Faut-il brûler Chéri de Colette (où Léa de Lonval, qui a près de cinquante ans, est la maîtresse de Fred Peloux, le fameux « Chéri »)?…
Faut-il brûler La petite Française d’Eric Neuhoff (histoire d’amour entre un journaliste et sa jeune voisine)?
Faut-il brûler Colette Stern de Georges Conchon (personnages, Francis Hémon, trente-sept ans, et Colette Stern, soixante-trois)?
Faut-il brûler L’amant de la Chine du Nord de Marguerite Duras?
Faut-il brûler Aimez-vous Brahms? de Françoise Sagan (Paule a trente-neuf ans, Simon est tout jeune).
Faut-il brûler Mineure de Yann Queffélec? (Michel, 55 ans, et Sibylle, la quinzaine).
Faut-il brûler Une année studieuse d’Anne Wiazemsky?
Faut-il brûler Lolita de Nabokov?
Faut-il brûler Harold et Maude?
Faut-il brûler Une liaison dangereuse de Roland Jaccard (Roland 73 ans, Marie 23 ans) ?
Faut-il brûler Le diable au corps de Radiguet? (Les amours de Marthe Grangier et de François Jaubert, 17 ans).
Faut-il brûler ma grand-mère Marie de Vivier qui fut la dernière maîtresse du grand écrivain belge André Baillon, avec lequel elle avait une différence d’âge de vingt-quatre ans?
Cette séance de photographies a donné lieu à diverses images (voyez la couverture des « Contes érotiques » de David Hamilton).
Les contes érotiques : cahier photographique 1970-1990. Coffret en 2 volumes de David Hamilton. EDITIONS HERME.
Faut-il brûler les Contes érotiques par lesquels David Hamilton démontra qu’il était aussi, ou qu’il aurait pu être, un écrivain?
Faut-il brûler, tant qu’on y est, mes propres romans et tous les livres où j’ai crié « mercis », à la façon de François Villon, aux filles?
Couverture du livre « Je crie à toutes filles mercis ».
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