Emmanuel Ratier vient de se faire punir par le pouvoir socialiste et ses séides gauchisants pour ses livres non-conformistes, ses articles décapants et ses révélations sur les pourris, faible mot, qui nous gouvernent. Politicards, journalistes, maçons…

Je ne suis pas de sa mouvance, pas toujours d’accord avec les conclusions politiques ou idéologiques de « l’immonde Ratier » (comme diraient ses ennemis), mais je suis pour la liberté intégrale d’expression, de publication et de diffusion. Je suis pour la confrontation pacifique des idées, je suis pour le débat seul à même de faire avancer la Raison et la Vérité.

Sa librairie Facta vient d’être, dans la nuit du 9 au 10 Décembre, saccagée par une bande de voyous :

« Notre librairie (Facta, 4 rue de Clichy, 75009 Paris) a été attaquée cette nuit. Vitre brisée, grands jets de pistolets à peinture rouge dedans, plusieurs centaines de livres bousillés, sol et tapis foutu, murs à repeindre, etc. Super, les défenseurs de la liberté d’expression… E. Ratier »

Faire le lien entre cet événement et ses travaux semblent d’une évidence limpide.

Des livres, des mots, de la Pensée sans défense. Et même sans connaître les titres et les contenus des bouquins. Crétinisme intégral. Bravo aux chantres (pour ne pas dire aux chancres) de la liberté d’expression démocrasseuse, leur vrai visage est celui de la censure, de l’autodafé et de l’intolérance. Et de l’attaque des plus isolés, des plus faibles, des moins protégés par les minables qui nous dirigent. Et ils n’en sont pas à leur coup d’essai. Parmi ceux-ci très probablement des « antiracistes » et des « antifascistes », amis de la Liberté et ennemis de la haine. Voire des individus se prétendant libertaires !!! Quelle décadence d’un monde. J’ai toujours dit que l’antiracisme et l’antifascisme n’étaient que du racisme et du fascisme inversés.

Un citoyen « ni raciste, ni antiraciste » ; « ni fasciste, ni antifasciste » ; « ni juif, ni antisémite ». Un citoyen en dehors des fadaises contre-révolutionnaires.