POUR DÉSANASTOMOSER TA VIE
C’est en écoutant une toute récente vidéo de Philippe Jandrok, quelqu’un dont j’ignore les compétences exactes mais dont je sais qu’il s’intéresse depuis des années à la médecine et à la santé (cf. philippejandrok.org) que j’ai appris l’existence de la P.R.N. ou perfusion régionale normo-thermique.
C’est une technique qui se développe un peu partout dans le monde concernant les prélèvements d’organes. Elle existe ainsi aux États-Unis. Mais elle est interdite en Australie. En France je ne sais pas ce qu’il en est pour l’instant.
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Il faut savoir que la mort, en termes médicaux, se définit d’une double manière.
Lorsque que le cœur s’arrête de fonctionner, par là même, le sang et surtout l’oxygène qu’il contient ne sont plus amenés au cerveau.
Il y a la mort circulatoire lorsqu’on constate que le cœur est arrêté ; ne bat plus du tout.
Et il y a la mort cérébrale lorsqu’on constate que le cerveau ne réagit plus, marquant une absence totale d’activité cérébrale mesurable.
Normalement, il faut le double constat pour en conclure qu’une personne a décédé.
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Mais, avec cette technique dite de perfusion régionale normo-thermique (PRN), dont j’ignore les détails et les machineries médicales, concrètement :
1- le patient, encore bien vivant, est débranché de son assistance respiratoire et son cœur s’arrête ;
2- les chirurgiens bloquent le flux sanguin et d’oxygène vers le cerveau, provoquant une mort cérébrale irréversible ;
3- puis ils redémarrent le cœur ; ce qui veut dire que la circulation sanguine étant rétablie, le patient n’est plus considéré comme mort selon les normes circulatoires ;
4- enfin, ils réalisent des prélèvements d’organes sur des chairs à nouveau vivantes ou plus exactement qui n’ont pas eu le temps de se nécroser ; le cerveau seul étant mort.
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Pour le dire autrement, les médecins relancent le cœur après avoir bloqué le flux sanguin vers le cerveau.
Et ils maintiennent artificiellement la viabilité des organes (cerveau exclu) après le décès provoqué.
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Quelques mots encore sur ce « progrès technologique indéniable », comme dirait l’autre, en termes financiers, pour ne pas dire capitalistes.
Le marché des organes humains est une affaire juteuse pour le monde médical gangrené par la recherche du profit. Mais aussi entraîné, poussée à toujours faire sauter les prix, vu le coût d’achat et d’entretien faramineux de toute la technologie médicale « moderne ».
La demande dépasse allègrement l’offre. Cette dernière n’atteindrait que 10 % à peine de la demande. Il n’est donc pas difficile de deviner qu’elles en sont les conséquences. La rareté se paye cash.
C’est la jungle dans les prix d’organes humains. Seuls les plus riches peuvent en bénéficier. Ou ceux qui peuvent être pris plus ou moins en charge par quelque protection sanitaire que ce soit.
Les temps d’attente peuvent être très longs.
La qualité n’est pas toujours la même.
Il y a le marché officiel et les marchés parallèles ou officieux.
Rappellerai-je ici ce qui se dit sur les réseaux maffieux de trafics d’organes humains. Ce qui s’est passé du temps de la guerre en Yougoslavie, et sans aucun doute encore du côté du Kosovo par exemple, non seulement champion dans les trafics d’organes mais aussi de femmes et d’armes.
Et ce qui se passe depuis des années en Ukraine, une des plaques tournantes des trafics humains en tous genres : prostitution, commerce en grand de la « gestation pour autrui » et de l’« adoption d’enfants » ; quand il ne s’agit pas de vente d’enfants en entier pour les pédophiles ou en « quartiers » pour les friqués demandeurs d’organes « comme neufs » (sionistes par exemple, mais pas trop regardant sur la pureté raciale). Ou encore les ventes d’organes de morts de la guerre sans le consentement des familles. Sans oublier les trafics d’armes, entre ce même genre de pays d’ailleurs.
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Mais pour revenir plus étroitement à notre sujet, comment ne pas préciser deux choses plus sinistres encore.
Il se dit que certaines personnes, le cerveau pas encore totalement réduit à néant, peuvent être encore plus ou moins conscientes pendant ces prélèvements d’organes ;
Ou encore – autre domaine d’exploitation – que les fœtus de bébés avortés ne sont peut-être pas vraiment morts non plus quand on en récupère, pour de l’argent, des morceaux en vue de la production industrielle de médicaments.
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Un dernier mot : Philippe Jandrok nous fait remarquer que pendant que « l’on » vend des morts ou à peine morts à la découpe, les Russes développent des recherches dans le domaine de la régénérescence d’organes ou de membres.
Et nous concluons avec cette réflexion parue tout récemment dans E&R :
« Il n’y a de richesse que d’hommes. À ce propos, on remarque que toutes les décisions du pouvoir depuis sept ans, depuis l’avènement de l’employé de la Banque, vont dans le sens contraire : avortement dans la Constitution, euthanasie encouragée [pour ne pas dire dévoyée], injection de masse [cf. la covid], paupérisation programmée, invasion migratoire ennemie [par les actions concertées de l’Union Européenne]. Il y a moins d’hommes, au sens propre et au sens figuré. Macron avait raison, nous sommes bien en guerre. Mais pas contre les Russes. »
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