance puisque mac ronds lui a imposé, une semaine avant de la nommer, son tireur de chasse d’eau et teneur de balayette, pardon ! son chef de cabinets. Encore un exemple de l’indépendance entre le président de la raie publique et le chef ou la cheftaine de « goût vert ne ment ».
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