ET SI LA CHINE ÉTAIT LE VRAI VAINQUEUR DE LA GUERRE EN UKRAINE ?
Alors que l’on voit de plus en plus que l’empereur gâteux Biden est totalement nu et inaudible, et ses mignons Trudeau, Macron et Zelensky malmenés, voici une courte réflexion, qui paraît être très judicieuse, d’un certain Zoltan Pozsars (ou semble-t-il plus exactement : Pozsar) « stratège [sic] du taux à court terme du Crédit Suisse » / « Credit Suisse short-term rate strategist Zoltan Pozsar » (Internet).
La chute des dominos s’enclenche. Grâce entre autres, aux sanctions imbéciles américano-unioeuropéennes. Et attendons-nous, nous les humbles, les simples citoyens, à en subir pour l’essentiel les conséquences : chute de la monnaie — autrement dit de l’euro, mais aussi du dollar — inflation galopante, difficultés économiques encore accrues puisque la France est à peine capable de subvenir à elle-même suite à des années de destruction de notre agriculture et notre industrie.
Remarque préalable : les Accords de Bretton Woods (1er au 22 juillet 1944) sont des accords économiques et plus exactement financiers entre alliés (Russie, Chine, etc. en simples observateurs) totalement dirigés par les anglo-saxons, où la monnaie de référence a été décrétée dollar, et où ont été créés la BIRD (Banque Internationale pour la Reconstruction et le Développement, qui est de nos jours la Banque Mondiale, ainsi que le FMI.
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Zoltan Pozsars écrit: “Nous assistons à la naissance de Bretton Woods III : un nouvel ordre (monétaire) mondial centré sur les monnaies basées sur les matières premières à l’Est, qui affaiblira probablement le système des eurodollars et contribuera également aux forces inflationnistes à l’Ouest. (…) Le système monétaire occidental basé sur des monnaies fiduciaires (et une réserve de dollars américains) est sur le point de se terminer dans une supernova inflationniste, et sera remplacé par un système monétaire métallique, un système utilisant des monnaies basées sur les matières premières comme méthode de paiement (cependant, pas tout à fait un étalon-or), et un système où la Chine et le yuan deviendront respectivement l’État souverain et la monnaie les plus importants du monde“.
In Guerre d’Ukraine – 13 mars 2022 – Jour 18 – Point de fin de journée par courrier-strateges du 13 mars 2022
[J’ai cru lire également que la Chine avait une énorme quantités d’obligations à rendement élevé, et que la Russie posséderait la plus grande réserve d’or du monde]
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Ajoutons-y cet extrait d’un article du 9 mars 2022 qui nous explique les grands principes (si l’on peut parler de principes dans la guerre économique permanente) des Bretton Woods :
Selon Pozsar, la banque centrale chinoise serait dans une position unique pour saper le système dominant du dollar et de l’euro à travers cette crise des matières premières. « Cette crise ne ressemble à rien de ce que nous avons vu depuis que le président Nixon a retiré le dollar américain de l’étalon-or en 1971 », écrit Poszar.
Pendant la première période de Bretton Woods (1944 à 1971), la monnaie était adossée à l’or. Dans la deuxième ère de Bretton Woods (1971 à aujourd’hui), le dollar est soutenu par de la « monnaie interne », c’est-à-dire des obligations [emprunts qui représentent plus de 50 % du marché total des actifs financiers, et les 2/3 du marché de la dette !] du gouvernement américain. Pozsar pense qu’une future troisième ère de Bretton Woods sera caractérisée par une « monnaie extérieure », ou une monnaie adossée à l’or et à d’autres matières premières.
« Lorsque cette crise sera terminée, le dollar américain sera beaucoup plus faible et le renminbi chinois beaucoup plus fort, car il est soutenu par de nombreuses matières premières », affirme M. Pozsar.
In article du 9 mars de Business A M
[Sourions en lisant la définition du renminbi donnée ici : » Renminbi (RMB en abrégé) est le nom officiel de la monnaie de la République populaire de Chine. Il existe également le « yuan » qui est le nom usuel de la monnaie chinoise (dans les médias), le nom renminbi (« monnaie du peuple ») n’étant utilisé que dans des circonstances officielles. On parle également de « yuan renminbi ».
Si aujourd’hui, 80% des flux internationaux de la Chine sont libellés en dollars, depuis cette année les entreprises exportatrices chinoises peuvent facturer en renminbis (source Le Moci). Malgré son importance croissante sur la scène internationale, la monnaie chinoise n’est pas près de rivaliser avec le dollar, en tout cas à brève échéance. Par contre sur le long terme, on peut raisonnablement penser que cette monnaie vienne faire de l’ombre à la devise phare des échanges internationaux. » (glossaire-international.com)]
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Donc on peut s’attendre à une Bérézina du camp euro-américain mondialiste dans un tout autre domaine que militaire, surtout si les crétins persistent. Ce qui finalement serait la meilleure manière de nous faire repartir politiquement, socialement, culturellement, éthiquement, esthétiquement… sur des bases neuves et saines. De briser la destruction de la civilisation, du moins chez nous en Occident et en France en particulier.
Il est nécessaire que l’Occident subisse un choc qui se répercute sur la vie quotidienne de tous les citoyens, autant les friqués que les démunis, puisque celui du covidisme et de l’apartheid n’a pas encore suffit. Ne les a pas assez atteint non plus dans leur petit confort mais dans leur survie même. Et pour certains dans leur corps pourtant. Et je vois beaucoup plus d’espoir en ce domaine parmi les Gilets Jaunes, les non -« vaccinés », personnels soignants et autres exclus, et anti-passe que de l’autre côté, celui des atomisés et chloroformés par la propagande finalement transhumaniste. Plus d’espoir dans le camp plus solidaire de la Liberté et de la Vérité.
À propos de Bérézina, la bataille, qui fut une victoire militaire mais à un coup tellement élevé (pertes importantes, énormément de soldats prisonniers, suivis de la faim, du très grand froid, et des épidémies) qu’elle a été considérée comme une défaite, une victoire à la Pyrrhus, elle s’est tenue sur ce qui est aujourd’hui le territoire de la Biélorussie, un peu au Nord-Est de sa capitale Minsk, lors du passage de la Bérézina, à quinze kilomètres en amont de la ville de Barysaw (Borissov en russe), près du village de Stoudienka.
lequichotte 
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