QUELQUES NOTES DE LEXICOGRAPHIE RELATIVES À L’AFFAIRE BRICHEL
J’évite de prendre partie dans l’imbroglio des personnes investies peu ou prou dans l’affaire Brichel. Mais ici je voudrais dire quelques mots à propos de ce qui me semble être une dérive préjudiciable. Dérive lexicale et partant politique.
* I *
Lionel Labosse est un enseignant ou ex-enseignant, je ne sais trop, qui tient un blog qui évoque l’affaire Brichel, mais qui présente aussi tout un tas de textes sur «l’intersexualité» comme il l’appelle, qui à les lire sont en fait une défense de l’idéologie LGBT. Jusque là je m’en fichais, mais il y a quelques jours à Mike Borowski sur GPTV, il a plus ou moins (plutôt plus que moins) insinué que Natacha Rey, la personne qui est à l’origine de l’Affaire Brichel, et qui est défendue en Justice, entre autres, par l’avocat François Danglehant, aurait détourné une cagnotte de 10.000 € destinée à financer un livre qu’elle a plus ou moins fini d’écrire, dit-elle, mais pas encore publié.
Dans une « Lettre ouverte à Lionel Labosse », le 10 septembre 2025, sur le site « Profession Gendarme », elle annonce que « le constat d’huissier concernant le torchon hautement diffamatoire et mensonger que vous véhiculez à mon encontre, a été réalisé aujourd’hui. »
Ajoutant encore : « Un conseil : continuez de faire ce que vous faisiez de mieux par le passé, militer pour LGBT et cessez de vous mêler de ce qui ne regarde et ne vous concerne en rien. »
Dont acte.
Certains ont dit qu’elle ne devrait pas tenir compte des propos de Labosse et que cela n’allait pas améliorer ses finances (déjà précaires), car la Justice n’est malheureusement pas gratuite. Et puis n’est-elle pas suffisamment préoccupée par son état de santé ? Elle a déjà affirmé il y a quelques mois qu’elle était atteinte d’un cancer et ces temps derniers elle a précisé qu’elle subissait un traitement médical lourd.
Dans cette même lettre ouverte, elle redit une fois encore : « Je n’ai jamais réclamé à Xavier Poussard le moindre centime sur l’objet qu’il ose appeler « livre sur l’affaire », mais uniquement pour le travail confié à Faits&Documents en 2021, dont il s’est approprié la paternité, alors que nous avions un accord moral qu’il n’a pas respecté. »
« Livre sur l’affaire » : il s’agit de : Candace Owens présente une enquête de Xavier Poussard – DEVENIR BRIGITTE (auto-édition, 2025)
Elle ajoute également : « Je passerai aussi sur le harcèlement téléphonique que j’ai subi de sa part, jusque sur mon lit d’hôpital quand j’étais au plus mal, me faisant insulter, hurler dessus et donner l’ordre autoritaire de ne plus m’occuper d’une affaire qui jusqu’à preuve du contraire reste la mienne. »
Je ne sais pas si c’est vrai ou faux, exact ou exagéré, du ressenti ou des « menteries ». Mais je constate seulement qu’elle s’est retrouvée « ennuyée » comme on sait par la Justice en compagnie d’Amandine Roy, la personne qui l’a visibilisée sur YouTube.
Mais que ce n’est pas, ou pas encore le cas pour Xavier Poussard. Ce ne devrait l’être qu’avec les audiences de tribunal des 27 et 28 octobre prochains, après une première convocation le 10 juillet dernier, où il se retrouvera (ou se retrouverait, je ne sais trop encore) en compagnie d’une dizaine de personnes (dont Aurélien Poirson-Atlan, Bertrand Scholler, Amandine Roy encore) pour « cyberharcèlement » à l’encontre de Brichel, consistant, dit-on, en blagues, caricatures, chansons, etc. parues sur Internet.
