HARDIÇON : QUELLE IGNOMINIE, N’EST-CE PAS ?!
Une polémique (une de plus à notre époque où tout se dit à tort ou à raison) a surgi la veille de la mort de Hardis-sons. Le 13 juillet donc, occasionnée par un certain Clément Garin (qui m’est totalement inconnu) qui aurait trouvé bon d’annoncer sa fin ante mortem et de contacter dans les derniers instants de Hardis-sons, l’ultime veuve du personnage.
Mais je la laisse s’exprimer :

Tiens à propos, quand Hardis-sons a trouvé bon de diffamer David Hamilton en accordant crédit aux faux souvenirs – ou souvenirs induits, provoqués, suscités par un « psychologue » entreprenant, non objectif – de sa potesse (ou peut-être plus encore) Flavie, et comme argent comptant (comme si elle eût pu oublier un prétendu viol vers l’âge de treize ans), notre photographe n’eut pas vraiment le temps, ou n’eut pas vraiment la force de porter plainte, lui ! Il le désira pourtant. Et peu de temps après, quelqu’un ou quelques-uns trouvèrent bon de l’exécuter en une parodie de suicide. Finalement, encouragé par ce pauvre type d’Hardiçon qui s’est cru autorisé à provoquer la mort d’un vieil homme en partie oublié et sans défense aucune.
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Si vous vous intéressez à Ardisson et notamment à l’Affaire David Hamilton et aux insultes proférées par Ardisson à la télévision, contre David Hamilton, en 2016, nous vous conseillons vivement de lire les livres d’Olivier Mathieu, certains de ces livres (romans, livres de poésie, ouvrages sur David Hamilton) étant encore disponibles sur papier et d’autres sous forme de PDF.
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