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DIMANCHE PROCHAIN : TOUT DOUTE EST INTERDIT, LE CHOIX EST IMPOSÉ

18 avril 2022

Après cinq ans d’une présidence catastrophique exercée par le sociopathe et petit dictateur macron (je ne refais pas ici la liste incommensurablement longue de ses manquements et de ses actions coupables, les siennes et celles de ses larbins et autres corrompus),

Voici un résumé de mon opinion sur le sens à donner au second tour de la présidentielle qui va opposer, à Marine Le Pen,

Ce même timbré, transhumaniste et européo-mondialiste à la solde des cabinets de conseils liés entre eux et liés à la CIA, pitre dangereux, destructeur des Français et de la France, ardent partisan des divisions, lèche-botte de l’impérialisme nord-américain représenté par lesdits « démocrates », et va-t-en guerre irresponsable.

Pour le dire autrement, voici à mon point de vue, la seule attitude de raison et de simple bon sens à adopter dimanche prochain. La seule attitude responsable.

Car les circonstances ne nous laissent pas, ne nous laissent plus le choix.

Les circonstance nous laissent d’autant moins le choix que l’essentiel du gauchisme et de la gauche, ou prétendues telles, ainsi que ledit centre (groupuscules du Modem et de l’UDI de ces cinq dernières années) et la dite droite, se sont associées totalitairement dans l’appel qui à « faire barrage à Le Pen » qui à « voter pour macron », au parti grotesque de la république en marche arrière.

Confirmant en cela que depuis cinq ans ils ont été tous coresponsables (et ça s’est bien vu et subi pour nous) de ce qui nous est tombé dessus par leur veulerie, leur lâcheté, leur complicité objective avec ce triste individu qui n’a que haine des Français et de la France.

Ce à quoi nous assistons (depuis des années déjà), c’est à la mort de la plupart des partis traditionnels ; et en premier lieu aux deux partis qui, depuis plusieurs décennies, ont mené notre pays là où il en est rendu, c’est-à-dire au plus bas. Lesdits Républicains (ex UMP, RPR, etc.) et le Parti dit Socialiste.

Ce à quoi nous avons assisté, impuissants, durant ce dernier quinquennat, c’est ni plus, ni moins à la ruine de tous les contre-pouvoirs de la démocratie représentative : tant du Conseil constitutionnel qui se moque bien de la Constitution, que du Conseil d’État qui se moque bien de l’État. Pour ne pas parler d’une quasi privatisation des instances de gouvernement avec des sociétés de conseil qui n’ont rien à faire dans l’appareil d’État. Et bien évidemment de l’aveulissement complice (tous partis confondus à quelques exceptions individuelles près) du Parlement (députés et sénateurs), comme de l’instance Judiciaire. Sur un fond de propagande mondialiste de la part de quasiment tous les media.*

Ajoutons que ce à quoi nous assistons également c’est à l’absence de toute démocratie directe et populaire. Mais, ce n’est pas nouveau. En cela pas un seul des partis traditionnels moribonds, et subventionnés grassement pour la plupart, et encore moins le macronisme, ne veut y changer quoi que se soit. On voit même un pitre comme le « révolutionnaire » Poutou — par ailleurs partisan d’une dictature trotskiste valant tous les jours la dictature stalinienne — inscrire dans son programme qu’il est favorable aux référendums, mais attention ! pas n’importe lesquels ! Pas de ceux qui fâchent, pas de ceux qui seraient d’inspiration « populiste ». Quel mépris, quelle nullité.

Ce à quoi nous assistons enfin, et ce n’est pas le moindre, c’est au ralliement unanime, unanimiste, de l’essentiel de la droite et de la gauche, du moins c’est comme ça qu’on les appelle encore, à ce que personnellement je considère comme le vrai et unique néo-bolcho-fascisme ou facho-bolchevisme contemporain, incarné en France par macron et sa clique, ou plus exactement sa caste, ou mieux encore sa maffia de corrompus, d’incapables et de salopards.

Tandis que Pécresse « à droite » se rallie à macron (peur du chômage, place à glaner?) après avoir affirmé qu’elle ne le ferait pas, c’est « à gauche » que la situation est encore plus sinistre et contre-nature – du moins si « la gauche » était réellement « à gauche » comme on l’entendait autrefois, même si ça relevait déjà plus des vœux pieux et de la pose hypocrite. Au moins, cela devient très clair.

Je ne sais pas lequel est le plus grotesque à gauche ou le plus salaud. Ou le plus fourbe, traître à la cause qu’il prétend ou prétendait défendre autrefois, et au final ennemi du peuple, tant des milieux populaires que des couches moyennes, que de ce qui reste des « élites », scientifiques en particulier, non encore corrompues.

