DEUX BRÈVES SUR LES FRONTS DE L’ANTI-MONDIALISME

BRÈVE UKRAINIENNE
DONBASS ET GRANDS ALENTOURS
D’après Le Courrier des Stratèges de ce jour.
« Ce que ni l’Occident ni le gouvernement kiévien ne semblent comprendre, c’est que plus ils repoussent le moment de négocier, moins il restera de territoire à l’Ukraine. Après Kherson [pas très loin d’Odessa, au Sud-Ouest maritime de l’Ukraine, à plus de trois cents cinquante kilomètres à vol d’oiseau de Marioupol ville qui est tout au Sud du Donbass, et à deux cents cinquante kilomètres de Sébastopol en Crimée], on commence à parler d’un référendum d’appartenance pour le district de Kharkov aussi [seconde ville du pays, tout à l’Est, à plus de deux cents cinquante kilomètres à vol d’oiseau, au Nord des deux capitales du Donbass]. Cela conduit Tom Fowdy [https://canadiandimension.com/articles/author/tom-fowdy] à écrire: “Cela ressemble de plus en plus à la Nouvelle Russie (du XIXè siècle) chaque jour. L’Ukraine ne récupérera pas les territoires qu’elle perd, et la Russie joue sur ce point en faisant comprendre que plus elle résiste, plus les conditions de paix qu’elle obtiendra seront mauvaises“. »
[À vol d’oiseau, il y a environ 480 kilomètres entre Kherson et Kharkov. Mais avant même que tout ne soit achevé, comme on le voit se profiler, on peut déjà noter qu’il y en a 580 environ entre Odessa et Kharkov. Ce qui n’est pas rien]

BRÈVE FRANCHOUILLARDE
DEUX ÉBORGNÉS DU CIBOULOT
Lorsque le mouvement des Gilets Jaunes est apparu, mouvement des petits, des obscurs, des premiers « laissés pour compte » du mondialisme, la « gauche » des bobos, c’est-à-dire l’essentiel de ce qui reste « à gauche », a crié au « populisme » voire au « fascisme ».
Voyant que le mouvement persistait et prenait de l’ampleur, les plus salauds, je veux parler des fantoches qui osent se dirent « insoumis », ont approché les infréquentables, les pouilleux et autres gueux, les ont infiltrés et ont fini par les offrir en autodafé aux salopards des Black Blocs, afin de réduire le mouvement à néant et déconsidérer leur juste cause.
C’est ainsi que l’on a vu apparaître à la télé de la propagande, certains pseudo Gilets Jaunes qui étaient là en tant que pseudo « Insoumis ». L’un des plus remarqués a été un certain Rodriguès barbu.
Ce type fait partie de tous ceux qui ont été éborgnés sur ordre par les miliciens de mac ronds les plus tarés. Maintenant, voilà-t-i’ pas que ce dernier vient de réapparaître en électeur qui nous déclare tout de go qu’il ne veut « ni Macron, ni Le Pen ».
Grand bien lui fasse, ou grand mal. S’il n’est pas capable de faire la différence, de voir de son œil valide la différence entre le commanditaire de son éborgnement et quelqu’une qui ne lui a rien fait, je me demande s’il ne mérite pas d’être à nouveau éborgné sur ordre du premier, mais de l’autre œil.
La cécité politique, idéologique, éthique « de gauche », qui plus est du « gauchisme », son irresponsabilité historique est sidérante.
Par cette phrase de crétin il rejoint ici « l’analyse » du pitre qui a été également Gilet Jaune, mais juste deux ou trois jours pour faire parler de lui et faire rigoler les députés.
Du représentant des beaufs « Pêche jusqu’à extinction des poissons, Chasse à la glu, au miroir et aux filets, Nature sans ours des Pyrénées, tauromachie morbide et mauvaises Traditions » qui lui aussi n’a pas encore été assez échaudé, et qui se plaint pourtant.
Je veux parler du politicard Lasalle, le député des bistrots et de la troisième mi-temps, dont la faconde macho représente une certaine nullité politique ; une nullité certaine.
Son intelligence politique, et tout court, ne lui permet pas de dire autre chose que : « je vais voter blanc ». Ce qui est se décharger sur les autres, lui le politicard, de prendre une décision gravissime pour notre avenir.
Entre un mondialiste éborgneur, tueur des EHPAD, dictateur sociopathe ; et une souverainiste, certes imparfaite, mais au moins en germe, le choix paraît pourtant simple. Trop simple sans doute !