CENSURE, NETTOYAGE ETHNIQUE ET GRAND GUIGNOL
Communiqué du CSA, bureau de la Censure Sioniste Arabophobe.
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Émission « Des paroles et des actes » du 21 janvier 2016 : intervention auprès de France Télévisions
Date de publication : mercredi 13 avril 2016
Assemblée plénière [sic! aux innocents les mains… plénières] du 17 février 2016
Le CSA [bureau de la censure d’État] a été alerté [Au feu !] par un très grand nombre [combien?] de téléspectateurs [semble-t-il le CRIF et autres sionistes et racistes anti-arabes] au sujet d’une intervention [inadmissible, une honte en soi] dans l’émission Des paroles et des actes [sic], diffusée sur France 2 [télévision d’État] le 21 janvier 2016, au cours de laquelle une personne [une bougnoule, c’est dire ! comment a-t-elle pu s’infiltrer là ? imaginez si ça avait été une terroriste] a interpellé [osé parler à la télévision française, alors qu’on ne lui demandait rien comme d’habitude, et plus encore dire ce qu’elle pensait à] l’un des invités [un être élu et respectable, un puits de science infuse, doit-on le rappeler]. Les plaignants [des noms !] regrettaient que le parcours militant [la fiche de police, les fantasmes de certains, la mauvaise et regrettable étiquette, le sale pedigree] de l’intervenante [la sous-femme] n’ait pas été porté [tel un animal sacrifié ou une hostie] à la [jusqu’au saint lieu et la sainte table de la sainte] connaissance du [bon] public [ignare et docile] lors de cette séquence [« désamorphisant » et « déformolisant » le microbe téléspectateur de base].
Après examen [mise en examen, puis grattage de tête pour savoir comment on allait acquiescer aux demandes de la secte qui n’existe pas, tout en étant malgré tout très influente, sans trop le montrer], le Conseil a regretté que [mis au rang du dernier des hommes] le journaliste [l’antisémite récidiviste Pujadas qui a déjà osé diffuser un reportage consacré à l’ignoble mouvement « Boycott Désinvestissement Sanction » le 10 février 2016 dans le journal télévisé de France 2, entraînant le juste et justifié courroux du président de la kommandantur sioniste du Crif, suivi du juste châtiment de l’impie puisqu’on lui a supprimé l’émission ci présentement évoquée et dont nous rappelons le titre : Des paroles (à censurer) et des Actes (inconsidérés à prohiber)] qui menait le débat n’ait pas fait état des éléments permettant de considérer que l’intervenante [permettant de dire crûment que le chancre de cette communauté que l’on est obligé de se farcir – on ne peut pas les tuer, on n’est pas en Palestine!] avait un engagement militant [quelle était beurette antisioniste et elle réellement anti-raciste et anti-colonialiste] sur le sujet abordé [dont nous ne dirons pas ce qu’il était tellement on est des pleutres et tellement c’est grotesque] lors du débat [le consensus], alors qu’une telle information [un tel avertissement du genre : vivement déconseillé aux esprits conformistes], dans le cadre d’une émission [de propagande] politique abordant des sujets controversés [mais apparemment pas controversables], aurait été utile [au maintien d’un bon état d’esprit national et] pour la bonne compréhension des [bons] enjeux par le [bon] téléspectateur [à éduquer, à « pédagogiser » ; comme il aurait été bon de rappeler l’engagement politique (et accessoirement pédérastique) des deux seuls « débattants« et prétendus opposants (mais bien d’accord sur le fond en ce qui concerne la domination de la classe bourgeoise et du capitalisme mondialiste), en rappelant également que tous deux sont des naturalisés français et qu’ils appartiennent tous deux à la même communauté ultra-minoritaire mais néanmoins très médiatiquement publicitée et bavarde, ce qui fait un peu court quand le débat porte sur rien de moins que : l’identité française].
En conséquence, le CSA [Casse-toi Sale Arabe] a demandé aux [ir]responsables de France Télévisions [1] de veiller à [2] respecter, [3] à l’avenir, [4] leurs obligations en matière [5] de rigueur [autrement dit : de censure et de respect dû aux êtres d’élite] dans la présentation [le cours bien formaté de bonne instruction civile] et le [bon] traitement de l’information [la propagande], prévues à l’article 35 de son cahier des charges. [décharge… publique ; Amen !]