Pfizer a tout fait pour protéger les détails de ses accords internationaux sur le vaccin COVID-19.
Résumé (complété) d’un article paru le 28 courant sur le site de France Soir dont voici le lien :
https://www.francesoir.fr/societe-sante/pfizerleak-les-contrats-surprenants-vaccins-pfizer#.YQFJJ521jmI.twitter
Le secret des accords est toujours l’arme des esprits tordus et maffieux tant commerciaux que politiques quand bien même cela met en jeu la vie même de populations entières.
Les contrats de vente des poisons mondialistes n’échappent pas à la règle. Bien évidemment. Ces accords sont supposés être et demeurer confidentiels.
Ce dont il est question à suivre est du domaine des contrats passés entre des États et Pfizer. Et les deux parties ont de très bonnes raisons (ou plus exactement mauvaises raisons) d’en taire au maximum le contenu. Les laboratoires sont du domaine de l’oligarchie dominante et les États n’ont de démocraties que le nom.
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Si je comprends bien, ce qui suit est connu grâce à des fuites de brouillons de contrats passés entre Pfizer et divers États du monde. Et finalement grâce à une copie de contrat que l’Albanie a rendu public en janvier 2021.
1 – « Cet accord est au-dessus de toute loi locale de l’État ». Locale : nationale, régionale… C’est d’ailleurs le droit étatusuniens qui prime en tout.
2 – Le coût de développement des contrats est très élevé et prend beaucoup de temps (cycles de relectures juridiques). Pfizer, comme toutes les entreprises, développe un modèle d’accord standardisé et utilise ces accords avec des ajustements relativement mineurs dans différents pays. Or, c’est l’acheteur qui prend en charge ces frais comme tous les autres frais annexes (voir plus bas au point 7).
3 – Le contrat ne saurait être annulé quoi qu’il arrive au niveau du traitement médical. L’accord couvre non seulement la fabrication des vaccins contre le Sars-COV-2 mais aussi ses mutations, et qui plus est même dans le cas où « dispositif, technologie ou produit utilisé pour l’administration ou pour améliorer l’utilisation ou l’effet d’un tel vaccin » serait mis en place.
En clair : le contrat de vente ne saurait être rompu, annulé si on a recours à des médicaments tels que l’ivermectine, l’hydroxychloroquine, etc.
Imaginez les millions de doses payées et vouées à la destruction si un traitement efficace et peu cher comme il existe déjà devait se généraliser ?
Et comprenez bien cette volonté folle de vouloir piquer tout le monde, puisque les doses ont été payées et ne sauraient être reprises.
Comprenez enfin que ceci a été mis en place dès le début (du moins le début officiel et public, or tout semble avoir été programmé bien avant, avant même l’émergence de la covid en fin d’année 2019) puisque Buzyn a interdit l’hydroxychloroquine dès janvier 2020 !
Il faut savoir que l’hydroxychloroquine (vieux médicament soignant des centaines de millions d’humains de par le monde, curativement ou préventivement pour la malaria) a été reconnu comme efficace en début de contamination lors de l’épidémie asiatique de SRAS-Cov-1 de 2002-2004 !
À contrario, il faut savoir que la thérapie génique a été un échec lors de l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest. Or, c’est ce genre de « thérapie » ou similaire à ARN messager que l’on nous ressort avec le SRAS-Cov-2.
Détruire le système immunitaire naturel au profit d’un produit qui devra être réinjecté régulièrement pour subvenir à la déficience immunitaire qui la détruira d’autant plus et ainsi de suite. Une sorte de nouveau SIDA (dont on ne connaît pas trop l’origine d’ailleurs, non plus). Tout ça pour une espèce de grippe pour lesquels 99% de la population mondiale ne risque absolument rien ; au contraire fabriquer naturellement des anticorps que les piqués ne pourront plus produire suffisamment pour lutter contre une mutation du virus (cf. les « fameux » variants) ou un simple rhume… C’est dément et toutes les études et statistiques en Israël et au Royaume Uni le montrent et le démontrent. Sans compter les innombrables effets secondaires et milliers de morts à travers le monde à cause de ces produits. Et on en est qu’au début !
