EUX, ILS…

Ils détruisent la Poésie et le panache, la notion du Tragique, la Différence qui est à la base même de la vie des plantes, des animaux, des hommes, des cultures, des langues, des arts.  De la luxuriance des peuples. Les diversités essentielles et existentielles.

Ils développent les techniques mortifères, bellicistes, le « progrès » des tarés, des fous, des sous-hommes. Ils nous abreuvent de faux savoirs, de mythes et d’illusions qui n’ont pas noms : « contes, légendes, croyances », mais « réalité tangible, dogme, doctrine, lumière ». Tout là-haut, tout là-bas plutôt, tout en bas, les Élus auto-élus sont bien bas !    

Matérialisme intégral, capitalisme intégral : tout se vaut, tout est interchangeable, tout se vend et tout s’achète et plus encore tout se gaspille ; métissage généralisé et obligatoire ; faire consciemment et pas à pas des êtres humains clonés, amorphes, dociles, abrutis (c’est déjà bien en cours) ; en faire des choses, des animalcules réifiés (relisons  les écrits des talmudiques défroqués lucides sur ce sujet : Marx, Lukacs, Gabel…), des marchandises, normées, étiquetées, garanties conformes, des ersatz de marchandise, du toc et du clinquant sans valeur, de la pacotille pour esclaves, de la petite monnaie ; cultiver et adorer le seul dieu : le Veau d’Or universel en sa prêtrise mondialiste.

Triomphe d’une Science ou dite science délirante et de techniques, d’une technologie largement dévoyée ou régressive : destructions des espèces végétales et animales, manipulations des semences ; contrôle de tout ce qui est agricole, donc vital, mainmise industrielle sur tout. Destruction à loisir de la Nature, de l’écorce vive de la Terre.

Et triomphe totalitaire de la perversité bourgeoise. À quand l’insémination humaine pour tous ? La sélection du cheptel humain ? La conservation de seulement quelques mâles étalons ? Les croisements judicieux de quelques « races » ? Race à usine, race à bureau, race à dominer… cette dernière, c’est déjà en marche depuis des millénaires.

Dictature de la caste des médiatiques : financiers, politicards, journaleux, gens du spectacle… et autres maffieux, face à la masse humaine de plus en plus amusée de gadgets largement inutiles, mais au fond dépossédée de tout et surtout dépossédée de l’essentiel pour la vie en société : le pouvoir de décision. Médiatisée en tout, manipulée, atomisée, endoctrinée de l’école à la télévision, en passant par tous les arts dégénérés, tous les media soumis et propagandistes : presse, audio-visuel, cinéma, musique, chanson…

La culture au sens le plus large (école inclue) n’est plus qu’asservissement, abaissement généralisé, roupie de sansonnet « ludique » et abêtissante pour demeurés ; elle n’est plus imposée que par des fonctionnaires (dont une bonne part sont « internationalistes » sans nation, c’est-à-dire en fait mondialistes, mais pas « pour leurs pommes »), des subventionnés minables ou des nervis médiocres de la finance internationale.

Les Élus, en jouant, en se jouant de l’antimilitarisme populaire, ont même eu la malignité de supprimer l’armée de conscription (on ne sait jamais, la populace pourrait se retourner contre eux, les bons, les seuls humains, les uniques !).

Hédonisme à la petite semaine, pensées viles et à l’avenant de tout ce qui précède (je ne développe pas sur le sujet, on en parle tant) ; retour à une situation la plus « primitive » (dans le mauvais sens du terme, car les derniers vrais dits « primitifs » sont tout sauf des primitifs) ; retour à la Pensée pré-humaine avec le refus de l’affrontement grandiose à la Nature, du sens du Sacré et de la survie, de la Beauté, du désir dans le manque, de l’Effort et de la Lutte, du Bien Commun, du Bon durement gagné, des vrais Combats humanistes, de la Saine Révolte, des vraies rébellions et du courage, des sens communautaires qui unissent et non qui divisent, qui affinent l’Homme ; et finalement de la Vie en Société.

Le refus du partage, de l’espoir, de l’émotion vraie, de la sensation mise en commun, des hauts sentiments, des vertus librement assumées, de l’éthique et de l’esthétique, des traditions renouvelées.

La mort totale de la Poésie, la mort de la Vie comme tragédie ou tragi-comédie humaine volontaire et non subie ou soumise, la mort des Arts véritables.

La Talmudo – maçonnisation destructrice du Monde.

À ces Élus, les Droits de l’Homme. À la plébaille, à la valetaille, tous les Devoirs de l’Homme, et les génuflexions, et les repentances sans fin ni cesse (Pour les méfaits du peuple ? Non, pour ceux des maîtres d’hier !) Et les remerciements obligatoires et éternels en prime, accordés au « progrès » inversé  !!!

Le déclin, la décadence d’une civilisation. L’Empire en pire.