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À PROPOS D’ANDRÉ AUXIÈRE.

23 juillet 2025

(texte qui date de la fin mai et du début juin, achevé pour l’essentiel le 19 juin)

Je prends mes informations de la dernière note (n°121) du site Pressibus tenu par Alain Beyrand, et non pas du site « à l’aberrant », comme quelques têtes molles voudraient nous le faire accroire.

Jusqu’à maintenant, du personnage fantomatique qui aurait été le premier mari de ladite Brigitte Trogneux, André ou André Louis Auzière, père des trois enfants Auzière, on ne connaissait que deux photographies de lui.

Une. Celle de son mariage en 1974 avec une personne qui n’est visiblement pas la Brigitte actuelle, retrouvée dans la presse locale du Touquet d’alors :

Photographie de presse, de mauvaise qualité.

Ce qui donne ceci pour l’épousé :

Et cela pour l’épousée :

Ne pas s’occuper ici (c’est un autre sujet) des  % qui sont des évaluations de ressemblance avec d’autres clichés.

Personnellement j’ai du mal à voir quelque rapport entre la jeunette ci-dessus et la trogneux élyséenne. Et je ne suis pas le seul. Mais il est vrai que cette dernière s’est fait refaire le portrait par un spécialiste des féminisations de tronches. On ne sait pas ce qui est encore d’origine, si ce n’est sans doute ses oreilles remarquables que malheureusement peu de photographies mettent en valeur ; ce qui est dommage car lorsque l’on arrive à bien les voir, elles ressemblent étrangement à celle de Jean-Michel Trogneux enfant. Et il n’y a pas que les oreilles de ressemblant.

Deux. Celle de son avis de décès. Cocasse, pour ne pas dire extravagant, photographie rendue publique en août 2023, et bientôt dénommée « photo du chauve en maillot de bain » :

On remarquera aussi la curieuse inversion qui place en premier l’ami et en dernier le père, avec une progression du frère au grand-père, en passant par le compagnon. Et l’absence de tout nom de membres de la famille ou d’amis. Que le sien, en succinct. Personnage qui ne semble pas avoir eu de famille très affirmée, du moins sur le papier, ni de date de naissance : il est rare que l’on ne rappelle pas ne serait-ce que l’âge des défunts. « Une mort aussi discrète que le fut sa vie » (les gazettes)

À propos de grand-père. Sa fille aînée, Laurence Auxière, s’est plainte que ses enfants n’avaient pu le connaître. La question à lui poser à elle : qu’est-ce qui les empêchait de le connaître ? Tout est énigmatique dans cette famille.

Et à propos de photos, il a été constaté, pour une femme qui aime à s’exhiber dans la presse pipole que « l’absence de photos de famille de Brigitte Trogneux entre 1957 et 1986 (seule celle du mariage de 1974 ferait exception [mais j’ajoute, née d’une recherche pointue]) est extraordinaire » (Pressibus).

On a également appris ceci : « En 2024, Jean-Louis Auzière, par l’intermédiaire d’Emmanuelle Anizon et de son livre « L’affaire Madame » faisait savoir que toutes les photos de ce mystérieux personnage avaient été détruites » (idem). Jean-Louis Auxière, frère aîné d’André Louis (1951 – 2019) né en 1943.

Et voilà maintenant que dimanche dernier, ledit jour de la Fête des Pères, le site de Paris-Match nous a offert deux photos du papa Auxière titrées « Les filles de Brigitte Macron partagent de tendres souvenirs avec leur père André-Louis Auzière ».

Avec Laurence, deux ans (1979)

Avec Thiphaine, sept ans (1991)

Comme quoi toutes les photos mettant en scène André Auxière n’avaient pas été détruites. Et il ne serait pas étonnant qu’il en sorte d’autres de temps à autre, dans la presse conformiste et ayant pignon sur rue. Alimentée par les Trognon et Cie, je veux dire la smala Trogneux-Macron.

