À PROPOS, À NOUVEAU, DE CETTE HISTOIRE DE FAMILLE… DE TRAVESTI/E/S, QUI A DES RÉPERCUTIONS POLITIQUES INDÉNIABLES.
Le monde est inversé. Le réel négligé, aboli. Or, « dans un monde réellement renversé, » du mensonge institué et mis en spectacle, « le vrai est un moment du faux ». En voici encore deux exemples extraits du dossier Pressibus du 2 novembre courant.
I – Un blocage psychologique ?
[Pour prouver simplement, très simplement, que Brigitte est bien celle qu’elle prétend être,] trop de personnes se réfugient derrière des arguments du type « Il n’y a qu’à montrer des photos de famille, il n’y a qu’à faire un test ADN, il [sic] n’a qu’à paraître avec son frère » …
Nous le disons aussi mais dans le sens où cela aurait pu être fait depuis longtemps.
Croire que les Macron pourraient le faire maintenant ou plus tard trahit, en fait, un refus d’admettre la réalité : un homme ne peut pas présenter un test ADN de femme. Quant au frère, iel [sic] est présenté tous les jours à la face du monde entier. C’est la sœur que l’on voudrait voir!*
Alors on cherche quelles raisons les Macron pourraient avoir de ne pas fournir ces preuves simples. Il y a essentiellement trois pistes :
1-« Brigitte » serait trop sensible et tiendrait avant tout à sa vie privée. Elle se comporterait en fait comme son ex-mari André Louis Auzière, comme Véronique Dreux, comme tous les membres de la famille Trogneux sauf, de temps en temps, Tiphaine. Le problème de cette hypothèse, c’est qu’on ne peut pas faire plus m’as-tu-vu que « Brigitte »… [voir le dossier Pressibus]
2-Une femme n’a pas à prouver qu’elle est une femme, ça se voit bien, seuls les complotistes chercheraient un problème là où il n’y en aurait aucun. Plus con et plus ignare, tu meurs.
3-C’est une manœuvre subtile pour détourner l’attention médiatique d’un non-sujet, un plan machiavélique pour embrouiller toute enquête et empêcher tout accès aux vraies données. C’est l’hypothèse intello de haut vol.
On oublie la quatrième solution, pourtant évidente et de bon sens : on ne peut pas prouver l’existence de quelque chose qui n’existe pas. Trop de personnes ont une sorte de blocage psychologique à l’admettre. En plus, nous avons les preuves de ce que nous affirmons ! « Ce n’est pas une rumeur, mais un solide dossier » : c’était le titre de l’introduction du dossier Pressibus en janvier 2022. Un dossier vraiment très solide, qui n’a fait que se renforcer.
*(Note jpf) La sœur. Celle d’origine qui n’existe plus depuis qu’elle est très probablement morte il y a bien longtemps et qu’elle a déjà été remplacée, substituée, une ou deux ou trois fois, dans le scénario tordu de la famille Auzière-Trogneux, pièce de théâtre à entrées multiples.
Et alors même que la Brigitte actuelle a pu affirmer (« fatal error! ») avoir étudié en Algérie dans les années soixante, bien que ce soit indubitablement Jean-Michel qui y a étudié et vécu un temps. Ou pour le dire autrement : alors que le seul et unique Jean-Michel a fréquenté autrefois l’Algérie.
Il n’est d’ailleurs pas indifférent de se poser quelques questions à propos de toute l’agitation politique autour de l’Algérie en ce moment avec en particulier a) de fortes rumeurs concernant le financement illégal de la campagne électorale de macron en 2017 par des oligarques algériens, b) l’affaire du Franco-algérien (Algérien « francisé » il y a peu d’années) emprisonné en Algérie pour trahison et soutien du Maroc dans une affaire très ancienne de frontières et aussi plus ou moins en rapport avec la question du Sahara occidental et du Front Polisario, et, c) la remise en cause toute récente des accords franco-algériens de 1968 à une voix de majorité par l’Assemblée nationale, il y a peu.
Les prix à payer d’un chantage politique ?
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II- Des preuves bidonnées sur la santé de « Brigitte » Macron.
Le 31 octobre, sur GPTV, Nicolas Stoquer a réuni Lionel Labosse, Maître Maud Marian, avocate d’Amandine Roy, et Lara Stam, journaliste, pour une vidéo de 1h 35 consacrée aux deux journées d’audience. Maud Marian (à partir de 30:00) nous éclaire sur ce qui s’est passé concernant l’état de santé de « Brigitte » Macron, qui doit être gravement altéré pour que le cyberharcèlement puisse être reconnu.
« Pendant l’enquête, on lui demande une expertise qu’elle refuse. […] Elle ne fournit alors aucun document. Et, lorsqu’on se présente devant devant les juges, on a un certificat médical de la veille ou de l’avant-veille, du 25 octobre je crois, du médecin de la présidence, qui ne dit rien : trois lignes, même pas, deux lignes. Ce certificat est complètement vide, c’est-à-dire qu’il ne donne aucune précision : il n’y a que l’indication d’une altération de la santé. Mais il ne nous dit pas laquelle, il ne nous dit pas si elle est physique ou mentale.« .
Tout cela est effarant : sans expertise médicale, la plainte pour cyberharcèlement n’aurait jamais dû être instruite. Elle a quand même été instruite. Au dernier moment, deux ou trois jours avant l’audience, un certificat médical est envoyé, alors qu’il est trop tard, car les derniers documents auraient dû être envoyés au moins une semaine auparavant. Ce document n’aurait donc pas dû être pris en compte, et c’était une nouvelle occasion d’annuler la procédure. En outre, étant donné son contenu, on peut estimer qu’il s’agit d’un certificat médical de complaisance. C’était une nouvelle occasion d’arrêter la procédure. Et ce n’est pas tout, Maître Maud Marian poursuit :
« Surtout, Tiphaine Auzière n’est pas venue dire « Ma mère est malade ». Elle n’est pas venue dire « Ma mère ne dort plus, ma mère ne mange plus, ma mère prend des antidépresseurs ». Elle est venue dire : « Ma mère est sous pression parce que, lorsqu’elle sort maintenant, elle se demande si elle va pouvoir s’asseoir ou comment il faut qu’elle s’habille parce qu’elle sait que ça va être détourné ».
Elle a parlé des conditions générales de vie, qui ne sont pas la santé, ni physique, ni mentale. Et elle a parlé des petits-enfants, parce que, effectivement, c’est désagréable. Mais, d’une part « Brigitte » Macron n’est pas l’avocate ou la procureur de ses petits-enfants : si eux subissent quelque chose, c’est à leurs parents de le porter devant la justice. C’est une première chose.
Mais surtout, Tiphaine Auzière, qui est avocate, savait très bien qu’il fallait justifier de l’altération des conditions de vie de la personne. Or elle a oublié que les conditions de vie, ce n’est pas de savoir si le matin, elle va porter tel costume, ou un tailleur Dior ou Chanel, c’est la question de savoir si elle dort, si elle mange, si elle a perdu du poids, si sa santé physique ou mentale s’en est ressentie.«
« Brigitte » Macron n’a, dans la constitution, aucune fonction officielle. Elle devrait être traitée comme une citoyenne ordinaire. Les magistrats cèdent à tous ses caprices. Jusqu’où cela va-t-il aller ?
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