* II *
Le 13 septembre au soir, Mike Borowski sur GPTV, a reçu Christian Cotten et Alexandra Brazzainville. Christian Cotten est ce psycho-sociologue qui a porté plainte il y a quelques mois, le 13 décembre 2024 exactement, contre « Brigitte » pour huit motifs, entre autres : usurpation d’identité, falsification de documents officiels, viol aggravé sur mineur… et qui depuis a reçu le soutien de 22 personnes (dont 20 femmes) qui, sur la base de sa plainte, viennent de déposer une plainte contre X, en y ajoutant un neuvième motif : atteinte à la dignité des femmes. Nouvelle plainte qui a bien été prise en compte par la Justice, est-il précisé.
« Dans cette dynamique collective – nous dit Alain Beyrand sur « Le Fil Pressibus » du 14 septembre –, la voix d’Alexandra Brazzainville, personne intersexe, résonne avec une dimension plus personnelle et identitaire. Elle affirme que son parcours médical singulier et les polémiques autour de la « première dame » ont nourri une confusion sociale dommageable, affectant directement sa dignité et son image. Elle porte donc plainte contre « Brigitte » Macron pour attitude transphobe. »
Personne intersexe, ou intersexuée : c’est l’expression employé de nos jours pour désigner ce qu’on appelait il n’y a pas si longtemps encore quelqu’un d’androgyne (plutôt lorsque l’on considère l’aspect physique de quelqu’un) ou d’hermaphrodite (plutôt dans une approche médicale : aux attributs génitaux ambigus). On parle également de troubles du développement sexuel. Lorsqu’il existe des anomalies au niveau des organes sexuels externes et/ou des organes sexuels internes, des gonades (testicules ou ovaires), des chromosomes, des hormones.
Mais en clair cette Alexandra Brazzainville, d’après son prénom même, et d’après ce qu’elle peut dire d’elle-même depuis un certain temps dans des vidéos, est pour le moins femme (à 90 %, selon ses dires récents) et se veut femme. Dans l’une de ses vidéos elle doutait que la protubérance de Brigitte sous son maillot de bain puisse être un simple pubis femelle comme le sien. En fait, pour être davantage précis : les deux crêtes pubiennes munies de la symphyse pubienne, ce cartilage plus ou moins proéminent qui unit les pubis droit et gauche sur le devant du bassin.
Maintenant, ce que j’ai du mal à comprendre, c’est la plainte d’Alexandra qui arguë * que « Brigitte » aurait une attitude transphobe. Et qu’elle (Alexandra) se sentirait concernée. Alors qu’elle-même n’est pas un transgenre, mais une personne née androgyne, hermaphrodite, intersexuée (comme on veut le dire) qui est passée par la médecine (et sans doute la chirurgie) pour se reconnaître et s’assumer comme femme. Ce qui n’a rien à voir avec le transgenrisme qui relève de la maladie mentale contre la réalité naturelle. Un homme qui veut être femme ; une femme qui veut être homme. (sur ce sujet, cf. Dora Moutot et Marguerite Stern : Transmania : Enquête sur les dérives de l’idéologie transgenre ; éditions Magnus).
Donc, ce qui n’a rien à voir avec les cas douloureux – comme a été le sien – de personnes étant à la fois homme et femme (généralement plus l’un que l’autre), aux attributs sexuels plus ou moins développés, ou atrophiés, qui sont les victimes d’un dérapage de la Nature. Et rien à voir avec le « T » de transgenre » ni d’ailleurs avec le « B » de « bisexuel » (i.e. hétéro et homosexuel à la fois) de LGBTetc.
* III *
Je ne sais pas ce qu’il en est exactement du sexe physique de « Brigitte », mais si l’on part de l’hypothèse : Bribri est Jean-Mi, je pencherais tout simplement pour un sexe normal, habituel, courant de mâle. Certes pas de n’importe quel mâle : d’un travesti (un « travelo » comme on dit bien souvent) à tendance homosexuelle, et même plus précisément à tendance pédophile (ce que l’on peut deviner dans « l’histoire d’amour » entre Brigitte et Emmanuel). Ou plutôt pédéraste, terme plus ancien. Il n’y a rien de « -philos » (qui aime, dans un sens noble) mais de « -erastês » (amant) ; autrement dit de prédateur en cela.