Entre le trotskiste et apparatchik syndical Poutou adepte d’une secte qui met aux nues Trotski chef de l’Armée rouge qui a fait tirer autrefois sur les ouvriers et les paysans russes. Entre l’ancien trotskiste, puis sénateur socialiste de longue date et toujours franc-maçon, autoritaire, laïcard et bouffeur de curés Mélenchon qui confond sciemment internationalisme avec mondialisme. Entre le prétendu communiste (en accord avec la CGT, bureaucratie faisandée qui a abandonné les travailleurs en échange de subsides de l’Union Européenne) Roussel, ennemi du grand capital (sic) et dit-on patriote, être tellement falot que je n’ai rien d’autre à en dire. Entre le prétendu écologiste Jadot prêt à cautionner la réouverture de centrales électriques à charbon, l’achat et le transport du gaz de schiste nord-américain. Entre la prétendue socialiste Hidalgo qui a déjà donné toute sa mesure dans sa gestion calamiteuse en tous domaines de la ville de Paris, en confondant en particulier sociétal avec décadence, Paris avec poubelle, pour ne pas parler du reste. Entre quelques autres d’insignifiants …

Je ne sais pas lequel est le plus grotesque à gauche ou le plus salaud. À offrir des voix qui ne leur appartiennent pas au banquier de chez Rothschild (qui apparemment ne sait pas gérer son patrimoine ou plus sûrement le planque dans quelque paradis fiscal), ordure finie, pervers narcissique type. Être hautement malfaisant, malveillant, diviseur, menteur, fourbe, ennemi du dialogue, ennemi de la France et des Français, prêt à nous faire une guerre. Ne surtout pas négliger, mettre à l’écart de la présente élection, ce dernier point.

Je redis donc que je ne sais pas lequel est le plus grotesque « à gauche » (et « à droite ») ou le plus salaud. Ou le plus fou. Et je redis également que les circonstances ne nous laissent pas le choix. Et que c’est à nous Populo de marquer l’Histoire de France dimanche prochain dans un sursaut d’orgueil national et populaire comme la France en a connu quelques autres.

Et j’affirme qu’à mon sens la seule attitude de raison et de bon sens, devant la gravité de ce qui nous est tombé dessus, consiste :

— à voter, car s’abstenir c’est donner une voix à macron.

— à voter utile, contre macron, pour virer ce triste sire (et je reste poli), car voter blanc ou nul, c’est également donner une voix à macron.

Pour le dire clairement : moi je vais mettre un bulletin Marine Le Pen dans l’urne.

Sans remords, ni atermoiements, car c’est le seul vote sensé et responsable en cet état de déliquescente du système politique et d’attaque frontale contre ce qui reste encore un peu de la démocratie (représentative) en Occident : le droit de vote. Le seul moyen pacifique de chasser de France les représentants du mondialisme tyrannique, eugéniste et belliciste. Et de l’Union européenne dont les crétins nous disent que c’est la paix ! Même s’il faut s’attendre à bien des vicissitudes et bâtons dans les jambes du peuple, à venir.

Paroles de quelqu’un qui n’a jamais voté jusqu’ici pour Le Pen (ni pour le père, ni pour la fille, ni pour le saint-esprit). Mais il faut barrer la route aux européistes mondialistes et faiseurs de guerre de tous bords.

Enfin, si ça peut rassurer ou conforter certains, il faut préciser que le programme de Marine Le Pen n’est pas le pire. Sur bien des points importants, il est même celui qui ressemble le plus à celui de Mélenchon. Mélenchon qui vient de signer son arrêt de mort politique par sa traîtrise finale, de renégat odieux, avec nul respect pour ses électeurs et sa prétendue Union Populaire.

Au jeu des étiquettes, c’est lui le salopard et le « facho », jusqu’à preuve du contraire.

L’heure est réellement grave. Il ne faut pas lésiner. On n’a pas, on n’a plus le droit de lésiner sur l’avenir de notre pays, de nos enfants, petits-enfants…

On est à un tournant important de l’Histoire.

Note

* Une des priorités de la reprise en main de ses dérives totalitaires — pour le dire en quelques mots — sera d’imposer un réel pluralisme à la radio, à la télévision, dans les journaux, par une refonte totale de la législation concernant la presse écrite et audio-visuelle, l’interdiction des cumuls et autres regroupement des titres — comme il en fut juste après-guerre dans le programme du Conseil National de la Résistance ; et également de légiférer afin d’interdire les sondages dans les périodes électorales, dont l’effet pervers influe sur les comportements électoraux.

From → divers

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