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FRANÇOIS GÉLATINE, PRÉSIDENT NORMAL

16 décembre 2013

Contrairement à ce qu’on dit, la calotte a encore de beaux jours, mais pas n’importe quelle calotte. Je n’évoque évidemment pas celle des calotins, du moins de ce qu’il en reste, et du « petit rond rouge » comme disait Colucci, celui-ci (le rond qui autrefois recouvrait la tonsure) doit se faire discret en contrée laïque, pour ne pas dire laïcarde et franc-maçonne.

Non, il s’agit de celle que porte le président métis irlando-kényan de la première génération et de religion protestante de l’Empire :

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Celle de l’immigré de la noblesse judéo-magyare de la deuxième génération Nicolas Charkeuzy de Nagy-Botcha (juif, demi-juif ou marrane, personne ne le sais trop) quand il fut président de la « France éternelle » :

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Celle du quidam provocateur (quidam pour nous, mais sans doute pas là-bas) qui converse en public avec Gélatine lors de sa visite algérienne de repentance intéressée de décembre 2012, tout près du premier ministre algérien A. Sellal, pendant que d’autres personnes semblent ronger leur frein :

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Celle du petit caudillo castillan, néo-français d’opérette, fanfaron catho franc-maçon hystérique descendant de franquistes, clown du système socialo-libéral, partisan de la censure et de la répression pour mieux défendre la liberté d’expression, ce clone pitoyable de Maître Kärcher cachère. Il se retrouve donc là en bonne compagnie, celle d’un pur des purs, comme le sont le hareng, le merlan et plus encore la morue et le maquereau. Dans le même temps ses « amis » socialos espagnols réclament l’abrogation des accords entre l’État espagnol et le Vatican.  Curieux non, toutes ces coïncidences socialotes contemporaines ?          

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(ajout du 17-12) Valls fut du scandale de l’argent détourné de la MNEF, l’ancienne mutuelle étudiante phagocytée par le PS sous l’action autorisée de l’inénarrable économiste, escroc et violeur Strauss-Kahn ; plus récemment il a hésité à se lancer avec Charkeuzy du temps où il était président, puis a largué ses dernières années sa bonne femme, Nathalie Soulié. Celle-ci fut pendant quelques années la secrétaire de la société de conseils véreuse AB Associates du franc-maçon Alain Bauer, grand-maître israélite du Grand Orient « de France » de 2000 à 2003, idéologue et hagiographe de la franc-maçonnerie ainsi que « professeur et spécialiste » fort décrié en criminologie qui fut le conseil de Charkeuzy en ce domaine ; et accessoirement, et entre autres, complice dans la même affaire de la MNEF. Valls et Bauer ainsi que Stéphane Foulks, coprésident de Havas, sont des amis du temps où ils étaient tous trois étudiants rocardiens et membres de l’UNEF-ID à Tolbiac. Ce dernier, Foulks, n’a conseillé qu’une demi-douzaine de fois le pauvre Cahuzac, une misère, son ami Jérôme (socialiste qui par ailleurs est connu pour être le grand ami de personnages de l’extrême-droite française) ; il a répété au public, aux autorités en tant que patron d’agence de presse, les menteries de Jérôme, mais comme il dit « j’ai menti de bonne foi ». Vous pensez bien ! Tel le précise le Nouvel Observateur, pourtant cul et chemise avec l’immonde maffia régnante : « Fouks s’est même offert des implants capillaires dans la clinique d’un de ses clients, le député socialiste Jérôme Cahuzac. » (édition du 21 juin 2011).  Accessoirement, et soit dit en passant le « conseiller » politico-économique Foulks est lui aussi un israélite, tendance ashkénaze et… millionnaire.  Voici comment le « deal » est expliqué aux profanes par le journaliste Serge Faubert, qui  à l’époque était responsable du service d’ordre de la LCR à Tolbiac (curieux comment le service d’ordre peut mener à des carrières de la manipulation des masses : Faubert, journaliste, Goupil, cinéaste…) : « La politique pour l’un, les réseaux policiers et francs-maçons pour le deuxième, le lobbying et le marketing pour le dernier. C’est à la fac de Tolbiac, en 1980, que Manuel, Alain et Stéphane se sont partagés les rôles et ont posé les bases du futur logiciel de la gauche des années 2000, entre libéralisme et sécuritarisme. » (in Le Monde du 27 novembre 2012, article titré : Le Pacte de Tolbiac).  Il faut dire que le « combat » faisait rage dans les universités, entre staliniens, socialistes et trotskistes  moins pour contrôler les syndicats fantomatiques et en premier lieu les différentes  coteries des UNEF d’alors, que pour participer à la gestion des facultés et plus encore pour contrôler la caisse juteuse de la MNEF, la mutuelle étudiante « de gauche ».   Et donc qu’est-ce qui clochait dans le CV, jusque-là parfait, del caudillito catalan ? Du franc-maçon ou ex-franc-maçon (sur ce sujet les avis divergent) ? Qu’est-ce qui pouvait faire obstacle à sa soif inépuisable d’arrivisme, à son absence réelle de vergogne, à son opportunisme effréné ? Vous avez compris : ses origines déplorables de goy. C’est pourquoi il a largement remédié à ce travers regrettable en ce réaccouplant en juillet 2010 avec une autre divorcée comme lui, mais d’un rang supérieur : une certaine Anne Gravoin, une violoniste surtout connue pour avoir accompagné divers « artistes de variétés » comme Roch Voisine, Laurent Voulzy, Charles Aznavour, Marc Lavoine,  Michel Jonasz. Membre de la Fondation Menuhin, elle dirige aussi la société Régis Orchestre qui organise, entre autres, les tournées de Jean-Philippe Smet. Personnage très affrétée avec le « pipole », elle a déclaré que c’était quand même « plus glamour d’être violoniste que professeur d’allemand », elle faisait allusion à la profession de la femme, du moins de la femme officielle d’Ayrault.  Elle a la même délicatesse d’État que la concubine de Hollande. Mais on l’excuse, car cette Gravoin au patronyme apparemment de chez nous est… vous l’avez déjà deviné, juive. Maintenant vous comprenez mieux pourquoi de nos jours le petit merdeux catalan, est « indéfectiblement lié au judaïsme et à Israël », comme il l’a affirmé, il y a quelques mois, dans le feu du bonheur enfin trouvé et de l’allégeance, à un medium non pas de masse mais d’élite, juif. En croyant qu’on allait « ne pas trop » le répéter ; mais c’est raté. Il est ainsi devenu le grand ami par sa présente femme du couple formé par la pied-noir télévisuelle Daniela Lumbroso et Eric Ghebali l’ancien secrétaire général de SOS-Racisme et de l’Union des Étudiants Juifs de France. La boucle, toujours la même, se referme encore une fois. Quel traquenard des apatrides dominateurs ! Quand Anne est au violon / Et Manu à l’accordéon,/  Sans fausser le ton, marche droit / Ou au violon tu finiras ! Vaille que vaille, le blanc-bec Valls « joue au shérif, mais ce n’est qu’un shérif de seconde zone. Il dit qu’il veut combattre le FN mais il est dans sa lignée » comme le disait, il y a peu encore, le chansonnier Claude Moine. 

