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DEUX JOURS DÉLICATS, EN PRÉVISION, POUR LE COUPLE INFERNAL ?

26 octobre 2025

D’après Pressibus.

L’heure est grave chez les macronards : il y aura audience lundi et mardi prochain au parquet de Paris dans le procès intenté par les Thénardier de l’Élysée à l’encontre d’une dizaine de personnes, pour la plupart totalement inconnues dudit « grand public », sur l’accusation de cyber-harcélement. Sic. On n’arrête pas le progrès ! Les plus connus étant Zoé Sagan (nom de plume de l’écrivain français Aurélien Poirson-Atlan) et Xavier Poussard, journaliste indépendant et auteur du livre Devenir Brigitte.

Par contre, on attend encore un procès, qui ne viendra évidemment jamais, sur, entre autres, toutes les manipulations d’informations et de photographies de la famille Trogneux établies par l’« intelligence artificielle » à destination de la presse pipole. « Intelligence artificielle », si je puis dire de l’ex-grande-amie de Brigitte, Mimi Marchand, plusieurs fois condamnée par la justice (subornation de témoin, association de malfaiteurs, complicité de faux témoignages dans l’affaire Sarkozy-Kadhafi…).

Autre remarque en passant : il semblerait (téléphone, sms…) que Carla Bruni ait été en relation rapprochée avec Mimi Marchand dans cette opération de retournement de témoignage contre Sarközy, pour de l’argent.

À la tête de plusieurs officines de paparazzi, Mimi « travaille » depuis le début des années 1990 pour de nombreux titres de ladite « presse people » : Closer, Gala, Paris-Match, Public, Voici … Ainsi que pour des « personnalités » dont elle « gère l’image », comme on dit.

Parmi les avocats des prévenus, on trouve Juan Branco et Carlo Brusa. Ce dernier s’est récemment exprimé sur le choix « au hasard » d’une dizaine de personnes, en ces termes :

« C’est symbolique. Sinon, il aurait fallu avoir des centaines de milliers de personnes au palais de justice. Et là ça devient très grave […]. C’est déjà une instrumentalisation de la justice et du fait que […], ils l’ont dit, c’est pour faire un exemple. C’est gravissime, parce que la justice n’est pas faite pour faire des exemples. La justice est là pour rendre justice, elle doit être rendue au nom du peuple français, mais pour l’ensemble des personnes qui ont commis une infraction ».

Comme l’écrit Pressibus :

« Cette plainte pour cyberharcèlement déposée par « Brigitte » est un moyen détourné de réduire la liberté d’expression. Prendre au hasard une dizaine de citoyens, s’appuyer sur le fait qu’ils se sont, pour la plupart, exprimés de façon anonyme, est une façon détournée, utilisée par les médias aux ordres, de détourner l’attention sur la plainte déposée par Christian Cotten. Celle-ci, actuellement appuyée par 57 citoyens, aucun n’étant anonyme, repose sur un solide faisceau d’indices accablants et concordants montrant que « Brigitte » Macron est née homme. Elle fait l’objet d’un silence complet de la part des médias aux ordres, du « Monde » à « Gala » en passant par « Le Canard Enchaîné » et « Médiapart », qui se soumettent ainsi à une interdiction d’informer imposée par les Macron et ceux qui les soutiennent. » 

En effet, rappelons que Christian Cotten, psycho-sociologue à la retraite, a porté plainte contre X, mais de fait contre le couple Macron, notamment pour « crime d’atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation ». Et a reçu le soutien, aux dernières nouvelles, le nombre ne cesse d’augmenter, non plus de 57 mais de 90 plaignants dont aucun n’est anonyme. Très bientôt, le cap des 100 « complotistes ».

La presse et autres media aux ordres ont finalement été obligés de sortir de leur quasi silence concernant l’Affaire Brichel. Très longtemps muets, Le Canard Enchaîné, qui de nos jours porte si bien son nom, ou Le Monde ont commencé à monter au créneau. BFM TV sort une émission intitulée De la rumeur au complot, et depuis plus d’un mois France 5 préparerait une émission du même genre.

Il y a une dizaine de jours déjà, Brichel Trogneux s’est déjà lamenté(e) auprès de Gala, article repris par Figaro Madame, d’être la victime de méchants haineux qui diffusent leurs mensonges sur les réseaux sociaux.

Le 24 octobre, l’ensemble des participants à l’émission de propagande L’heure philo sur l’immonde France Inter ont soupiré et gémi sur leurs malheurs : ceux d’entendre ou de lire sur les réseaux sociaux, des propos non estampillés, dénommés par eux : « déchaînements de haine », et surtout sur la manière de les proscrire.

Ce sont trois guignols dénommés : Romain Badouard, maître de conférence et chercheur en sciences de l’information et de la communication (!), Valentin Husson, docteur et professeur de philosophie à l’Université (!) et Patricia Martin, dotée d’une maîtrise de lettres, critique littéraire, productrice de radio, animatrice et journaliste (!).

On a pu y entendre en sorte de conclusion :

« Le Web est plombé par une mémoire qu’il a emmagasinée et dont il peut nous faire le reproche. Rien ne s’efface plus jamais avec le Web. C’est une problématique depuis longtemps maintenant, cette question du droit à l’oubli. […] L’oubli c’est fondamental. »

Comme le dit Pressibus :

« C’est carrément un appel à effacer l’histoire de l’humanité. Ils mentent et nous manipulent, comme peut-être jamais auparavant. Outre « Brigitte », voyez la crise Covid de 2020/2021 que nos grands médias refusent d’analyser avec recul… Et ils exigent un « droit à l’oubli » sur leurs mensonges et leurs crimes ! Nous n’aurions jamais entendu de tels propos il y a dix ans. Voilà où nous en sommes, avec la Macronie… »

Et des propos venants de qui ? De personnages diplômés (ce qui ne veut plus du tout dire « de qualité » de nos jours) et avant tout parfaitement intégrés au système, très probablement « de gauche » à guillemets très dubitatifs !

Finissons avec une citation du torchon qu’est devenu Le Monde, dans son édition Le Monde Week-end d’hier samedi :

« Aujourd’hui, Brigitte Macron rechigne, malgré la rumeur, à divulguer des photos d’elle enceinte, ou avec ses enfants dans les bras. Elle n’a pas, non plus, organisé de séance photo avec son frère, Jean-Michel Trogneux, qui démontrerait par l’absurde les accusations dont ils sont l’objet. Trop intrusif, argue son entourage. »

Reprenons ce commentaire de Pressibus :

« C’est vraiment prendre les lecteurs du « Monde » pour des imbéciles. « Brigitte » Macron expose continuellement sa vie privée dans les magazines « people », y compris en montrant ses petits-enfants. Et elle ne veut pas montrer une vieille photo d’elle avec son bébé dans les bras, à côté du père ! »

Qui cite encore ce passage du Monde :

« L’Élysée assure que pas un euro d’argent public n’est dépensé dans le cadre de la défense des Macron [aux États-Unis contre Candace Owens], qui relève de leur vie privée. La question n’est pas anecdotique, tant la procédure américaine pourrait coûter cher. Selon le New York Times, leur avocat, Me Tom Clare, peut facturer une heure de travail jusqu’à 1 800 dollars (1 500 euros environ). »

Pour que Pressibus pose cette simple question de bon sens : « D’où vient alors tout cet argent, au regard de la déclaration de patrimoine du couple ? » 

Ce qui en bonne traduction donne : De quel paradis fiscal, sort l’argent ?

From → divers

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