Pour moi « Brigitte » ne serait pas un transgenre : un malade mental qui s’est fait charcuter plus ou moins et « déchromosomer » de mâle vers femelle ; comme il existe à l’inverse des femmes « transgenrées » en mâles.
Notons que ceux qui acceptent de faire ces actes (pour le pognon), et sont autorisés à le réaliser ! chirurgiens, médecins sont des salopards qui pratiquent une forme de barbarie sur des personnes souvent jeunes, voire très jeunes tout simplement mal dans leur peau, à l’adolescence compliquée, ou aux désirs incertains ; manipulés par des modes et surtout des milieux pervers. Soigner un trouble psychiatrique par une mutilation ! Dérives déshumanisantes, indignes de certaines technologies médicales, comme, dans un autre domaine, les pseudo-vaccins ARNmessager délétères.
Et c’est là qu’il ne faut pas confondre « transgenrer » et « donner », ou plus exactement « aménager » un seul sexe à une personne qui pour son malheur est né androgyne, plutôt homme ou plutôt femme selon les cas. Action réparatrice ; et on ose l’espérer au moins apaisante. Même si certains et certaines n’ont pas les capacités, les possibilités d’être pleinement homme ou femme.
Aussi, à mon avis Alexandra Brazzainville s’égare en portant plainte contre « Brigitte » Macron pour attitude transphobe. Autrement dit opposition aux transgenres. Car malheureusement les sens de « philie » et de « phobie » ont glissé (pour ne pas dire plus) entre le temps où l’on disait « bibliophilie » (acte positif, réel amour mental, ou intellectuel) et « agoraphobie » (peur des grands espaces) et le monde d’aujourd’hui on l’on dit pédophile pour : abus sexuels sur des enfants ; et « transphobie » pour : rejet du transgenrisme.
– À ce que je sache Alexandra n’est pas un transgenre qui a eu recours à la médecine pour changer de sexe, mais pour faire en sorte qu’elle ne soit, au mieux possible, qu’une femme, et non un androgyne.
– De même « Brigitte » n’est sans doute pas un transgenre, mais plus sûrement un travesti.
– Enfin on sait ce que recouvre le militantisme LGBTxyz. On l’a vu à l’œuvre lors des cérémonies des Jeux Olympiques de 2024.
* IV *
Ainsi, l’on me dit (Pressibus) que le 31 juillet dernier, un certain Louis-Georges Tin, militant LGBT, accusait Brigitte, dans les colonnes de « Libération », d’« alimenter la stigmatisation des personnes transgenres ». Moi, je dirais plutôt : de parodier les femmes ; s’il s’agit bien d’un travesti – ce que tout une apparence physique ou tant de comportements semblent révéler. La liste est longue : s’assoit comme un homme en écartant les jambes, marche comme un homme sans « balancier » du bassin ; a de grandes mains, des grands pieds, de grandes oreilles comme Jean-Michel, un fessier tout plat, et des seins « flottants », etc. Donc moins transgenre que… faisant mauvais genre.
Mais pour en revenir à ce Tin, notons d’abord où il s’exprime : dans « Libération », l’une des feuilles de chou de la propagande écrite totalitaire subventionnée gaucho-mondialo-sioniste. Et soutien du LGBTisme.
Et ajoutons quelques mots sur le quidam. Tin, Français des îles, est un universitaire dans l’air du temps, qui met sur le dos des seuls Européens (et de tous, de l’exploiteur à l’exploité d’autrefois) l’esclavage des siècles passés. Il entend nous réclamer réparation comme si l’on était responsable de ce qui est arrivé les siècles précédents, organisé par les dominants de ces temps-là, et comme si les Noirs eux-mêmes n’avaient pas entretenu l’esclavage (des Noirs vendant d’autres Noirs).
