LES VERTUS DE L’ÉLECTRONIQUE, OU LE PARADOXE DE GRIVOIS
Le Paradoxe de Grivois s’énonce en une seule phrase :
IL FAUT ÊTRE BIEN C.N POUR SE MÉDIATISER LA B.TE
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Tiens ! en passant : quelques propos tenus par le génie concernant les élections municipales de Paris :
« C’est pas la cantonale de Vesoul ! Vous croyez quoi, qu’on tricote ? »
« Qui tient Bournazel [élu parisien, membre d’Agir, la droite constructive, sic] par les c… depuis le début, si ce n’est moi ?
« Il y a un abruti chaque jour qui dit qu’il veut être maire de Paris. »
Ou d’« un proche » de Grivois (cf. les gazettes) à propos du « candidat rebelle » du macronisme, Villani, l’excentrique bobo et professeur Tournesol de la politique :
« Le problème c’est que seul un psychologue peut le gérer. Il se prend pour une star, mais il faut arrêter ! Les filles ne se mettent pas non plus nues devant lui en espérant une caresse. »
On jugera de la hauteur des bas – pardon, des débats !
Second paradoxe : Tout en étant un mediacon desdits réseaux sociaux, Grivois n’en sera pourtant jamais un pour Paris, du moins tel qu’on l’entendait autrefois : un remède, une potion magique. Un homme de média-scion, peut-être, sans doute, mais pas plus.
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