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Monsieur et madame Valls à la soirée du Nouvel An juif chez le judéo-polonais de service Marek Halter (Paris, 8 septembre 2013). Regardez le sourire béat et les yeux pétillants de l’enjuivé tête à claques. À quand la circoncision ? Comme quoi l’entre-jambes peut mener tout droit à l’entregent. Ici, ce n’est pas, ce n’est plus l’hystérique anathèmisant le brito-négro Dieudonné et le mauvais blanco franchouillard Soral ! L’immigré de fraîche date nous disant à nous français, ce qui est bien et ce qui est mal.

C’est « enfin » la calotte – et malheureusement pas dans la tronche – de Gélatine en personne, membre de la Légion donneurs, l’ombre d’un chef d’État responsable, le grotesque larbin du Capital mondialiste et cosmopolite « de gôche », le chef des pantins  socialos, le roi des gogos, le pignouf de la république « laïque » bananière française, faisant ses dévotions et autres simagrées d’allégeance de goy enjuivé à « la Grande Démocratie du Proche-Orient » (dixit Gélatine), à cette auto-élue élite de colons racistes, tribaux, théocrates, bellicistes, exploiteurs en Palestine occupée.  

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Pendant ce temps, Gélatine ignore souverainement, ou plus exactement : ignore comme le fienteux médiocre qu’il est, les Bonnets Rouges graines de fédéralistes et autres chouans contre-révolutionnaires (à ses yeux), valetaille brito-franchouillarde ; intervient comme le reste de la nomenklatura européenne et amerloque dans les affaires intérieures de l’Ukraine (tout est bon depuis plus de vingt ans pour affaiblir la Russie fidèle à des valeurs d’indépendance nationale ou non estampillées « modernistes ») ; et va jusqu’à boycotter, comme en pleine guerre froide — avec le Fabius du sang contaminé et de la dictature stalinienne des gais sots sur la recherche historique, et autres salopards sionistes amis des islamistes — et en teckel social-démocrate de Merkel chef du nouveau parti unique allemand social-démocrate-chrétien, l’inauguration des Jeux Olympiques d’hiver de Sotchi (les sportifs et supporters français apprécieront).  Depuis qu’il a été ridiculisé et réduit à l’état de moule par Poutine lors de la visite de ce dernier à Paris, il lui garde un chien de sa chienne, de sa chienne de vie de merdeux politicard contre-révolutionnaire (sans guillemets).

Gélatine, le « petit catho de gauche » sympathisant des frères trois-points, ne saurait oublier et renier ses lourdes origines familiales, celles d’un père millionnaire militant colonialiste, OAS, « Algérie française » et politicard dans la ligne de Tixier-Vignancourt.

Ignoble « de gauche », tu l’as bien dans le Sion !

Plus veule que toi, on meurt !

Quelles farces… et attrapes ! cette gauche dégénérée, putride et maffieuse ! Quelle « pourritude » comme pourrait dire Marie-Ségolène.

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From → divers

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