Aller au contenu principal

UN QUARTERON D’HUMANISTES

9 août 2021

Un sujet de réflexion.

On dit généralement (au moins depuis deux siècles maintenant) que le christianisme — et le catholicisme en particulier — est une idéologie religieuse morte ou fort moribonde. Le représentant le plus affirmé de la mort du dieu des cathos étant bien évidemment le pantin du Vatican, le jésuite mondialiste et crétin qui veut que ses ouailles soient « vaccinées ». Un Pape qui semble craindre la Mort, quelle décadence, ici aussi ! Croit-il encore en son idole ?

Pape qui a eu le culot de se surnommer François à l’image de Saint François d’Assise, le personnage de bonté qui conversait avec les fleurs et les animaux ; dont j’ai pu autrefois admirer des représentations sur des fresques anciennes, qui ont parfois bien souffert de l’usure des siècles, sur les murs de bâtiments religieux de la cité d’Assise.

Le Pape de la finance, de l’obscurantisme scientiste et du totalitarisme déguisé en représentant terrestre « éclairé » d’un Dieu d’Amour. Quelle foutaise !

Je viens de rappeler que cet individu est un membre des Jésuites, congrégation qui fut longtemps interdite par ces prédécesseurs papes ou par les autorités séculaires en France, par exemple vers les XVIIe et XVIIIe siècles.

La raison en est que cette sorte de franc-maçonnerie interne à l’Église, faite d’esprits tordus, « foutait la merde » partout où elle passait. La spécificité du jésuitisme étant marquée par l’enseignement clairement énoncé d’une pensée ambivalente, perverse, chafouine, manipulatrice, mensongère, sans empathie, ayant une forte propension à adorer le mal, délatrice en toute occasion, psychopathique pour ne pas dire sociopathique, absolument pas humaniste, dont le « en même temps » de Macron en est une expression remarquable. Macron, redisons-le encore une fois est un individu qui a grandi adolescent sous la coupe des Jésuites en un établissement où il fut kidnappé par sa pédophile.

Le terme même de « jésuite » est une aberration sémantique puisqu’il est l’inverse de ce que les écrits antiques ont retenu de la pensée et de la vie de Jésus. Foutant leur nez partout pour en tirer profit, voulant régenter les us et coutumes d’autres civilisations, ils en ont payé parfois le prix fort (comme Macron va peut-être payer lui aussi son jésuitisme d’un prix fort). On se rappelle de toute une bande de Jésuites qui fut crucifiée, rien de moins, au Japon en quelque siècle passé. Certes en cela, ils méritèrent leur appellation contrôlée.

Pour redire quelques mots encore sur le Pape : on raconte dans les milieux bien informés (comme on disait autrefois, quand il y avait encore une activité journaliste conséquente) qu’il ne fut guère brillant et plutôt ambigu du temps de la dictature argentine, à la différence de certains religieux de son pays. Au mieux peut-on le situer dans la masse des « ni pour, ni contre » qui attendaient de voir le sens du vent à venir. Comme la masse des humains aux temps difficiles. Comme actuellement encore en France.

Mais en fait, ce qui m’importait le plus de préciser ici est que parmi les figures sympathiques et éclairées de la Résistance – pour ne pas dire de l’offensive révolutionnaire pour en finir avec l’obscurantisme scientiste, criminel et totalitaire du gouvernement et de maints domaines de l’État, et plus généralement avec la politicaillerie corrompue par le copinage mafieux, occulte, mondialiste, transhumaniste – il en est au moins quatre qui se distinguent par un même esprit, un même fond de pensée et des comportements similaires qui tiennent à leur appartenance au catholicisme. Mais des antithèses du Pape et du papisme des z-autorités ecclésiales.

Ils sont faciles à reconnaître par rapport à leurs prises de position mais aussi par rapport à la manière dont ils s’expriment. Certes, je sais depuis bien longtemps, mais je ne l’ai pas toujours su (c’était du temps où je me limitais aux apparences des choses, des êtres et de leurs discours, souvent fort trompeurs) que les étiquettes ne sont rien, que l’on peut trouver des gens biens (qui nous conviennent) en tous milieux, même les plus inattendus par nous.

Mais je crois que dans leur manière d’être, de s’exprimer et dans le contenu de leurs propos, et sens de leurs actions, on retrouve une sincérité foncièrement humaniste. Et parfaitement éclairée sur les tenants et aboutissants de la corona-folie. Je cite donc le nom de ces quatre personnes (actuellement, il y en a probablement d’autres de même bon acabit) qui diront nécessairement quelque chose à plus d’un :

– Richard Boutry, dit Ricardo, journaliste indépendant ;

– Fabrice Di Vizio avocat du droit de la santé publique ;

– Jean-Bernard Fourtillan, pharmacien en retraite et ancien professeur d’Université ;

– Alexandra Henrion-Caude, généticienne.

Qu’est-ce à dire ?

Que le transhumanisme mondialisme est foncièrement un anti-humanisme. Pour le moins.

From → divers

Commentaires fermés