QUAND LE TRON PREND SON PIED
L’ancien secrétaire d’Etat et maire UMP de Draveil, Georges Tron, aurait profité de séances de massage de pieds [sic] qu’il proposait à ses collaboratrices pour leur imposer des attouchements et des pénétrations digitales [resic]. Les faits auraient régulièrement eu lieu lors de scènes de « triolisme » avec son adjointe Brigitte Gruel. (les gazettes)
Finalement accusé de viol en réunion et d’agression sexuelle dès 2011, par deux anciennes collaboratrices, il vient de prendre – après une affaire précédemment close en 2013 – cinq ans de prison en appel dont trois fermes.
« Des pénétrations digitales, » ce sont étonnés certains ! Aurait-il mis sa clé usb dans la fente d’un ordinateur qui ne lui appartenait pas ?
L’une des deux plaintes n’a cependant pas été retenue « faute de preuves d’absence de consentement. »
Donc apparemment il serait licite de forniquer dans les locaux d’une mairie tant qu’il y a « consentement ».
Voilà le Tron au trou – non, non, pas le même, un autre – après avoir confondu un pied – tout en prenant le sien – avec ce qui ne se faisait pas.
Mais de la taule, fera-t-il pour de vrai ou pour du beurre ?
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