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PECORIS MEDIOCRITAS * petit ajout à l’article d’hier

2 décembre 2021

Après les Bonnets Rouges et Gilets Jaunes de la contestation « populacière, fachote et beauve (féminin de beauf) » diront les « illuminés », voici le temps des derniers Masques Bleus tenaces et péripatéticiens des « vaxinés » indécrottables (précédés, un court instant, à l’époque de l’anté-covidisme, des finalement discrets et anecdotiques Foulards Rouges de La Régression En Marche).

Le temps mimétique des plus abrutis des hyper- conformistes qui adhèrent à la doxa des z-élites terrori-prosélytiques dominantes.

Au final, la masse des égotiques encoconnés consommateurs de néant qui oublient que vivre c’est nécessairement mourir un jour ou l’autre (mais de préférence pour une noble cause quand c’est possible, pas comme ici en expérimentateur soumis, pour un produit non seulement délétère, pour ne pas dire en partie génocidaire, mais plus encore quasi inutile puisque des traitements efficaces existent).

C’est le noyau dur de cette masse largement muette, ou médusée, ou parfois bêlant ou beuglant (pour les plus atteints) des « complotistes! », des « tarés! », des … « égoïstes! » (le summum de « l’inversion accusatoire » comme on dit), cachés religieusement derrière leur voile covidiste convenu de la nouvelle religion dominante.

C’est cette masse de débiles, demeurés, crétins, imbéciles, abrutis (par les media télévisuels en particulier, et par plusieurs décennies d’école dévaluée, propagandiste et ennemi du sens critique et du débat) qui « s’exprime ».

Ce sont les Masques Bleus ou, pour les plus « distingués » (distinguables publiquement et plus précisément dans la rue, dehors), les masques illustrés, « artistes », d’autres couleurs ou d’autres matières, plus « nobles », du covidisme « courant historique » dans son décrépissage volontaire et affirmé du logos, de l’éthique et de l’esthétique humains.

La mise en spectacle spectaculaire — si l’on peut user de ce pléonasme — de la misère mentale, intellectuelle et morale des z-élites, répercutée sur la masse des suiveurs, alors qu’eux-mêmes (je veux dire : les z-élites) se moquent bien de prévention, de gestes barrières et de tout le tintouin. Et même, pour plus d’un, de la piquouse.

Et au final, on voit et subit l’exposition en grand des non-visages de pauvres petits bons-hommes et pauvres petites bonnes-femmes en recherche insatiable de con-sidération — de sidération hallucinée et hypnotique collective, affirmée, affichée, patentée, étiquetée (mais deséthiquetée), irraisonnée et irraisonnable ; et avant tout conforme aux normes imposées du mondialisme.

Vision interchangeable, monotone et terne, méprisable, grotesque, microbienne (de la taille du micron, mais tout autant du minus habens macron) et totalement vide de sens, comme du temps où des êtres humains désemparés alliés aux tenants du pouvoir, de la force, de la violence et de la barbarie intrinsèque, chassaient les sorcières. Bourreaux d’en-bas.

En cette présente dystopie réalisée, ce mauvais rêve, fonctionnent à plein régime l’irrationnel, l’insensé, l’émotionnel sans recul aucun, l’immédiat, ou encore le tribal qui sont généralement l’apanage des incultes et des gens manquant d’instruction, à l’esprit démuni, aux réflexes conditionnés, primaires, simplistes en guise de réflexions.

Le plus inquiétant pour l’avenir de l’Humanité est de retrouver aussi, parmi ces pauvres gens, ces lampistes formatés et finalement dangereux, tout un tas de personnes « ayant fait des études » et « bardées de diplômes » ! Et pas qu’un peu ; que l’on pourrait réunir sous le vocable pratique de « bobos ». Plus bourgeois ou petits-bourgeois (de la pire espèce) que bohèmes !

Ô Bohème, où es-tu rendue ?

* La médiocrité du troupeau, ou du bétail, à moins que ce ne soit le juste milieu des pécores.

From → divers

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