Il faut maintenant être le roi dèc – avec ce que l’on sait mais qui n’est que la partie émergée de l’iceberg covidiste – pour se faire injecter ça surtout parmi les jeunes. 32% de surmortalité chez les 20/29 ans en Israël c’est du délire. Et les plus fous de chez les fous disent qu’il faut encore y aller, ajouter aux premières doses de nouvelles ! Et les premiers à choper les variants sont les « vaccinés ». Ce qui est la preuve manifeste que ceux-ci ont subi un affaiblissement de leur système immunitaire.

4 – Approvisionnement en « vaccins » au bon vouloir de l’entreprise : « Pfizer n’assumera aucune responsabilité en cas de non-livraison des doses conformément aux dates de livraisons estimées. Et un tel manquement ne donnera à l’acheteur aucun droit d’annuler les commandes pour toute quantité de produit ». Encore mieux : « Pfizer décidera des ajustements nécessaires du nombre de doses contractuelles et du calendrier de livraison dus à l’acheteur (…) sur la base de principes à déterminer par Pfizer (…) l’acheteur sera dans l’obligation d’accepter toute révision ». On se rappelle de ces conditionnements de Pfizer ou un autre (ils fonctionnent tous de la même manière) qui devaient permettre de dégager finalement non pas cinq doses mais six doses « vaccinales ». C’est exactement ce que veut dire : « Pfizer décidera des ajustements… »
5 – Aucun recours possible contre les produits défectueux ou manquants. « L’acheteur renonce à tous les droits et recours qu’il peut avoir en vertu de la loi ». Le seul recours possible serait celui contre un défaut de fabrication : «Pour plus de clarté, l’acheteur n’aura pas le droit de rejeter un produit sur la base de réclamations de service à moins qu’un produit ne soit matériellement conforme aux spécifications ou aux standards de fabrication». Mais comme les normes de fabrication ne sont connues que de l’industriel et que d’ailleurs le processus de fabrication n’est pas stabilisé et évolue avec le temps, il est impossible de démontrer que les vaccins ne seraient pas conformes.
6 – Le fabricant ne serait être tenu à résultat ! « L’acheteur reconnaît que les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont actuellement pas connus et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont actuellement pas connus ».
Efficacité, effet à long terme, effets indésirables (effets secondaires graves ou mortels) : on s’en tape. L’acheteur n’a rien comme garantie dans le domaine de ladite « violation substantielle » du contrat.
Il est donc aisé de comprendre pourquoi — au mépris de la Science et de la Santé publique — il n’y a pas de pharmacovigilance. Mener d’importantes études sur les effets secondaires des vaccins reviendrait, pour les États, à se tirer une balle dans le pied, puisqu’ils devraient en payer toutes les conséquences.
L’État fera donc tout pour minimiser, cacher, nier tout effet secondaire afin d’éviter les poursuites et devoir payer pour Pfizer. Les États se sont clairement mis au service du laboratoire au détriment de la santé de leurs populations.
À l’inverse les États (le nôtre en particulier) feront tout pour créer et entretenir encore une psychose tout en manipulant les chiffres et confondant tout sciemment. Chassant le cas comme si choper le virus présentait en soi quelque gravité ; comme si ce virus était le virus de la peste.
7 – Le fabricant a une immunité totale. Bien évidemment pas une immunité sanitaire mais une immunité en terme de droit. Et seul Pfizer peut décider du niveau de protection juridique qu’il juge suffisant.