Ce Tin a été président (avant d’en être viré pour malversations financières) de l’organisation ouvertement raciste (du moins c’est mon opinion) le CRAN, Conseil Représentatif des Associations Noires. Ce qui est déjà drôle quand on sait que Tin n’est pas Noir, mais métis, c’est-à-dire mi-Noir, mi-Blanc. Il n’y a pas de CRAM (métis) comme il n’y a pas de CRAB (blanches) d’ailleurs. Oui, imaginons deux minutes un Conseil Représentatif des Associations Blanches. Ça crierait aux « fachos » !
On notera que le CRAN est représentatif non pas des Noirs en soi mais des associations noires. Du militantisme noir. Comme le CRIJF n’était pas représentatif des Juifs mais desdites institutions juives, et pour être plus exact des sionistes, les colonisateurs juifs et goyim réunis. Et ce n’est sans doute pas un hasard si de nos jours il a été rebaptisé (mille excuses !) CRIF. Et si c’est le J (de Juif) qui a été circoncis du sigle et non le F (de France). « Esprit fier et dominateur » comme aurait dit de Gaulle.
Et pour en revenir à l’esclavage. il n’y a pas eu d’esclavage qu’en Afrique, mais partout dans le monde. Et les inventeurs de ladite « démocratie », les Hellènes avaient leurs esclaves, comme les Romains avaient les leurs. Comme tant et plus de sociétés en eurent à toutes les époques. Comme il y en encore, nous dit-on, ici ou là. Le salariat lui-même est une forme d’esclavage plus ou moins adouci (raffiné), des peuples tenus par la monnaie, les banques, la finance (raffinancé) qui au final n’est que du vent dictatorial et totalitaire.
Comme l’écrivait le « maupensant » Alexis Carrel, in Réflexions sur la conduite de la vie (1950, posthume) : « La liberté dont jouit la majorité des hommes n’est ni économique, ni intellectuel, ni moral. Ceux qui ne possèdent rien ont seulement la liberté d’aller d’un taudis à un autre taudis, d’un bistrot à un autre bistrot ; d’écouter les mensonges d’un journal ou ceux d’un autre journal, d’une propagande radiophonique ou de la propagande opposée ; finalement de voter. Ils sont libres politiquement, économiquement, ils sont des esclaves. »
Enfin, Tin, c’est le même qui dégoise sur « L’Invention de la culture hétérosexuelle » qui ne serait apparue qu’à compter du XIIe siècle ! Alors qu’il conviendrait plutôt de parler à l’inverse de la nature essentiellement hétérosexuelle des sociétés humaines (et animales pour la plupart) – qui ne peuvent se reproduire et perdurer que de cette manière, d’ailleurs – et de l’invention de cultures homosexuelles à certaines époques et dans certains milieux. Y compris – ne pas l’oublier – par effet de mode ou de volonté transgressive. Qui marche de pair souvent avec les dérèglements de l’esprit par l’alcool, les drogues… ; en des périodes et/ou des milieux de décadence en tous genres.
Décadence en stupéfiants, perversions, mensonges et faussetés, généralisée. Et manipulation mal attentionnée à la fois des esprits et des corps. Comme la nôtre de période en particulier, où la drogue et autres produits toxiques ont envahi en grand, non seulement certains milieux (dont la racaille du haut grande consommatrice), tous les sports même chez les amateurs (dopage), mais également ladite santé elle-même. Où l’industrie pharmaceutique semble plus ou moins tenue non seulement par la finance (mondialiste en particulier) mais par l’idéologie des charlatans eugénistes transhumanistes, id est anti-humanistes, barbares en manipulations technologistes délétères, toxiques, mortifères, létales, destructrices. Déshumanisantes. Totalitaires. **
Culture contre Nature. Du moins certaines formes de culture. Ou pseudo-culture. Parmi la dite aristocratie et les milieux cultivés (justement) de la Grèce antique ou de la fin de l’empire romain, parmi le clergé (le haut en particulier) vers la fin du Moyen-Âge, parmi l’aristocratie et autres libertins plus près de nous encore… Et j’en passe : il y a un auteur, je ne sais plus lequel qui faisait remarquer qu’en Espagne autrefois, un monastère d’hommes n’était jamais très loin d’un monastère de femmes. Ce qui au moins ici est finalement assez réconfortant.
