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La bombe atomique de Jean Lassalle

16 mars 2022

D’après E&R d’aujourd’hui

Mais quelques mots de moi avant :

L’équité entre les candidats : huit invités à l’émission de TF1 de lundi soir dernier au titre racoleur « La France face à la guerre », quatre exclus, lesdits « petits candidats » : Artaud, Dupont-Aignan, Lassalle, Poutou…

L’équité du temps de parole selon TF1 dans cette même émission : Macron : 25 m. Le Pen : 21 m. Mélenchon : 18 m. Pécresse : 16 m. Zemmour : 16 m. Hidalgo : 14 m. Jadot :13 m. Roussel : 12 m.

Quand je vois cette répartition, je me dis que tout semble déjà joué par les manipulateurs : ce sera sans trop de doute (du moins dans leur esprit) un second tour ou Le Pen ou Mélenchon sera présent. Voire les deux, si l’on exclut la triche, moins à la « démocrate » qu’à la française ou à la corse, n’est-ce pas Dardmalin ? Les bons vieux bourrages d’urnes par le « vote » d’abstentionnistes, et tripatouillages sur les blancs et nuls comme déjà en 2017 (où on a eu l’exemple de bureaux de vote lyonnais sans aucun blanc ni nul, ce qui est proprement impossible).

Sans parler des matraquages médiatiques (et des absences médiatiques, Asselineau par exemple en sait quelque chose) et des pseudo-sondages qui manipulent l’opinion chaque jour depuis des mois. Et comme à chaque fois.

Voici un propos tenu lors de la matinale de Sud Radio – appelée « très modestement » Grand Matin – du mardi 15 mars 2022, par Jean Lasalle qui commence à se réveiller. Et qui est très en colère d’avoir été pris, ce sont ses mots, pour « un candidat de merde ».


La bombe atomique de Jean Lasalle

Jean Lassalle : Mais aujourd’hui tout est sur la table ! À partir du moment où je vois la famille Bouygues, la grande famille Bouygues se comporter comme elle s’est comportée hier soir, moi je crois plus à rien ! Je ne crois plus en rien. Quelqu’un m’a dit, je l’aime bien parce qu’il me rappelle mon grand-père, eh bien mon grand-père quand il ne croyait pas, il ne faisait pas semblant de croire.

Patrick Roger : Allez, question d’Élisabeth Lévy qui est à distance en fait avec nous, qui n’est pas dans ce studio.

Élisabeth Lévy : Jean Lassalle, j’ai été intriguée par quelque chose que vous avez dit tout à l’heure à Patrick Roger, vous avez dit « Emmanuel Macron ne décide pas ». C’est-à-dire, quand Patrick vous a demandé s’il était intervenu auprès de TF1, vous avez dit « oh non non, lui il est même pas capable de décider ». Mais qu’est-ce que vous voulez dire par là ?

Jean Lassalle : Eh ben c’est Rothschild qui a décidé, c’est Rothschild qui a décidé de son élection, avec monsieur Arnault, avec monsieur Niel son gendre qui était en prison il y a 14 ans, pour des faits très graves, et qui ont choisi effectivement de le pousser, le porter au pouvoir.

Aussitôt, Patrick Roger, tétanisé (pour son poste), évoque des « accusations graves », que Jean Lassalle dit « assumer ».

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