MISOGYNIE À PART
D’après E&R
Un déchet de l’humanité, la haine incarnée, celle dont la noirceur d’âme (eut-elle jamais une âme ?) s’est répandue avec le temps sur sa trogne, un nuisible vient de se la fermer définitivement. Que n’eût-elle disparu il y a longtemps !
Il s’agit de la tchéco-américaine diplomate, politicienne mais aussi femme d’affaires, fille de diplomate tchèque née elle-même en Tchéquie, membre du Parti dit démocrate, de ladite « gauche américaine », ambassadrice auprès des Nations unies de 1993 à 1997, puis secrétaire d’État des États-Unis entre 1997 et 2001 dans l’administration Clinton… Madeleine Albright.
Toute vive, toute éclatante, toute brillante (sic) ! Mais ce fut en rien ni la Madeleine du Christ, ni la madeleine de Proust.
Parmi le florilège de sa manière de traiter la diplomatie yankee et dans ses divers propos orduriers (qui sont du même ordre que ceux par exemple de la mère Clinton) je retiendrai ceux-ci :
À propos de l’Irak.
— Journaliste : « Un demi-million d’enfants sont morts, c’est plus qu’à Hiroshima, est-ce que cela en vaut le prix ? »
— Albright : « C’est un choix très difficile, mais nous pensons que cela en vaut le prix ».
Que vaut un Arabe quand on est soi-même Juive ashkénaze ?
En 1996 les Talibans prennent Kaboul, alors secrétaire d’État, elle précise : « c’est un pas positif ». Il est vrai qu’ils furent à l’époque des alliés objectifs des yankees avant qu’ils ne soient jetés par eux, devenus gênants, officiellement lors du complot du 11 septembre 2001…
En 1998, elle déclare à propos de l’Irak : « C’est la menace du recours à la force et notre déploiement là-bas qui va donner de la force à la diplomatie. Si nous devons utiliser la force, c’est parce que nous sommes l’Amérique ; nous sommes la nation indispensable. Nous sommes debout et nous voyons plus loin dans l’avenir que les autres pays, et nous voyons le danger pour nous tous ».
On peut avoir au moins la satisfaction de l’homme de la rue qui notera que ce monstre à pattes ait peut-être compris, avant de clam’ser, ce que Poutine et al. (pour personnifier le changement civilisationnel) pensaient de la nation indispensable, messianique, belliciste, mortifère et barbare qui définit le Bien mondial du jour (très variable selon ses intérêts économiques et financiers).
Cet être foncièrement mauvais était une anti-communiste si viscéralement primaire que c’est elle qui a poussé en 1999 le gouvernement Clinton à intervenir au Kosovo, devenu ce que l’on sait aujourd’hui : repère tenu par les maffieux du trafic d’armes, de drogues, de femmes et d’organes humains, sous la protection du parrain amerloque avec sa base militaire.
Selon le principe (si on peut appeler ça un principe) : il vaut toujours mieux soutenir la racaille islamiste ou néo-nazie, y compris en Europe, que de simplement supporter, tolérer des Serbes non seulement anti-fascistes mais « communistes », même potentiellement ; l’horreur intégrale, pire que tout.
Tout ça pour dire, en passant, qu’il n’y ait rien d’étonnant à ce que les gringos soutiennent le régime ukrainien présent (enfin, ce qu’il en reste) y compris jusqu’à la ruine de tout un pays et de ses habitants (comme ailleurs dans tant de pays depuis au moins la Seconde guerre mondiale), et, qui plus est, l’ait mis en place ouvertement en 2014.
En 2012 encore, lors d’une séance de dédicace de l’un de ses livres à Prague, à des gens de l’association Friends of Serbs in Kosovo qui la titillaient, la démone éructa : « Get out, disgusting Serbs ! » « Sortez, Serbes dégueulasses ! ».
Eh bien, ton tour est venu à toi aussi, hier même, et c’est toi qui viens de sortir. Albright dégueulasse. Et le Diable seul, Azraël (la créature de YHWH) en est contrit.
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