Et de nos jours, comment ne pas constater que Macron lui-même, le mignon de Brigitte (homme ou femme peu importe finalement, cela ne change en rien le problème) et qui fut aussi un temps le mignon de Rothschild et quelques autres, a eu ou a encore ses propres mignons genre Attal et Lecornu, ou au passage quelques jeunes Noirs ou Métis, dans le jardin de l’Élysée ou dans les îles.
* V *
Donc en ultime conclusion, je dirai que le transgenrisme n’a rien à faire dans l’Affaire Brichel. Si ce n’est polluer le débat.
Mais, au départ du moins, la pédophilie (ou éphébophilie) hétérosexuelle ou homosexuelle pédérastique selon que l’on ait affaire à Brigitte ou à Jean-Michel. La manipulation d’un mineur.
Puis le mensonge organisé à grande échelle. Une gigantesque manipulation de l’opinion s’il s’avère bien que Brigitte n’est qu’un travesti, se livrant à ses frasques quotidiennes en apparitions et disparitions de poitrine féminine. Y compris usurpation d’identité, et autres délits concomitants (lors de son mariage par exemple). Et ce qui est bien « atteinte à la dignité des femmes » et, si l’on veut, aussi à la dignité des androgynes.
Et s’il semble s’avérer également que Macron relèverait de la psychiatrie en tant que « bel » exemple de manipulateur pervers narcissique, psychopathe pour ne pas dire sociopathe. On l’a constaté par exemple lors du mouvement des Gilets Jaunes. ***
Mensonge « local » qui s’ajoute au mensonge généralisé, la propagande mondialiste, sioniste, et russophobe ambiante, pour l’industrie pharmaceutique, l’industrie d’armement… tant colportée par Macron et le gouvernement que par les media subventionnés des oligarques. Sans oublier bien évidemment, pour clore le tout, la propagande wokiste, sexiste et LGBT dégénérée, y compris à l’école maternelle.****
Tiens ! notons en passant que les Femen, ces exhibitionnistes des nibards, provocatrices dans les églises mais jamais dans les temples protestants, ni les synagogues, encore moins dans les mosquées, sont déjà passées de mode.
Ceci s’accordant au mieux avec la perversité intrinsèque du macronisme qui n’est qu’une forme exacerbée de socialisme des intellectuels, ou du moins desdits ou prétendus intellectuels (de nos jours des médiocres, corrompus, mafieux) tant décrié en son temps déjà par Makhaïski (1866 – 1926). Cf. Jan Waclav Makhaïski : Le socialisme des intellectuels, textes choisis, traduits et présentés par Alexandre Skirda (Éditions du Seuil, 1979). Dans un genre complémentaire voir l’ouvrage de Xavier Moreau : Le Livre noir de la gauche française (stratpol.com, TheBookEdition.com, Lille, 2021).
Comme le dit Pressibus : « Du Covid à « Brigitte », ce sont les mêmes menteurs pervers, ceux qui se réfugient derrière la digue médiatique et juridique. »
Aussi resterait encore à nous pencher sur l’épineux sujet du sexe des anges et du mensonge ontologique « occidental ». Autrement dit des manipulations des esprits et des mensonges de masse qui sont consubstantiels à l’idéologie mondialiste. Citons parmi les plus connus et les plus manifestes, les raisons officielles invoquées lors de la provocation de Pearl Harbor *****, suite aux assassinats des deux frères Kennedy, lors des pseudo-marches sur la Lune (à ne pas confondre avec Objectif Lune et 2001, Odyssée de l’espace) et suite au complot interne du Onze Septembre.
NOTES :
* J’écris « arguë » comme certains le font logiquement puisque l’on dit « argü » et non « arg », comme pour ambiguë, aiguë… et pour le différencier de « argue » (arg), de arguer : dégrossir les lingots d’or, d’argent ou de cuivre à l’aide d’une machine à cabestan dénommée : argue.