« Tout est possible, nous dit Alain Beyrand depuis un travail très poussé de fabrication d’images à l’aide d’une intelligence artificielle 2 (ce qui expliquerait le retard de publication et les photos détruites retrouvées) jusqu’à des photos véridiques d’enfants avec leur père ». Ou celle d’un ami, d’un « acteur », pourquoi pas, on aime le théâtre dans cette famille. Ou encore «  une possibilité intermédiaire est celle de photos véridiques avec un oncle, plus précisément Pierre Louis Auzière, né en 1947 au Congo, décédé en 2014 à Cannes, non marié, dont on ne connaît que la naissance et le décès ».

En attendant photos dudit père avec ses deux filles. Mais sans mère (ni fils, d’ailleurs), comme par hasard. Car pour l’heure, on attend toujours de voir surgir un jour quelque photo de Brigitte avec ses enfants lorsqu’ils étaient jeunes.

Moi, il me semble de plus en plus évident que la mère, je veux dire la vraie mère génétique, ne peut pas être montrée, devinez pourquoi ?

Comme le dit Alain Beyrand : «Évidemment, sur ces deux photos, on est frappé par l’absence de la mère. Il est impossible de la montrer, puisqu’elle n’est pas Brigitte Macron, là c’est certain ! » Ajoutant par ailleurs : « Une femme et la mère de trois enfants […] serait-elle la seule mère à ne pas avoir une photo d’elle avec son mari et un de ses bébés ? ».

Bien évidemment si Brigitte est dans les faits, dans la réalité vraie, et non dans les fantasmes, non seulement détourneur de mineur mais le transsexuel, plus exactement le transgenre Véronica des années soixante-dix, puis ou « en même temps » le travesti prostitué du nom de Trogneux des années quatre-vingt frayant avec Joseph Doucé, le sulfureux pasteur baptiste (finalement excommunié) diplômé en sexologie de l’université protestante d’Amsterdam, lié à la pédophilie et plus particulièrement à la pédérastie, retrouvé assassiné en 1990 dans la forêt de Rambouillet, c’est une autre histoire. Comme est une autre histoire le fait que certains pédophiles notoires, agrémenté de LGBTXYZ, gravitent autour dudit « couple présidentiel ».

Ce qui a eu des répercutions, par exemple, dans la nouvelle « déco moderniste » affligeante de certaines salles du palais élyséen, effectuée par un délinquant pédophile en cours de condamnation. Ou lors des cérémonies, également affligeantes, des Jeux Olympiques parigots de 2024.

Sans oublier, encore un autre hasard malencontreux, cet arrière-petit-cousin de Brigitte, autre élément de la tribu Tuyau-de-poêle, ayant une certaine propension à la pédophilie militante et bien plus encore à la pédocriminalité. Pédérastie coupable, pédo-pornographie à grande échelle, et pire encore, inoculation volontaire du sida à des enfants ! (cf. article du 17 avril 2025 : Quelques éléments de généalogie picarde pittoresque ou pour le moins picaresque).

Et puis, à propos de détournement de mineur (le petit Manu), rappel que la famille macron s’est refusée à porter plainte. Enfin, pour être complet, encore un hasard curieux, Françoise Noguès, la mère de macron, était un médecin de la Sécu qui avait en charge le suivi administratif des personnes désirant, à bonne ou à mauvaise raison, changer de sexe, accordant des prises en charge financières et autres subventions, aiguillant vers desdits spécialistes…

Notes :

1- Cela ne s’invente pas, mais « essere una schiappa » en italien signifie : être une nullité. En bonne traduction, la schiappa (la skiappa) c’est donc : la nullité, la nulle, le plat de nouilles…

2- En bon français : non pas «  intelligence artificielle », mais « renseignement artificiel », soit en anglais : « artificial intelligence » ; comme dans « intelligence service ».

From → divers

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