- « L’acheteur accepte par la présente d’indemniser, de défendre et d’assumer toutes responsabilités incombant à Pfizer et ses filiales […] suite à des poursuites, réclamations, actions en justices, pertes, dommages, responsabilité, pénalités, amendes, coûts et dépenses… »
- » Pfizer informera l’acheteur des pertes pour lesquelles il demande une indemnisation. Dès cette notification, l’acheteur assumera rapidement la conduite et la défense de ces réclamations indemnisables au nom de « Pfizer ». Cependant, Pfizer aura le droit d’assurer sa défense et l’acheteur devra payer toutes pertes, y compris et sans limitation, les honoraires d’avocat et d’autres dépenses encourues. »
- « Les frais et dépenses, y compris les honoraires et décaissements des avocats, encourus lors d’une plainte pouvant donner droit à indemnisation, seront remboursés sur une base trimestrielle par l’acheteur. »
8 – Le contrat doit rester confidentiel pendant dix ans. Et chaque contractant « ne divulguera les informations confidentielles qu’à ceux de ses représentants qui ont besoin de connaître ces informations confidentielles pour remplir ses obligations en vertu du présent accord ». Ce qui laisse en théorie du temps pour voir venir les effets secondaires et pour s’en prémunir sans dommage pour eux.
À l’heure où les données de santé de l’individu s’apprêtent à être de plus en plus divulguées et étudiées, la confidentialité du côté des laboratoires ne perd pas de sa valeur… marchande.
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En conclusion : C’est le monde à l’envers (expression que je ne cesse de répéter depuis des années). L’État acheteur doit défendre Pfizer et subir les conséquences d’un mauvais produit. L’État n’a rien à dire et doit supporter les procès à venir. Ne peut pas revenir sur sa commande même si le « vaccin » est moins bon qu’un autre traitement, Pfizer s’assure que le pays en question paiera (financièrement ou pénalement) pour tout. Ça marche dans un sens mais pas dans l’autre…
Ne sommes-nous pas rendu au niveau du charlatanisme tant politique que pharmaceutique ? Pas de garantie de résultats, rien à supporter pour le producteur. Ni pour le politicard ? J’espère que non.
Les montants en jeu sont tels et les risques pour les États tellement démesurés qu’accepter de tels contrats relève de la bêtise et/ou de la collusion intéressée et corrompue, et/ou de la folie malveillante et malfaisante pure et simple.
Je me répète : tous les problèmes juridiques et autres sont à la charge exclusive des États ; donc intérêt à cacher les effets secondaires des « vaccins », à tout axer sur les « cas » pour pousser à la vaccination (les stocks sont à durée d’usage limité) ; et volonté délibérée de ne pas soigner autrement, car il y a une clause qui dit que la vente de vaccins ne peut être annulée même s’il existe des médicaments (des vrais) pour ça, même s’ils sont plus efficaces.
Autrement dit pourquoi — pour qui ou pour quoi, pour quelles (vraies) raisons — les États ou plus exactement les gouvernements acceptent-ils de signer de tels contrats ? Alors même qu’il existe des traitements et que la maladie est une maladie pas plus létale qu’une grippe saisonnière ? Difficile d’accréditer la thèse de l’urgence sanitaire (et de l’état d’urgence sanitaire) et du caractère exceptionnel de ce qui est arrivé.
Pseudo urgence et pseudo caractère exceptionnel, qui en a décidé concrètement en France ? Certainement pas le peuple, mais un quarteron de corrompus et autres mafieux.
Ont-ils eu vraiment peur d’un virus manipulé très dangereux lâché dans la nature (volontairement ou involontairement) ? Ou n’auraient-ils pas plutôt participé objectivement à une manipulation médiatique de l’opinion afin de lancer, d’enclencher une expérimentation pharmaceutique en attente, voire sciemment provoquée par la fuite volontaire du virus ? Le retrait des traitements dès le départ penche pour la seconde idée.
Ce qui se joue actuellement c’est : comment pour l’État écouler des livraisons continues de poison covidiste ? Paraîtrait que le niveau total de la commande permettrait de piquer chaque Français au moins quatre fois.
Qui ne voit pas l’arnaque ! Et la folie furieuse gouvernementale totalitaire et … criminelle (pour ne pas dire meurtrière) depuis plus d’un an et demi ?!
Sources :
https://threadreaderapp.com/thread/1420017526977749004.html
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