** Voir par exemple :
Alexandra Henrion-Caude et Ambre Bartok : Les apprentis sorciers – Tout ce que l’on vous cache sur l’ARN messager (Albin Michel, 2023)
Naomi Wolf, Amy Kelly et al. ; préface de Didier Raoult : Pfizer Papers – Les crimes de Pfizer contre l’Humanité (Éditions marco pietteur, 2025)
Marie-Estelle Dupont : Être parents en temps de crise (Les Éditions Tradaniel, 2023) ; cf. également la vidéo Omerta : Marie-Estelle Dupont : « Dans le totalitarisme, l’essentiel est d’arracher l’enfant à ses racines »
*** « Macron ou la dissonance cognitive » titre un article récent de la presse dite alternative. Qui explique : « Pour lire le Macron, il suffit de dégager la tendance lourde derrière les annonces contradictoires, qui sont là pour produire un brouillage […] Les aléas, ce sont les petites phrases et contre-petites phrases, les « j’ai très envie de les emmerder » en face des discours de tolérance. Ce sont les arbres qui cachent la forêt macronienne, et la forêt, c’est le dépouillement national au profit de l’UE, de la Banque et des multinationales, qu’elles soient françaises […] ou américaines […] Une dissolution accélérée, un effacement de 1.000 ans d’histoire et de particularisme. Tout ça pour refaire une Notre-Dame à son image, avec ses vitraux de merde. Notre Dame, c’est Brigitte ? Dissoudre la France dans l’acide mondialiste. En réalité, Macron n’a jamais quitté le cabinet des Rothschild, il a juste déménagé dans un autre bureau, dans un autre château. Mais le job, lui, est invariant, même si Manu est nul en fusions-acquisitions : vendre la France à la découpe.»
Ce qui est peut-être finalement moins une dissonance cognitive (« état de tension dans lequel se trouve un individu confronté à une situation contraire à ses convictions ou à ses habitudes d’agir ou de penser » (Trésor de la Langue Française)) qu’une manière ouverte de se payer notre tronche.
**** Et sans même parler d’esprit intrinsèquement tordu, on sait déjà que de nombreux dirigeants d’État ont la santé souvent altérée pour diverses raisons médicales tant psychiques que physiques. Et que malgré tout, certains ont le pouvoir de faire actionner des armes de destruction massive. Ou de se faire manipuler par leur propre entourage, pour le meilleur comme pour le pire.
***** L’implication volontaire de Roosevelt, le belliciste, le « démocrate », dans l’attaque de Pearl Harbor, retournant l’opinion publique étatsunienne, et l’entrée en guerre des États-Unis dans la Seconde guerre mondiale, semble de nos jours bien établie. Parmi ceux qui l’on bien compris on peut citer par exemple le contre-amiral Robert Alfred Theobald, qui commandait les destroyers à Pearl Harbor, et qui écrivit dans ses Mémoires, parus en 1955 : « Notre conclusion principale est que le président Roosevelt contraignit le Japon à faire la guerre en exerçant en permanence sur lui une pression diplomatique et économique, et l’incita à ouvrir les hostilités par une attaque surprise en maintenant la flotte du Pacifique dans les eaux hawaïennes comme appât. » En l’absence comme par hasard ce jour-là de trois porte-avions en manœuvre, et en absence de réaction à de nombreux messages d’avertissement, ainsi que dans l’accumulation de « négligences » locales.
Plusieurs milliers de morts sur les bateaux immobilisés, comme on a eu plus d’un millier de morts lors de l’attaque d’une escadre de la marine française par notre « allié » royaumunien en 1940 en Algérie à Mers el-Kébir, alors même que l’armistice du 22 juin 1940 prévoyait de laisser la flotte française sous commandement français en lui imposant une stricte neutralité. Œuvre du descendant de la noblesse Spencer-Churchill, l’alcoolique et prix Nobel de littérature 1953 ! Ajoutons encore, dans le même esprit : quelques milliers de morts lors du complot organisé par le complexe militaro-industriel et une partie du gouvernement étatsunien et le Mossad un certain Onze Septembre 2001.
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